Destins étranges en Terre du Milieu
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 Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022)

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Edegilon
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Edegilon


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MessageSujet: Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022)   Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022) Icon_minitimeLun 11 Avr 2022 - 21:43

Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022)
 

 
Soirée en petit comité.
 
Nous commençons par nous interroger sur la répartition des tâches.
Gunard ira sur la piste d’Holbricht.
Naërya : la question est remise à plus tard.
Kendrick : nécessité d’attendre son retour via la boîte aux lettres.
 
La ville ressemble à Paris : rive droite (où se situe notamment les plantes) et rive gauche, plus agitée. Une île au centre, telle l’île de la Cité : riche et prospère. Le fleuve Sîr Gwatho traverse la ville.
 
Eodrec et Edegilon décident de suivre la trace du prêteur de gage. Situé sur la rive gauche, derrière les docks, en aval du fleuve.
C’est un quartier qui circule pas mal. C’est une ville enchevêtrée avec pas mal d’enjambements de rues. Il y a des arcades et la petite boutique. Elle ne présente pas d’étal, mais elle est grillagée.
 
        La fréquentation du quartier semble populaire, mais diversifiée. Le guet y passe très régulièrement (trop aux goûts des deux camarades). Il passe par groupe de 5 hommes avec des cottes en or (faux or). Ils sont d’ailleurs surnommés la « garde d’or ». Ils sont équipés de pics et d’épées. Ils sont plutôt mal vus. Ils incarnent l’autorité davantage que l’ordre.
 
        Il y a de la tension dans l’air. La pénurie, la rareté, l’inflation est dans tous les esprits.
 
        La boutique elle-même est composée de produits et d’objets à pseudo-valeur : des armes, des bijoux, de la décoration intérieure, des livres…
        Le papier, que les Tisseurs avaient récupéré, indiquait le mercenaire pour le paiement. Le contrat semblait normal mais la somme pour un simple prêteur sur gage, était assez étonnante.
 
        Eodrec questionne les habitants et glanent quelques noms :
Verbrugen, canotar de la ville, considéré comme un « pourri ».
Jados Flinct, chef de la garde d’or.
 
        Nous entrons dans la boutique en utilisant notre couverture habituelle : Eodrec est Elendiur, garde du corps d’Edegilon, marchand prénommé Aranuir.
        Elendiur entame la discussion. Il précise qu’il ne vient ni acheter, ni vendre. Il recherche à engager un homme de main, en expliquant que le nom du prêteur avait été donné comme personne pouvant l’aider. Le prêteur Gerhard se sent menacé et il s’apprête à poser ses mains sur son arme (probablement une arbalète) derrière le comptoir. Elendiur tente de faire redescendre la pression et invente une situation abracadabrantesque dans lequel le marchand Araniur serait cocu, et qu’il recherche activement à pouvoir se débarrasser du traitre.
        Les échanges ne sont malheureusement pas autant fructueux que prévu.
        Les deux hommes demeurent dans le quartier afin de vérifier s’il y a particulièrement du mouvement après leur passage dans la boutique.
 
        Les deux comparses reprennent la route en direction de la boîte aux lettres. Le message que les Tisseurs avaient déposé a bien été récupéré. En repartant, ils entendent des hurlements dans la rue. Il n’y a pas d’attroupement fort mais quelques mouvements de population qui se dirige vers les hurlements de cette femme. Elle pleure et prononcent des phrases « Salaud, vous êtes des pourritures. Foutre une famille dans la rue, c’est lamentable ». Une voix d’homme est perceptible à côté. Au centre de cette petite rue, se dresse un amoncellement d’objets de maison. Les hommes du guet vident la maison, en compagnie d’un homme vêtu de noir et prenant des notes sur un carnet. Dans les objets amoncelés, on distingue quelques outils permettant de travailler le bois (l’homme est menuisier) et quelques affaires pour le linge (une bassine métallique…). L’homme est au sol, a été frappé devant le regard de leurs deux enfants.
        Cette situation est de plus en plus fréquente, pour des loyers impayés. Toutefois ici encore, ce sont des gens sérieux, qui travaillent. Le prix du pain a fortement augmenté et ils leur arrivent d’avoir du retard dans le paiement.
 
        Le riche marchand, Aranuir, n’est pas regardé avec sympathie dans le quartier. Il y a une sorte de haine anticapitaliste.
        Les potins du quartier permettent d’apprendre qu’une soupe populaire est présente, organisée par Thomas Ver Brucken : un marchand qui a du cœur. La soupe populaire se déroule à « l’auberge pour tous ».
        Les gardes dispersent alors la foule.
 
        C’est à ce moment qu’Elendiur et Aranuir se présentent à la famille. Elendiur propose l’hébergement à la famille. Ils pourront prendre place dans l’échoppe en échange d’accueillir les quelques clients.
L’homme se dénomme Perdj de Clerk et la femme, Elfie.
Alors qu’ils font chemin vers l’échoppe, Aranuir fait un détour afin d’offrir un repas, modeste, à la famille (soupe, pain et une petite attention pour les enfants). La famille s’installe dans le milieu de cet après-midi.
 
        Les échanges permettent d’apprendre que depuis quelques mois, les expulsions sont de plus en plus nombreuses, dans différents quartiers. 3 familles expulsées avaient comme point commun le propriétaire, un certain Clarsk. C’est un marchand qui possède quelques maisons et appartements. Il n’est pas particulièrement méchant, ni marchand de sommeil. Toutefois, la famille n’avait pas de raisons particulières d’être expulsée. Un retard de paiement, mais c’était déjà arrivé jusque-là.
        Ils échangent également sur un éventuel accapareur de blé. Beaucoup de banques profitent de la situation.
        Les deux amis quittent alors la famille avec la promesse de repasser le lendemain.
 
        Van Brucken possède quelques appartements sur l’île.
        Clarsk réside quant à lui, à proximité du pont principal de l’île, sur la rive droite.
        La soupe populaire se situe à l’Est, en amont, à l’extrémité. Pas très loin des entrepôts de la marine.
        L’auberge des deux acolytes est rive gauche, près du port.
 
        Ils rejoignent l’auberge. Ils échangent avec l’aubergiste afin de glaner encore des informations. Ils apprennent que Thomas Van Brucken est un armateur. Il possède une habitation sur l’île principale : une belle demeure avec des petites tourelles. Il commerce, avec le Gondor, des objets de très belle qualité. Le climat au Gondor serait meilleur et permettrait la culture du raisin donnant une boisson dénommée « vin ». Nous pourrions évidemment en déguster en se rendant sur l’autre rive, au « tonneau rouge ».
        De plus, Van Brucken est le principal financeur du Grand Temple. Ce temple est dédié au culte de la déesse Esthée, déesse de la charité. C’est un des dieux secondaires dans le panthéon de Tolkien. Les prêtresses se distinguent par des robes à motifs : des mains serrées, en offrande, orientées vers le ciel. On entre dans le Temple en offrant une obole.
        Esthée est une déesse qui attire la sympathie. Elle est très pacifique.
        Van Brucken, enfin, a des espoirs dans l’élection du nouveau canotar. Les élections approchent. C’est un homme généreux qui s’oppose donc dans la course à l’élection à Van Brugen (canotar actuel).
        Ce sont des élections censitaires, mais le cens n’est pas trop élevé. La situation est tendue pour Van Brugen, qui n’est pas très populaire.
        Enfin, les discussions permettent de voir que les banquiers sont accusés de « foutre le bordel », même qu’il y aurait des nains dans l’histoire. C’est à ce moment que Eodrec et l’aubergiste échangent quelques propos sur les nains et notamment la manière de distinguer les nains hommes des nains femmes.
 
        Les deux compagnons repartent alors en direction de l’île centrale. Ils traversent le grand pont. L’île est très surveillée avec de nombreux points de contrôle. Il y a beaucoup de bâtiments prestigieux.
        Le Temple est imposant. C’est une rue passante. Les gens pénétrant l’enceinte semble bien habillés. Edegilon pénètre alors l’enceinte. Il observe et se laisse aller aux us : donation et dévotion.
        Eodrec reste dehors pour laisser trainer les oreilles. Les conversations finissent souvent par aborder la politique. Les servants ne prennent pas part aux discussions mais le nom de Thomas Van Brucken revient très régulièrement, comme une personne positive. La ville est prospère et sécurisée.
        Edegilon peut observer que le Temple est ouvert à tous, très fréquentés. Une grande mixité : dunéains et dunédains. Dans les dons fournis : des sommes d’argent, des parchemins. Des prêtresses viennent régulièrement récupérer une partie des dons. Edegilon se recueille. Il sent une sensation forte de chaleur qui l’envahit. Il met ses mains tendues, en offrande. Il se remémore des souvenirs. Il se sent « chez lui », accueilli. Il a une pensée pour la famille De Clerck. Il se sent heureux d’avoir pu les aider.
        Les hommes du guet ne sont pas des mercenaires. Ce sont des gens locaux, du pays. Ils constituent un vrai guet (mais pas non plus une armée).
        Il y a un dispensaire, attenant au Temple. Il est évidemment gratuit.
        Eodrec questionne sur le « Clarks » : c’est un marchand de bois dans la batellerie. Il connaît Van Brucken.
 
        Les deux hommes se dirigent ensuite vers la prison. En effet, Eodrec a l’ambition de libérer une de ses connaissances, un barde.
        Le bâtiment est fortifié. Devant, une grosse auberge « Les enchaînés ». Les deux compagnons y pénètrent. Ils écoutent les conversations. Eodrec questionne sur un barde, blond, emprisonné pour avoir chanté des propos peu appréciés. Eodrec prétexte à nouveau que son patron (Aranuir) aurait été cocufié et qu’il cherche donc à mettre la main sur ce barde. Le barde est censé sortir d’ici deux à trois jours. Eodrec tente de négocier la sortie au plus vite (demain). La négociation part autour des 15 pièces d’argent, dont 6 à verser immédiatement. Elendiur prétend n’en posséder que 4 sous la main et tentent de négocier. L’officier refuse. Elendiur demande alors soutien à son maître. Aranuir semble hostile à l’idée de débourser autant pour gagner deux jours d’emprisonnement. Eodrec explique à Edegilon qu’il se sent responsable de cet emprisonnement. Après un échange autour de l’amitié, Edegilon accepte de débourser à nouveau deux pièces d’argent afin d’aider Eodrec.
        La nuit est en train de tomber.
 
        Ils se dirigent alors vers « La rivière d’argent », auberge d’accueille de Nahel Fat Tahim et de Naërya. Les rues sont éclairées. Le quartier et l’auberge requiert un niveau social très élevé. Eodrec passe par les écuries. Edegilon comprend que même son apparat de marchand ne sera pas suffisant et préfère rester à l’écart, dans la rue.
        Eodrec s’adresse à un palefrenier et, en échange d’une obole, lui demande de transmettre un message à Nahel Fat Tahim. Le contenu du message étant « Le cheval d’Archinor est arrivé ». Une quinzaine de minutes plus tard Nahel descend.
        Il explique que le remboursement s’est fait sans problème. Toutefois la banque HSB va mal. Peut-être au point de se faire racheter. La situation est inquiétante. Si elle doit se faire racheter, il va falloir être très attentif aux noms des prétendants.
        Eodrec l’interroge sur Van Brucken. C’est un philanthrope, un vrai. Très croyant. Il bénéficie de pas mal de soutien pour devenir canotar. Le canotar actuel a également des soutiens. Il plaît notamment sur la gestion financière, les rentrées d’argent. Il permet de solides garanties commerciales.
 
        Nous rentrons à l’auberge et nous sommes rejoint par Arlan.
        Arlan quant à lui à passer sa journée à vadrouiller. Tout d’abord du côté de l’île principale. Il fut interpellé par un grand chantier, mais plus encore par la construction d’une tour en face, sur la rive droite. Elle ne ressemble pas à une tour de château, ni une tour militaire. Elle est plus effilée.
        Il pense alors aller voir une vieille connaissance : Trévil. Un homme de confiance, d’après ses souvenirs.
        Finalement il choisi d’aller voir la tour de plus près.
        Elle est située sur le quai, rive droite, en aval du fleuve. Elle est constituée de pierres blanches, comme un phare, avec une tour lanterne. Un bulbe central se distingue, et en haut, une sorte de lanterne avec des balustrades. L’entrée est close. En bas de la tour, la porte est légèrement protégée. Il y a des ouvriers et quelques gardes. Arlan décide alors de pénétrer le chantier en se faisant passer pour un ouvrier en saisissant un sac et un marteau. Il entre ensuite dans la structure. Puis à l’approche de l’entrée, change ses outils pour se faire passer pour un tailleur de pierre (avec un burin). Il gravit une cinquantaine de marches et parvient au bulbe central. Une pièce circulaire avec des fenêtres et une grande baie dirigée plein ouest. Un prie-Dieu est positionné au centre de la pièce et semble avoir été récemment utilisé. Arlan y découvre d’ailleurs un cheveu roux (peut-être celui de sa sœur ?). Au sommet, une grande baie orientée plein ouest également. Toutefois, il ne peut s’encastrer dans la baie prévue à cet effet, il semble être trop grand. Au sol, une étoile à 5 branches (noir et or) (même symbole présent à l’étage inférieur). Il est au centre du pentacle et s’empresse de se décaler légèrement. Sur le cercle, en hauteur, des marques d’architectes sont perceptibles. La fenêtre va probablement être légèrement surmontée d’une demi-hauteur.
         En redescendant il tombe nez à nez sur deux hommes : un avec un crayon et une planchette, l’autre armé. Les deux hommes tentent de l’intercepter. Arlan simule parfaitement le fait d’être un simple ouvrier, en fournissant une fausse identité, avouant avoir été trop curieux et présentant ses excuses. Il se fait alors remonter les bretelles par l’architecte. Il descend alors. Il a toutefois pu observer le dessin sur la planchette : une personne, de dos, debout, devant la baie, avec un diadème sur la tête.
        Une fois sortie, il vérifie l’interaction potentielle de Cundiel : elle ne chauffe pas mais semble légèrement brillée. Arlan entend alors une voix dans sa tête « Arlan, viens à moi pour t’offrir ta destinée, je t’attends. Je t’offrirai ce que tu désires ». Il reconnait la voix d’Ar Anenzor ( ? merci de corriger le nom). Il fuit alors, du mieux qu’il peut, vers un parc.
 
       
        Arlan rejoint ses compagnons à l’auberge. Edegilon tente le débrief, toutefois Arlan ne l’écoute pas, il est pris dans ses pensées et peine à se relever des émotions du jour. Eodrec l’invite à d’abord nous expliquer les événements qu’il a vécu. Il nous explique alors que cette tour blanche lui rappelle la tour du Tyr Yarmen, tour de la fin du 2e Âge, dans son château. Ce fut une tour construite à la fin du Numénor. C’est sa famille qui l’aurait bâti. Elle a été abattue à la fin de la Grande Guerre, il y a 2600 ans.
Cette tour permettrait d’utiliser les pierres d’appel. Sa sœur en posséderait un, et elle serait probablement victime d’un pacte.
        Les deux comparses finissent par expliquer leur journée.
 
        Au petit matin, Eodrec a été récupéré le barde. Il nous retrouve ensuite à l’échoppe. Edegilon s’écarte pour aller jouer avec les enfants.
        Le barde Dahoar (Dowaro) a été maquillé, comme s’il avait été passé à tabac. Il est missionné d’inventer une chanson sur Archinor et les mûriers.
        Arlan questionne le barde sur la tour. Ils apprennent qu’il y a un autre grand chantier, bien plus intéressant : une grande statue.
        Arlan le questionne également afin de savoir s’il connaît une barde aux cheveux roux, qui chante beaucoup et qui est envoutante par ses mouvements (sa sœur). Elle est en prestation dans les hautes populations.
Dahoar avait été emprisonné après avoir chanté au sujet des Tisseurs.
 
        Les Tisseurs échangent ensuite sur les différentes guildes présentes.
        Puis ils vont chercher à contacter Lendril : un marchand qui commerce avec le Gondor. C’est un personnage qu’ils avaient rencontré lors de leur passage précédent à Tharbad. Un personnage qui leur est redevable.
 
        Arlan lui rend visite. C’est un marchand de catégorie moyenne. Il est installé dans une petite boutique qui tourne. Il est heureux. Il présente à Arlan, sa petite famille et lui propose un repas. Il fait du commerce avec le Gondor mais le commerce avec les Dunéains est devenu difficile (il y a eu des attaques récemment). Une partie de l’armée du roi s’est fait battre. Le roi du Cardolan a des ambitions mais il n’a pas les épaules pour. C’est quelqu’un d’ouvert, de sympathique.
        Le canotar a restauré l’ordre et l’autorité et c’est un plus pour les commerçants. Ceux qui votent, sont ceux qui payent des impôts, souvent des commerçants.
        Arlan évoque Eldorian. Une banque s’est installée ici très récemment. Elle occupe déjà une grande place et fait d’énormes affaires. Elle est située en dehors du quartier des banques.
        Enfin les révoltes sont évoquées autour de l’augmentation des prix mais les gardes d’or répriment sévèrement ces soulèvements.
        Arlan termine l’entretien par demande un nom d’un commerçant de blé fiable afin de développer les échanges avec Theid Mor.
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Finaël
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MessageSujet: Re: Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022)   Dettes mortelles, épisode 1 (11/04/2022) Icon_minitimeLun 11 Avr 2022 - 22:56

Encore bravo à Xavier pour le travail réalisé Laughing

C'est toujours utile mais, ici, particulièrement puisque nous n'étions pas tous présent.

Cela permet d'avoir une idée très précise de ce qui s'est déroulé.


Cette soirée "reconnaissance" a permis, visiblement, de réunir pas mal d'informations diverses qui seront des plus utiles pour la suite des évènements.

Beaucoup de personnages, des contacts pris avec les uns et les autres.

On a presque l'impression, à certains moments, d'un scénario "d'espionnage" avec les "phrases codes" d'Eodrec : « Le cheval d’Archinor est arrivé »  Laughing


Les "aventures" d'Arlan, sont assez inquiétantes et il semble qu'il se passe des choses étranges à Tharbad, il n'y a pas que des banquiers, des commerçants et des artisans ...  scratch


Une tour singulière qui renvoie à l'ancienne tour de la famille An'Vary et, donc, aux pierres de rappel, présence possible de sa sœur, la voix de la femme et un possible pacte...


Là, ça commence à faire beaucoup…  drunken

Ce n'est plus un nid de guêpes mais un nid de frelons géants  affraid
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