Destins étranges en Terre du Milieu
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 D’argent et d’acier, épisode 2 (25/06/2021)

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Edegilon
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Edegilon


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D’argent et d’acier, épisode 2 (25/06/2021) Empty
MessageSujet: D’argent et d’acier, épisode 2 (25/06/2021)   D’argent et d’acier, épisode 2 (25/06/2021) Icon_minitimeLun 28 Juin 2021 - 15:51

Bonjour à tous,


Finalement, "libéré" cet après midi, c'est le moment où jamais d'écrire le débrief.
Certaines interrogations et évidemment des parties peu complètes puisque Xavier n'étais pas toujours à côté de l'action puisque l'épisode proposé des actions différentes menées par des joueurs dispersés.


Bref, n'hésitez pas à compléter. J'ai d'ailleurs rectifié une petite chose concernant Edegilon.



Avant le départ, Arlan va rencontrer Tekduan qui souhaitait que les Tisseurs transmettent un objet à Aylan (sa fille). Arlan va donc à sa rencontre et prend possession d’une paire de boucles d’oreille avec de l’ambre, un bijou ayant appartenu à la mère d’Aylan, preuve de la confiance de Tekduan envers Arlan.
Les Tisseurs souhaitent également, et l’en informent, offrir un anneau à Maëlyr en symbole de leur confiance.
Les Tisseurs saluent les chefs. L’ambiance y est très fraternelle. Les au revoir sont émouvants et chaleureux.
 
Les Tisseurs quittent le village en direction de la forêt. Après 1h de marche, Finaël et Aprivué annoncent quitter le groupe afin d’aller sur les traces de la « chose ». Chez Aprivué est perceptible une volonté farouche, tout en laissant percevoir qu’elle est inquiète face à la quête qui les attend. Les Tisseurs ressentent un peu de tristesse après ce nouveau départ.
 


Alors qu’Eodrec échangent avec Arlan autour des plantes, afin notamment d’observer la méthode avec laquelle s’y prend Arlan, Edegilon demande à ses deux comparses à récolter quelques champignons permettant de faire des fumerolles. Arlan parvient à obtenir deux doses pour Edegilon.
La soirée arrive, le campement est monté. Les tours de garde s’organisent facilement. Chacun profite de l’instant. Edegilon, en retrait, au près du feu en profite pour observer quelques-unes de ses affaires personnelles dans son sac mais aussi pour lire quelques pages de son ouvrage récupéré à la bibliothèque.
 


Au matin, Olynea part faire sa toilette. Un des deux aratars se proposent pour monter la garde à proximité d’Olynea. Les deux se font attendre. Les Tisseurs s’inquiètent alors du temps écoulé et au moment où Arlan s’avance en les appelant, Olynea arrive. Il faut attendre encore près de 5 min pour voir l’aratar revenir. Olynea prétexte un temps nécessaire pour faire la toilette, l’aratar bafouille un peu. Edegilon remarque alors quelques cernes sous les yeux de l’aratar…
Les Tisseurs reprennent ensuite la route. Une dernière dose de fumerolles est trouvée par Arlan.
 


Ils parviennent à Theid Mor vers 17h. Ils déposent les affaires au Poney. Eodrec fait un petit passage par le tribunal. Le juge confirme la falsification d’ordres par la secrétaire. Elle semble avoir agi seule. Elle avait de la famille proche de Daoxi ( ? un des personnages lors de la première intervention des Tisseurs dans la ville)
 


Gunard pour sa part va faire un point avec les nains. Il tente un grand coup de marteau sur le coffre afin de vérifier sa solidité, coup de marteau qui se solde par une petite éraflure.
 


Eodrec va rencontrer Enworth, le marchand de tissu.
 


Les Tisseurs se retrouvent tous à table, au Poney. Gunard semble satisfait : le coffre sera scellé au charriot. Sur le charriot sera installé une tourelle avec une arbalète automatique disposant de 3x10 carreaux.
Eodrec interrompt alors le repas après discussion avec la cuisinière. Il s’adresse à Gunard qui a reçu une lettre avec cachet. Le sceau ne semble pas évoquer grand-chose, si ce n’est Soaeg qui a alors blêmit à la vue de la lettre. Le sceau rappelle le passé, c’est le sceau d’une confrérie à laquelle Soaeg a été liée : les chasseresses. Le message est destiné à Gunard, c’est relativement surprenant. Gunard l’ouvre et décide de la lire à voix haute mais Eodrec le prie d’en faire une lecture plus confidentielle. Cette lettre lue par Gunard et Soaeg fixe un rdv pour Gunard, seul, à 23h dans une partie de la ville. Le sceau n’évoque pas grand-chose pour Edegilon si ce n’est qu’il a déjà visionné ce symbole sur un objet ancien chez un antiquaire. Le sceau représente plus une lettre de l’alphabet.
 


Eodrec, quant à lui se retrouve à avoir un rdv à l’étable. Edegilon est invité à le rejoindre, faire le guet. Il passera par le côté rue. Eodrec descend à l’étable, s’annonce à voix haute. Un homme sort d’un box avec une cape noire, pas trop habillé, sans arme apparente. Cette personne vient délivrer un message. La voix n’est pas inconnue pour Eodrec, qui l’a déjà entendu chez Swaringen (celui qui détient l’As de pique). Le contenu du message informe que plusieurs individus sont dans cette ville avec des intentions malfaisantes. Trois d’entre eux ont quitté le lieu om ils étaient établis, il y a près de 30 minutes. Ces trois individus sont reconnaissables de part la présence de larmes noires sur leur avant-bras. Peu de gens sont au courant. Ces individus appartiennent à une guilde efficace et chère de Tharbad. Ce sont des assassins. Ce messager nous invite à rejoindre un indic dans 15min qui pourra nous communiquer sur de plus amples informations et notamment leur destination prévue.
 
Arlan quant à lui a reçu une invitation à se rendre dans sa chambre, car une femme l’attend.
 
Eodrec et Edegilon rejoignent l’indic. Ils y trouvent un mendiant qui indique l’auberge du velours et la présence de ces trois hommes. Cette auberge est située en basse-ville. C’est un quartier cossu. Il est près de 23h. L’auberge offre in hall, un comptoir, une cheminée et un homme au comptoir. Eodrec entre en se faisant passer pour un garde du corps. Il questionne l’homme au comptoir afin de savoir s’ils peuvent dîner ici. L’homme au comptoir regrette mais propose une autre adresse « la taverne du lion d’or », située à deux rues d’ici. Eodrec prétend avoir rdv avec trois hommes qui ont dû arriver il y a quelques minutes. L’aubergiste prétend aucune arrivée récente. Edegilon, passant pour le patron, demande tout de même une chambre. L’auberge compte 12 chambres, Edegilon se fait accompagner dans une des chambres et n’hésites pas à questionner l’homme sur l’occupation actuelle des chambres. Eodrec profite de cette absence pour fouiller le registre et s’apercevoir que Joren Van Vleng possède une chambre ici.
Edegilon flatte l’aubergiste sur les choix décoratifs, accepte les chambres et rejoint le rez-de-chaussée afin de retrouver Eodrec. Eodrec et Edegilon feint une chamaillerie afin de remonter à l’étage, Eodrec souhaitant rendre visite au banquier de la HSB. Edegilon reste quelques portes derrière, en retrait. Eodrec tente d’écouter aux portes. C’est à ce moment qu’un homme, sort de la pénombre du couloir et l’attaque. Un combat s’engage alors dans un espace plus que restreint. Lorsqu’Edegilon se dirige vers Eodrec pour l’aider, il est alors saisi par un homme derrière lui qui essaye de lui passer la corde au cou. Eodrec lutte au corps à corps, reçoit quelques coups de lames superficielles. Edegilon tente, tant bien que mal, de se défaire de son assaillant et parvient finalement à le repousser puis à le tuer. Un 3e homme avait alors surgi entre le cadavre d’Edegilon et Eodrec mais il prend la fuite en essayant de faire fuir l’assaillant qui était sur Eodrec. Les deux hommes prennent la fuite, Edegilon va prendre des nouvelles d’Eodrec. L’aubergiste, alarmé par un cri d’Eodrec arrive. Les quelques curieux ayant entrouvert des portes avaient vite refermé. Eodrec fonce vers la chambre du banquier. Il tombe sur un homme armé mais une fois les présentations faites Eodrec peut le rencontrer. Le cadavre est rapatrié également dans la chambre. Eodrec demande des explications claires. La milice débarque et, un des hommes connait les Tisseurs, ce qui facilitera les formalités administratives. Le banquier dédommagera l’aubergiste. Les Tisseurs décident d’emmener le banquier et son garde du corps dans un logement plus discret et choisissent le logement de la secrétaire.
Ils retournent ensuite au Poney.
 


Gunard rejoint Edegilon et Eodrec. Il se dirige alors vers Soaeg puis explique qu’il s’est rendu sur le lieu proposé. Il est tombé sur trois hommes qui l’ont attaqué. Il a d’ailleurs ramené un cadavre et un carreau d’arbalète. Visiblement ces hommes visaient la chasseresse. Elle fait partie du peuple de Soaeg : un des trois peuples originels. Elle souhaitait que Soaeg se rende dans le Rhudaur. Elaïth est bien arrivé dans le Rhudaur.
Soaeg avait déjà été sollicité par les chasseresses afin de parvenir à réunifier les peuples humains par des alliances matrimoniales. Elle avait refusé. Ici la chasseresse souhaitait simplement que Soaeg tente de convaincre une partie de son peuple scindé de se raccrocher aux autres, afin de refonder un ensemble, au profit d’Elaïth. Elaïth est parvenu à s’implanter et pour affirmer sa légitimité, il a refusé l’allégeance au roi de l’Arthédain.
Le cadabre, ramené par Gunard, est, quant à lui, mi-dunéain/mi-dunédain. Il semble issu du Rhudaur.
Sur le carreau d’arbalète, rien à signaler. Ni sur les tatouages. L’équipement est un mélange de dunédains et de dunlandais/dunlendings.
 


Eodrec et Edegilon expliquent également leurs mésaventures.
Ils vont se coucher alors qu’Arlan n’a pas donné de signes récents. Les Tisseurs savent juste qu’il a quitté le Poney en compagnie de la femme qui l’attendait dans sa chambre.
 


Arlan est de retour au petit matin. Les Tisseurs échangent à nouveau sur les évènements récents. Les hommes avec les larmes seraient issus de la pègre de Tharbad. Arlan rapporte aux Tisseurs que Tolliver a demandé à rencontrer les Tisseurs avant leur départ vers Tharbad. Tolliver vient lui-même de Tharbad et il sollicite son dû. Il demande que les Tisseurs escortent, de Theidmore vers un lieu précis de Tharbad, une femme. Ce trajet relève d’enjeu qui « dépasse » les Tisseurs selon Tolliver.
 


Les Tisseurs reprennent la route. Eodrec interpelle un enfant dans la rue, lui propose de gagner de l’argent facilement : il lui fait faire trois dessins (des bonhommes qui pleurent) dont un rayé. Il demande ensuite à l’enfant de mener ces dessins au patron de l’As de Pique.
 


Gunard quant à lui doit retourner voir le charriot. Celui-ci est prêt. Gunard offre à la communauté naine, un tonneau (provenant du Poney). Pendant que les derniers préparatifs du charriot se terminent, Gunard en profite pour forger quelques anneaux.
 


Eodrec, Arlan et Edegilon rendent, quant à eux, une visite au banquier (logé chez la secrétaire). Le banquier prétend ne vraiment pas savoir qui sont ces assassins, ni pourquoi ils lui en veulent. L’hypothèse la plus sérieuse serait un attentat visant la banque qu’il représente. La banque est actuellement engagée dans des tractations bancaires de très hautes importances et que forcément, ces tractations entraînent des concurrents, de la jalousie… Arlan tente d’en savoir plus. Le banquier tente de garder secret les informations. Après quelques échanges verbaux, le banquier évoque des tractations avec des rois. Arlan explique que certains contacts peuvent mettre à genou la banque HSB avec des possibilités de crédits illimités. Finalement le banquier évoque des tractations avec le roi de l’Arthédain.
Eldorian a quitté Theidmore il y a une semaine avec son garde du corps mais il a laissé fuiter que c’est à Tharbad que « tout se joue ». Le garde du corps possède la spécificité de ne pas ressentir la douleur, aucun sentiment. Eldorian s’est vanté d’être banquier d’un royaume.
 


Les Tisseurs peaufinent la stratégie à adopter pour le voyage. Est évoqué la possibilité d’avoir un semblant de charriot de provisions abritant en réalité quatre arbalétriers. Quelques hommes à pied avec de grands boucliers et des lances. Enfin 6 chasseurs, devançant le convoi de quelques mètres, en éclaireur.
Le conseil donne son accord, notamment de mettre à disposition une vingtaine d’hommes.
 


Arlan va rendre visite à la guilde des voyageurs afin d’obtenir une carte précise et des infos essentielles concernant le trajet et les éventuels points de tensions, d’attaques. C’est un trajet qui devrait durer entre 4 et 5 jours, de plus de 320 kilomètres.
 


Le départ est fixé au lendemain matin.
Eodrec souhaite envoyer des palefreniers au Gondor.
La supervision des hommes et de la nourriture est réalisée.
L’ambre que les aratars avaient demandé aux Tisseurs de ramener jusqu’à Tharbad est déposé dans le coffre (afin d’être protégé). Il faut dire qu’un très bon technicien aurait besoin d’une trentaine de minutes pour parvenir à ouvrir le coffre.
Naïm fait Tadin sera également du voyage.
 


Arlan se rend chez Tolliver pour annoncer leur départ pour Tharbad et le fait que les Tisseurs acceptent la mission d’amener la fille.
 


Soaeg échange avec Gunard. Shylet, la chasseresse, a demandé à Soaeg de l’accompagner mais pas pour un engagement autre que moral et militaire. Soaeg accepte finalement de les aider et profite de sa dernière soirée avec Gunard.
 


Edegilon quant à lui abandonne ses comparses afin de rendre visite à Silena, évoquer le voyage à venir. Il en profite pour faire don d’un vêtement de son fils au fils de Silena. Après vérification, Edegilon possède deux filles. A défaut de passer un vêtement, il peut bien trouver un jouet, un objet qui pourrait convenir.
 


Le lendemain matin : tous se rejoignent à l’ambassade naine. Le charriot est sorti. Les palefreniers, expérimentés, sont présents : ce sont des conducteurs chevronnés, natifs de Theidmore. Les aratars ont quitté Theidmore après avoir reçu un message signalant que l’armée royale a été écrasée par une armée dunéainne dans le Cardolan.
Enfin, le colis de Tolliver est bien présent : il s’agit de Naëria.

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