Destins étranges en Terre du Milieu
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 Le pain des hommes

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Edegilon
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Edegilon


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MessageSujet: Le pain des hommes   Le pain des hommes Icon_minitimeMar 18 Sep 2018 - 11:15

Salut à tous, voici mon débrief. A vous de compléter, corriger... Bref comme d'habitude.


Halla Aranyë
Episode 1 « Le pain des hommes »
 
Nous commençons la soirée par un bilan de la bataille :
- Le village est détruit à 80%.
- Les hommes ont subi d’importantes pertes
- Chez les femmes et les enfants, les pertes ont été limitées.
C’est une victoire certes, mais qui paraît chère payée.
Un village détruit, un réfugié ici, et celui-là détruit à 80%.
Agdad est mort.
Nous faisons connaissance avec son fils, revenu et qui avait mené l’assaut surprise sur l’aile. Son retour permet un retour à un certain équilibre.
Les blessés sont soignés… Les cadavres orcs sont brûlés. Des funérailles sont organisées…
 
Arlan s’entretien avec Tassia Erdette et lui « rend » la fameuse pierre. Tassia avait été « larguée » par un aigle à plus de 20m d’altitude au-dessus du champ de bataille. Tassia lui dit que « si un jour vous cherchez la pierre, cherchez la personne qui l’a ».
 
Des petits groupes se sont formés et retrouvés. On compte les morts. On se rassemble autour de « chefs ».
 
Deux personnes sont à l’écart. Fahrin erre, la hache trainant par terre. Sur un ponton, perdue, Aprivé.
 
C’est un travail pénible, accompagné de beaucoup de fatigue et de tristesse.
 
Le fils d’Agdad semble être partout. Fingad est en effet, extrêmement actif.
 
Arlan va vers Aprivé. Tente des paroles réconfortantes en elfique. Celle-ci laisse échapper des larmes.
 
L’aube arrive. Fingad a pris une certaine autorité. Le nettoyage arrive à sa fin. Les blessés sont sous des tentes. Les femmes et les enfants tentent de réconforter les blessés.
Les morts sont alignés le long de l’eau. Des embarcations ont été préparées, rassemblées, confectionnées.
Les hommes s’avancent et chargent les cadavres sur ses embarcations. Fingad souhaite que nous participions aux funérailles et demande comment nous souhaitons honorer nos morts. Athié est aux bras du père de sa fille.
Les morts sont placés. Les navires partent. Un bûcher est allumé pour le nain. Les villageois jettent une poignée de sable vers les embarcations et vers le bûcher.
Finaël fait un petit chant elfique près d’Aprivé.
La cérémonie est longue.
La torpeur semble tomber. Les plus valides veillent. Les autres s’écroulent de fatigue.
 
Eodrec va en forêt. Il s’asseoit, joue du cor, un son grave.
Tessia Erdette a disparu.
On va se « reposer ».
 
Quelques heures plus tard, le soleil est revenu. Ce n’est pas l’agitation qui nous a réveillés mais juste le temps qui est passé. Des piles d’affaires ont été accumulées sur la plage. Des brancards et des charriots ont été préparés.
 
Arlan va voir Fingad. Il supervise et il décide de rejoindre un village à 2 jours d’ici.
Arlan se dirige ensuite vers Athié.
 
Finaël cherche à s’entretenir avec Onelle. Il voit des choses sombres : une sorte de spectre avec des traits de visage humain. Un homme qui semble lié à cette fille, ils se sont prêtés allégeance, main dans la main. Finaël voit sa main, un ressenti glaçant… Finaël prend un choc mais ça libère inconsciemment Onelle de cette vision.
 
Eodrec va voir Alana. Il souhaite lui proposer de se joindre à nous pour rejoindre Tedmore afin de créer un comptoir, un lien. Des liens commerciaux certes, mais aussi stratégiques.
 
Les Tisseurs se réunissent et décident de partir vers Tedmore. Arlan explique l’histoire de la pierre. Il propose de rejoindre Tedmore, tenté de voir des traces de la caravane et de Elaïth. Ils se mettent d’accord pour proposer à Fahrin et à Aprivé de les accompagner. Ils se mettent également d’accord sur l’idée de rendre le livre e, dunéadique à Danton. Ils s’interrogent également sur le fait de savoir si ils proposeront à Edegilon de les accompagner. La voix d’Eodrec l’emporte avec un argument imparable : il pense que c’est bien que Edegilon vienne car j’attire les problèmes.
 
Les Tisseurs se donnent du répit. Arlan va chercher des plantes qui pourraient nous soigner. Il est obligé de s’éloigner, car peu de plantes ont survécu.
Eodrec me propose de le joindre chercher également des plantes, prétexte pour également m’annoncer leur proposition de les suivre. Eodrec trouve, en hauteur, de l’aloé.
 
Danton nous demande si nous avons l’intention de partir. Eodrec confirme que nous partons vers Teïd mor. Il propose à Fingad de un jour reconstruire le villag sur le site de l’ancien port.
 
Finaël évoque l’arbre. Il emmène le shaman et Fingad le voir, essayant de leur faire comprendre l’importance de cet arbre (le dernier arbre de Numénor). Ensuite, il s’éloigne. S’immerge et retourne seul à l’arbre pour se « ressourcer ».
 
Gunard et Eodrec discutent avec Danton. Ils lui remettent le livre. Danton explique espérer pouvoir le lire à tête reposée. Eodrec évoque la bibliothèque de Teïd mor et l’importance de certains livres présents là-bas. Danton ne compte pas rester ici. Il souhaite nous accompagner et rejoindre Teïd mor.
 
Arlan a trouvé des plantes. Eodrec sonne le cor pour le rappeler afin qu’il puisse saluer les villageois partant. Athié, Carndecilar, Tinouine, Lord Guettar partent avec les villageois. Swartig et Danton eux décident de nous accompagner. Alana part également avec les villageois et promet de rejoindre Tedmore quand Swartig reviendra.
 
Le nain et Aprivé n’ont toujours pas bougé.
Eodrec propose des doses d’Aloé.
La plage se vide.
Les adieux sont difficiles.
Athié remercient les Tisseurs.
Gunard va s’adresser à Fahrin. Il lui retire son armure et lui fait un brin de toilette.
Eodrec propose à Gunard de fabriquer une petite forge afin d’avoir de pointes de flèches opérationnelles. Gunard se lance dans la fabrication d’un soufflet.
On installe un feu de camp.
Edegilon propose de veiller et de monter la garde. Eodrec me relèvera quand j’estimerai que la fatigue sera trop pressante.
Aprivé est toujours sur le ponton. Finaël à côté.
 
Au milieu de la nuit, la fatigue arrive, Edegilon réveille Eodrec qui prend donc le relais vers minuit. Eodrec décide de marcher, de profiter du silence. Il va s’asseoir près de Finaël, sans aucun mot. Il observe les étoiles, une brille plus que les autres, il tend la main vers elle. Il n’attend pas de réaction et se remet à marcher. A son tour, il va réveiller Swartig pour assurer la garde.
La nuit passe.
 
Nous nous réveillons, apaisés. Nous sommes meurtris, mais apaisés.
Du côté de Fahrin, un changement notable. Il est habillé, sans son armure, arme au côté. Gros sac. Il a l’air fin prêt. Il marche sur la plage en suivant une ligne…
Aprivé est toujours sur le ponton.
 
Arlan s’adresse à Swartig. Il le remercie de nous accompagner, car il sera une aide certaine pour se repérer et rejoindre Tedmore.
Eodrec va chasser.
Edegilon va se « baigner » pour se décrasser.
Arlan propose de faire une tisanne pour Aprivé et Swartig.
Finaël propose à Aprivé d’aller marcher. Il l’emmène jusqu’à l’arbre.
Les Tisseurs sont inquiets par l’état d’Aprivé et de Fahrin, anormalement affecté par cette bataille et les morts. Etats typiques d’un trauma de guerre mais aussi typique d’nu état dépressif profond.
 
Aprivé, dans la forêt, se « colore » un peu. Devant l’arbre, elle réagit aussitôt, elle semble retrouver un allant, un éveil. Finaël lui demande si elle ressent la vie d’Olanuro. Elle ne sait pas. Elle le sent en elle. Elle est perdue. Finaël a l’impression qu’Olanuro est tout prêt. Puis Aprivé touche l’arbre et parle comme si elle s’adressait à Olanuro. Finaël sent sa présence. Aprivé à l’impression de l’entendre, comme si il était là. Une goutte d’eau tombe alors sur le doigt. La rosée monte. L’atmosphère est pure. Puis les gouttes d’eau s’envolent, elles brillent. Elles sont bleues, très claires. Aprivé à les larmes aux yeux et demande, en elfique « Et maintenant qu’est-ce que je fais ? »
Finaël sort sa pierre, qui brille, et la tend vers Aprivé. Les gouttes tombent alors. Dans la pierre, il y a comme le reflet d’Olanuro. Aprivé semble soulagée et annonce qu’elle a peur mais souhaite se joindre à nous.
 
Swartig est partit chasser.
Sur la plage, Danton, en caleçon, avec les habits qui sèchent, feuillette le bouquin.
Gunard construit sa mini forge.
Fahrin continue à marcher.
La viande grille. Danton pose son livre. Arlan lui demande de quoi il est question dans ce livre. Ce à quoi Danton répond que le livre évoque des histoires anciennes. Ils discutent également de la pierre et de Tassa Ardette.
 
Edegilon rejoint Eodrec et propose de rajouter quelques herbes pour relever la cuisson, une petite spécialité qu’il connaît.
Fahrin arrive alors : « aubergiste, puis-je manger ? », « une bière s’il vous plaît ». Il donne une pièce. « La table est un peu basse », « Ca y est on y est arrivé » «je ne reste pas, je pars ». Puis il commence à partir. On lui rappelle qu’il faut qu’il mange avant et il revient. Mais il ne sait pas pour aller où ? Il prétend devoir rentrer à son poste, où l’on attend. Il rappelle qu’il est de la garde, à Kazakhdum. Gunard et Fahrin se mettent à échanger. Gunard rappelle que les nains doivent se protéger, les uns les autres. Fahrin demande alors « c’est qui les autres ? » Eodrec resert de la viande. Fahrin demande alors qui on est ? Il rappelle que ses amis sont tous morts, et que nous n’existons pas.
Arlan tente de lui rappeler pourquoi il est là.
Fahrin et Gunard évoque la bataille, les barricades tenues par eux deux. Les souvenirs reviennent alors.
 
Les elfes reviennent en soirée.
L’ambiance est beaucoup moins lourde. Ambiance semblable au diner où Gunard avait invité Aprivé à danser. Eodrec et Swartig commencent à « chanter », jouer de la musique. Gunard et Aprivé sont déchaînés. C’est très joyeux. Danton est étonné, épaté, sourit…
 
Au matin, nous sommes fin prêt à repartir. Les pointes de flèches sont prêtes. Au moins 5 jours de marche pour contourner le lac. Nous nous dirigeons vers le Nord, en longeant la montagne. Nous marchons. Nous nous éloignons des lacs. Nous enchaînons les journées de marche avec le soir la mise en place de campement, de tours de garde…
 
Edegilon profite de ces journées pour demander à Eodrec s’il connait une cité « haute avec ses hautes tours, des ponts suspendus en fond une montagne » Peut-être la cité des larmes.
 
Lors des journées nous évoquons Teid More. Nous rappelons l’histoire de cette cité. La ville tient sa richesse des mines d’argent. Fondée par un elfe, un nain, un homme. Alliance des trois races. Ils y sont attachés. « une sorte de pôle de stabilité », de « foyer d’accueil » pour Eodrec. Ils sont partagés entre envie et crainte d’y retourner ; Ils ont placés beaucoup d’espoirs et d’attentes dans cette cité. Des espoirs de réunion. C’est un peu comme un vieil ami ou un ami pas vu depuis longtemps, espoir et envie de le revoir, mais peur du changement et de voir l’évolution choisie.
C’est le 1er lieu sur lesquels les Tisseurs vont revenir. Ils pourront voir les choses mises en place après leur passage. Ils en avaient payé le prix du sang lors de leur passage dans cette cité. Un réel potentiel pour cette cité ancrée dans le passé mais tournée vers l’avenir. C’est une ville adossée à une montagne. Elle possède une bibliothèque fabuleuse. Des tapisseries avec pleins de symboles.
Cette ville a été le cœur de « l’affrontement final ». L’ennemi convoité un livre très ancien dans la bibliothèque et il est venu le chercher. Il y eut beaucoup de morts.
 
Nous poursuivons toujours notre marche. Nous nous retrouvons dans la forêt. Calme, verdoyante, ondoyante. Soudain les elfes et Eodrec se figent. Ils entendent un bruit, sont aux aguets. Aprivé bande son arc. Finaël suit. Gunard dégaine le marteau. Arlan se cache derrière un arbre. Deux hommes apparaissent en dessus d’un promontoire, et lèvent aussitôt les bras. Ce sont des chasseurs avec des peaux de bête. Finaël débande son arc. Aprivé reste armée. Swartig fait signe de calmer le jeu.
Arlan s’avance vers les deux hommes pour s’excuser de cet accueil et demande d’où ils viennent. Les deux hommes sont méfiants. Les Tisseurs décident d’un petit feu et d’échanger un petit temps avec ces deux chasseurs. Fahrin s’approche d’eux et casse une branche à mains nues juste devant eux pour le feu. Les deux hommes semblent inquiets. Eodrec leur demande s’ils ont de l’herbe à pipe. Les deux chasseurs lui en donne sans accepter un paiement en échange. Ils viennent de Valdrus (deux jours de Teid More). Arlan les questionne sur Teid More. Il y a des histoires avec le gouvernement de la ville. Ils ne savent rien, ce sont des hommes de la colline. Pour eux, il n’y a pas de problèmes, même si c’est redevenu un peu tendu depuis quelques temps. Lorsqu’il y a avait le nouveau gouverneur, les choses s’étaient apaisées, mais depuis son départ, les tensions reviennent. Nous demandons le chemin à emprunter pour rejoindre Teid More. Nous reprenons la marche.
 
Le soir, autour du feu, Eodrec et Arlan échangent autour de l’organisation politique de la ville. Ils évoquent une table en triangle. 3 côtés, 3 places, 3 races. Les Tisseurs avaient obtenu un accord oral pour un droit de véto concernant les décisions de la cité, en tant que « gouverneur suprême ».
Ils semblent partir sur l’idée que leur réputation suffira à les réinstaller, deux ans après leur passage.
 
Nous reprenons la marche. Une douzaine d’orcs déboulent de partout. 3 archers orcs. Edegilon en grande difficulté, subit une blessure légère. Les Tisseurs font le job avec facilité. C’étaient des orcs  maraudeurs qui chassaient des trappeurs.
Arlan tente de me soigner, aidé par Finaël.
 
Nous continuons notre route, nouveau campement…
Nous ne sommes plus qu’à 4 jours de Teid More. La soirée semble plus tendue, la forêt plus dense. Nous passons une nuit sur nos gardes. Nous reprenons la route au matin, le rythme est plus lent, la météo changeante. Le ciel est plus gris, plus humide.
Le soir, nouveau campement. La vigilance va être plus compliquée. Les guetteurs s’installent en hauteur.
En plein milieu de la nuit, la pluie.
 
Du coup nous partons plus tôt, avec nos capuches tels « 8 fantômes ». Nous avons franchis le col. Nous sommes plus qu’à 2 jours de marche.
Nous réfléchissons sur la stratégie à adopter à notre arrivée : est-ce que l’on envoie quelqu’un avant pour prendre la température ? Il pleut bien, nous avons franchi la dernière colline et allons pénétrer dans la plaine. Il n’y aura plus d’orcs dans ce secteur. Dans cette dernière descente, nous tombons nez-à-nez sur une dizaine d’hommes dont un à cheval, tous habillés pareil, de cuir, avec des bottes, des lances, certains avec des arbalètes. « Halte manant, nous sommes sur la terre de Teid Mor, jettez vos armes… » Fahrin enlève sa capuche et s’annonce « je suis Fahrin, capitaine de Kazakhdûm… », Danton fait de même « Fils d’Arendil »… Chacun se présente de cette manière avec les différents titres qu’ils possèdent, à l’exception d’Arlan et d’Eodrec. Il y a un léger flottement. Aprivé enlève sa cape, « je suis fille de Mirkhood …»
Puis Arlan « C’est ainsi qu’à Teid More, on accueille les visiteurs ? En les traitant de manants, etc… je suis « Arlan »…
Le nuage s’écarte et éclaire la scène.
De nouveau un flottement chez les gardes puis de nouveau un « jettez vos armes ». Deux sont prêts à dégainer. Gunard ordonne « armes au sol ». Les armes s’abaissent. Les Tisseurs demandent à être accompagnés jusqu’à la ville. Certains gardes les reconnaissent finalement (une minorité tout de même). « C’est les libérateurs, je les reconnais ».
Arlan demande à passer ou à être accompagné.
Le tonnerre éclate. Certains des hommes le reconnaissent également.
L’homme à cheval est le capitaine du guet depuis plusieurs mois. Il ne peut pas nous accompagner. Il est en mission de patrouille. Il propose que quatre de ses hommes nous accompagnent et nous souhaitent une « bonne route ». Arlan semble satisfait de voir de « vraies » patrouilles.
 
Lors de cette ultime marche, les gardes nous informent de problèmes dans la cité liés à l’arrivée de réfugiés, souhaitant entrer. La région est devenue difficile, peu sûre. Le garde qui avait reconnu Eodrec est Mehrin. Il explique que le guet est composé de beaucoup plus d »hommes, des mercenaires venus de tous les horizons (Tarbad et Sud de Tarbad).
Eodrec nous apprend qu’il avait fondé une auberge, Le poney fringuant. Danton semble sceptique sur l’enthousiasme de leur accueil.
Les routes commerciales vers le Nord, le Nord-Est, le Nord-Ouest et la grande route vers Tarbad fonctionnent de mieux en mieux. L’exploitation des mines a repris avec force. Il y a donc une certaine prospérité pour cette cité. Ils ont des produits venus de la mer.
Un grand conseil est à la tête de la ville. Le capitaine Jellon n’est plus en place, désormais on a le capitaine du guet (police) et le capitaine de la garde (armée).
Teid More compte comptait 25 à 30 000 habitants. + de 20 000 habitants en deux ans (la population a doublé). Peuple ne se sent pas heureux. Le problème des réfugiés est présent.
 
Nous arrivons à une bergerie, au sec pour la nuit. Nous faisons sécher les vêtements avec un feu. La ville est au bord de l’émeute. Il manque de nourriture. Les richesses affluent mais les cultures sont insuffisantes. Il manque de la farine, le prix du pain a augmenté.
Le capitaine des troupes du gouverneur est Gwenlan.
Nous dormons, avant Arlan sort Cundiel, et la fait briller auprès du feu pour faire répandre la rumeur de notre arrivée. Au matin, nous repartons. La pluie s’est arrêtée.
Les elfes ont discuté pendant la nuit, notamment pour savoir ce qu’ils feront à Teid Mor. Aprivé souhaite découvrir une ville.
 
En fin d’après midi, nous arrivons à Teid More. En fond, la montagne. Un beffroi, accueillant la bibliothèque et la salle du conseil à l’étage. La grande halle. Ville en hauteur. Les quartiers bas sont populaires, les quartiers hauts sont des quartiers marchands. De nombreux hommes sont présents sur les remparts.
 
Les Tisseurs  proposent à Edegilon de se lancer seul, à l’écoute des rumeurs. Ils lui citent deux adresses : l’auberge le Carré de Pique et la Main d’Or. Ils lui proposent également de flâner sur les marchés afin de glaner des infos.
Pendant ce temps, les Tisseurs rejoindront le Poney Fringant par petit groupe.
 
A l’entrée de la porte de la ville, les gens poussent, essayent de passer. Il y a un réel filtrage. De nombreux mendiants, parmi eux des gens de la montagne que les Tisseurs reconnaissent. Les gardes les repoussent assez violemment. Il y a évidemment des femmes et des enfants.
Ils tentent d’entrer incognito. Ils montent peu à peu dans la ville. Eodrec arrivera en premier à l’auberge et pourra réactiver son réseau d’informations. En bas, une salle d’accueil. Une partie du bâtiment est dévolue aux Tisseurs. Eodrec demande au serveur si Turgal gère toujours l’auberge et souhaite avoir des nouvelles d’Arvac, un cheval. Toute l’équipe arrive peu à peu et passent dans le salon privé. La salle est bien remplie, ils mangent, ils boivent. Eodrec s’entretient discrètement avec Turgal.
 


 
Edegilon rejoint les Tisseurs et rapporte ses découvertes : émeutes pour le pain devant les boulangeries dans les quartiers populaires (prix du pain a doublé depuis trois semaines, l'arrivée des réfugiés). Certains accusent le Conseil de ne pas réagir suffisamment. Le problème des réfugiés est évoqué est plus pressant plus on monte dans la ville. Un camp a été installé à l'extérieur de la ville. Le carré de Pique a fermé, déménagé en ville moyenne et en prenant le nom de "hôtel du lapin" qui est d'ailleurs plus une auberge mais un bordel.
Eodrec a appris que Soaig a une chambre, qu’elle quitte discrètement pour rejoindre une femme blonde, avec l’air sévère.
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