Le pain des Hommes (6)

Salut à tous,

Quelque chose d'assez exceptionnel et inattendu voir même inespéré arrive : le débrief de la soirée.

Bon sincèrement désolé pour cette très (trop) longue attente. Pas de pc sous la main au moins de Juillet...

Comme d'habitude, il est peut être incomplet et erroné, à vous de modifier comme bon vous semble.

 
 
Les Tisseurs commencent par dormir. Au réveil, ils profitent du petit déjeuner au Poney pour échanger et décider de la stratégie à adopter pour la journée.
Le bal aura lieu dans la salle des fêtes, dans les halles.
Les Tisseurs planifient d’aller voir Siléna notamment pour en apprendre plus sur la manière dont le pacte s’active. Essayer d’avoir plus d’informations sur son échange avec Holbrak.
Ils n’oublient pas non plus la question de l’anneau et de Jabert, la problématique autour d’Holbricht doigt d’argent, Caminet, Tolliver et Fahrin.
 
Ce dernier semble être parti avec l’intention de revenir puisque ses affaires sont dans sa chambre. On y trouve un beau cube métallique avec un angle rifeté. Il y a quelque chose dedans. C’est un coffre personnel constitué d’arborang à 80%. Il ne semble pas y avoir de serrure. C’est un système avec une combinaison. Une boite de jeux sympa. Si on n’a pas la bonne combinaison, la boîte déclenche la mort de la personne qui tente de l’ouvrir.
 
Edegilon aperçoit alors des tâches noires sur les mains de Gunard et d’Arlan. D’ailleurs il y a comme une mèche blonde sur Gunard. Edegilon en a peut-être une petite sur la main…
 
Danton se joint au débrief, et demande ce qu’il se passe. Arlan l’interroge sur Fahrin. Ce dernier a été aperçu pour la dernière fois il y a 3 jours, il partait en direction des mines d’un personnage avec un nom en « ic », Peric ? Neric ? Il ne saurait nous dire exactement. Il nous fait part de ses recherches à la bibliothèque. Il nous informe de la disparition d’un livre mais au vu de ce qu’il contient, ce n’est pas bon signe. Le « feu de puissance » a été découvert : c’est très vieux mais secret. Quelque part dans ce livre, il y a le secret de fabrication. Le livre devrait être dans la bibliothèque mais il a disparu. Son titre : Hallah Iru Irtade, « Le livre des larmes de la Terre ». Sa couverture est composée de cuir de peau humaine. Il a disparu il y a plus d’un an, lors de l’attaque de la ville.
            Holbrach avait voulu tuer le bibliothécaire. Il connait très bien Eldorian (le banquier). C’est un livre plein de fonction : registre de signatures, mais également un livre sur le col du Rubicorne.
            Enfin Danton nous informe d’une bande d’excités en ville, un particulièrement gratiné sur les barricades : Mardhon. Il propage des idées du style « la propriété ça se vole ».
 
            Arlan et Edegilon vont voir Silena
            Eodrec avertit Danton d’une armure d’or dans une montagne.
 
            La ville est agitée, tendue, il y a deux groupes :         

  - l’autre groupe, plus cohérent, revendiquent autour de la non redistribution des richesses, la propriété et las inégalités sociales.
A leur tête, un leader. On ressent que les gens sont au bout du rouleau. Il y a beaucoup de mendiants. Sur les hauteurs de la cité, c’est beaucoup plus policé.
 
            Arlan et Edegilon arrive enfin. Les signes de rougeur sur l’enfant semblent s’estomper. Arlan en elfique tente de sentir la flamme de vie, qui semble revenir à la normale. Il n’y a pas de marques sur Silena. Nikos Jabert lui avait fait la cour. C’est quelqu’un qui l’avait conseillé et aidé. Arlan demande à garder l’anneau. Holbrach, lors du pacte avait prononcé une phrase du style « par ce pacte que vous prenez, la maladie de votre fils s’estompera ». Il semblait très sincère. En échange, il proposait éventuellement l’ancienne mine. Ce pacte prend la forme d’une carte que Silena garde dans la chambre. Elle a donné la mine. Arlan et Edegilon vont examiner la carte, sans la toucher. Elle est noire avec un pentacle. Arlan ressent le pacte : amorphe dans un sens mais contient une essence mais la carte n’agit plus. Arlan ressent un picotement dans la main, un point de brûlure. Edegilon ressent également un léger picotement dans le creux de sa main gauche. Arlan conseille à Silena de cacher la carte avant finalement de prendre la décision de la garder avec lui.
            Les deux retournent au Poney Fringant.
 
            Gunard a retrouvé Fahrin. Holbricht est un seigneur qui jalouse l’or et l’argent de la montagne. Un sorcier humain lui a donné le pouvoir de transformer l’argent. Fahrin devait trouver Holbricht pour le tuer. Céric, un forgeron qui commerce avec Kazakhdum. Gunard a proposé à Fahrin si il souhaitait cacher des informations mais non parce qu’il travaille avec nous. Holbricht est surement parti plus loin. Surement un pacte signé. Bardarmenzor ?
            Arlan et Edegilon raconte leur entretien. Le bourgmestre est décédé avec des plaques noires sur lui. L’anneau n’a pas d’effet positif mais pas non plus une concentration de malédiction. C’est un vecteur (plus qu’une grosse pierre) : il transmet quelque chose. Il prend et il transforme ailleurs.
            Eodrec demande de transmettre un message à Céric : faire mettre une pierre rouge dessus puis finalement non.
 
            Ils décident d’aller voir Valdur Lédune, dans la ville haute. Un judas s’ouvre, il nous demande de décliner notre identité. Valdur ne serait présent. Surement aux halles. Les Tisseurs décident donc d’aller aux halles. Le guet les arrête. Ils vont chercher Valdur. Au bout d’une dizaine de minutes, Valdur veut bien leur accorder quelques instants. Ils rentrent alors dans les halles, par un escalier cental. Au bout du couloir, Valdur les rejoignent. Il évoque un marché noir qui n’est pas récent autour des écuries de Linguee.
 
            Les Tisseurs se rendent aux écuries de Linguee. C’est un gros bâtiment, avec une porte, aux bords des murailles de la ville. Kerf est un palefrenier, Linguee est le propriétaire. Arlan et Edegilon surveillent la porte depuis la ruelle. Eodrec, Gunard et Fahrin vont à la rencontre de Linguee. L’objectif est d’arriver à obtenir des informations sur le trafic de farine. Ils sont armés. Ils montent dans un grenier. Gunard reste en bas. 2 hommes en haut dont un avec un arc. Il y a un tas de foin et en dessous trois tonneaux contenant bien de la farine. Eodrec entame des négociations de prix. Ils ressortent. Arlan veille si Eodrec, Gunard et Fahrin sont suivis.
Hypothèse que la farine serait stockée dans les mines naines.
            Ils décident alors d’aller voir Swaringen. Il n’est pas là. Il est en prison, par le guet. A la prison centrale, à proximité des halles.
 
Finalement les Tisseurs décident d’aller à la boulangerie pour voir Caminet et la femme du boulanger. Caminet ouvre les volets. En caleçon, il sent les mélanges. Arlan sort, Eodrec reste au rez de chaussée avec Caminet. Gunard et Edegilon montent. Caminet a découvert une histoire sur son père et sa mère mais il ne connaît rien au trafic. Quant à l’agression de son père, il ne le savait pas et a été payé par un type avec une odeur épicée. C’est le notaire qui lui a révélé l’histoire. Il y avait bien une histoire de trafic de farines avant que son père n’ait repris les choses après avoir éliminé son concurrent : Gibert. Le boulanger s’était fait un paquet de frics.
Les Tisseurs se retrouvent dehors. Arlan, Eodrec et Edegilon vont au Lapin, Gunard et Fahrin restent à l’écart. Arlan demande à rencontrer Tolliver. Il y a quelques clients. C’est plutôt calme. Plusieurs hommes nous les surveillent clairement. Sur un des balcons, un homme barbu les regarde traverser la salle avec un autre homme type « armoire à glace » derrière lui. Ils rentrent dans une pièce avec un bureau semi-circulaire. Selon lui, il n’y a rien sur le marché, quelqu’un cache la farine pour faire exploser la ville. Morbus ne cherchait pas à s’enrichir, juste à affamer la ville.
 
Les Tisseurs vont se préparer pour le bal. Ils demeurent un peu armés : côte de maille… Edegilon est contraint d’aller acheter une tenue.
La place est bondée, le guet sécurise en carré. Les Tisseurs entrent. Il y a une grande salle. Arlan demande au guet où se trouve le convoi. Celui-ci est dans une grande salle dans l’aile. Arlan va avec le capitaine : il y a 6 hommes de la garde et 6 du guet. Une logia donne sur la place, elle est ouverte. Cordelin et des membres du Conseil sont présents au balcon. Il annonce de la farine et une distribution dès ce soir pour participer aux fêtes. Une véritable liesse s’empare de la foule mais il demeure de la tension. Il y a un certain optimisme accompagné d’applaudissements. La logia se referme. Les membres du Conseil saluent les invités et invitent à l’ouverture du bal. Gunard danse avec Soaeg. Edegilon avec Silina.
Arlan cherche et fouille la cave. Eodrec distribue des pains à l’extérieur puis rejoint la salle de bal où il se contente d’observer. Arlan les rejoint.
Edeglion se remémore des instants semblables avec sa femme. Arlan retrace le trajet des événements d’il y a un an et réalise une prière en elfique.
Il y a un homme avec une tenue exotique, venant plutôt de l’Est. Eodrec demande à Edegilon de laisser Silina et d’aller finir la conversation qu’il avait débuté avec un homme. Edegilon s’exécute et va rendre compte à Eodrec.
Obynea Tanaria, une femme avec un furet présente au bal, fixe Arlan et échange avec Eodrec. Eodrec échange également avec Cordelin au sujet de Gibert. Ce dernier est responsable de la rétention de farine. Gibert avait une grande animosité envers Morblu. Il le questionne également sur Obynea. Les toiles sont à l’origine de sa fortune, c’est une concurrente de Jabert. Les deux sont au Conseil. Jabert possède des écuries, des voitures, etc…
Edegilon interroge Silina sur l’homme à la tenue exotique. Il s’agit de Nayal fat Tahim. Un membre du Conseil. Très agréable, qui connaît beaucoup de choses. C’est un marchand d’épices.
Arlan va ensuite à la rencontre d’Obynea avec son furet : Sylè.
Eodrec cherche Eldorian. Il l’aborde. Ils parlent d’affaires et de la situation de Tarbad. Il est dans la finance, les mines. Ils discutent sur la situation et les difficultés de récoltes qui concernent l’intégralité des trois royaumes. Le Gondor est épargné grâce à ses ports.
 
Puis en l’espace de quelques secondes, Eodrec s’est éclipsé, Gunard également, et Edegilon est happé par le fils de Silina en dehors de la salle principale. Les couloirs sont vides. Des fenêtres, les Tisseurs peuvent s’apercevoir que la ville est en feu. Il y a des incendies, des clameurs qui surgissent de l’extérieur. Le tocsin a été sonné. Les hommes du guet sont absents. Des émeutiers agressent d’autres émeutiers. Les Tisseurs sortent par différents endroits et se retrouvent devant la grande halle. Après quelques instants d’incompréhension, les Tisseurs comprennent qu’il s’agit d’un piège. Gunard remonte vers la Grande salle pour prévenir Soaeg. A 15mètres, devant lui, deux types en noir avançant avec des arblètes. Les hommes du guet ont enfermé les gens dans la Grande salle, les grilles sont baissées.
Edegilon récupère les vêtements d’un des arbalestiers assommé. Fahrin et Danton ainsi qu’un autre homme (vu au Lapin, Färnum, envoyé par Tolliver pour vérifier si les Tisseurs étaient bien sortis). Il nous informe qu’ils vont faire voter le Conseil d’un nouveau gouvernement. Arlan ressent le feu. Gunard se rend au tunnel pour éteindre le feu, ça nécessite de passer par la mine. Danton va rameuter la garde.
Eodrec, Arlan et Edegilon vont finalement tenter de passer par la verrière. Lors de l’ascension, Edegilon glisse, se retrouve agrippé à une gargouille. Une fois arrivée, les 3 hommes peuvent observer la scène : deux groupes : une masse de convives sur le fond, tenu par trois hommes armés sur le long de la logia. Par terre, trois corps. L’autre côté, le Conseil braqué par trois hommes et quatre personnes du guet. Cordelin est en sang. Jabert est au milieu des hommes en noir.
Pendant ce temps, Gunard utilise un wagonnet pour descendre plus rapidement de la mine. A son arrivée, il se retrouve face à quatre nains hostiles, une bagarre commence.
Arlan utilise Cundiel pour faire chauffer la structure. Les joints et les rivets pètent. Tout explose et la verrière descend d’un coup vers le sol. Les hommes armés sont décontenancés. Eodrec, Arlan et Edegilon descendent le long du lustre, puis pénètrent dans la Grande salle et combattent. Les portes de gauche et de droite s’ouvrent des mecs armés se ruent alors sur les quelques hommes restants. Gibert/Jabert sur la logia tente de s’enfuir mais la fouine le fait basculer et il tombe au sol, mort.
Fahrin est blessé. Le bâtiment est déstabilisé mais l’intérieur n’est pas sapé. Le blé est intact. La ville est sauvée. Les incendies avaient été allumés par des complices. Jabert avait tenté un coup d’état. Les insurgés du groupe de Mardon avaient organisés la défense.