Le plan de bataille

HRP :Ceci est le résultat d'un travail collectif.

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L’instant était grave et lorsque qu’Arlan commença à exposer son plan, tous firent le silence.

Ses compagnons avaient certainement compris ce qu’il avait en tête mais attendaient d’en avoir confirmation.

Mes amis, mes frères, l’heure est grave. La tempête qui vient vers nous apportera mort et destruction. Elle ne vient pas seulement que piller ou voler mais aussi tuer toute vie.

Il est inutile de croire qu’elle s'arrêtera ici si nous ne la stoppons pas maintenant.

Il faut donc nous préparer et nous unir autant que possible.

En premier lieu, il va falloir se cacher aux yeux de l’ennemi. Que tous les chasseurs aillent en forêt et éliminent tous les espions ennemis sur ce secteur.

Qu’ils vérifient que notre adversaire ne prépare quelques embarcations pour nous prendre à revers par le lac.

Et si possible qu’ils placent le maximum de charognes empoisonnées (poison lent 1h ou 2 h) pour que nos ennemis s’en nourrissent et en payent le prix plus tard.

Que des messagers partent en double vers tous les villages qui se trouvent à moins d’un jour de bateau. Qu’ils y demandent des renforts et toute l’huile qu’ils pourront nous fournir.

Qu’ils demandent au village le plus proche (village 2) d’envoyer par la même occasion le maximum d'embarcations pour emporter femmes et enfants.

J’irai avec Finaël en reconnaissance pour tenter d’avoir une estimation la plus précise possible du nombre d'ennemis et de leur nature. Cette reconnaissance est primordiale pour l'organisation de la défense.

Par ailleurs, pour tenter d’empêcher le Nazgul de prendre possession de la jeune fille, il faudrait placer cette dernière dans une barque, en pleine eau, cernée par des radeaux portant des torches enflammées. A priori, l’eau et le feu pourraient être des obstacles pour le Nazgul.

Pendant le temps qu’il nous reste nous allons fortifier le village. Sachant que notre ennemi sera plus nombreux que nous il faudra annuler au maximum l’effet du nombre.

Nous appuierons à l’est deux fortifications sur les rochers présents sur la plage

Nous les réunirons par des fossés et des remblais munis de piques pour bloquer les charges. Nous protégerons alors l'accès Nord-Est du village. Cette zone devra être la plus difficile à prendre et la plus défendue.

Nous effondrerons le coin Sud-Est du village empêchant ainsi l'accès par les deux pontons de cette zone.

La zone sud du village sera certainement la plus difficile à défendre donc nous équiperons aussi de fossés et de remblais mais volontairement ou non elles ne seront pas terminées.

Les croisillons seront cachés dans le sable pour pouvoir être mis en place très rapidement.

Dans le village, nous placerons à des endroits stratégiques des mannequins pour donner l’impression que toutes nos troupes sont dans le village ainsi que des pièges qui permettront de couvrir notre retraite.

Une grande partie de nos troupes seront cachés dans la forêt au Nord-Est et attendrons le moment opportun pour prendre l'ennemi à revers.

Nous mettrons en place un cordon d’huile dans le village; (voir plan)

En effet l’idée est d’attirer le maximum des forces de l’ennemi vers la partie sud pour qu’ils s’engagent dans le village.

Nous servirons d’appât car lors de la dernière attaque ils ont tenté de nous voler des objets.

Ensuite nous reculerons en profitant des pièges posés et en utilisant la technique de défense échelonnée jusqu’à la partie Est du village que nous séparerons de la partie Ouest en préparant une grande zone facilement effondrable.

La majorité des archers seront dans des barques hors de vue et de portée de l'ennemi.

L’éclairage intense du village (torches) devrait empêcher l’ennemi de repérer les archers en barque.

Une fois le village coupé en deux les archers tireront des flèches enflammées sur les zones à incendier.

Les combattants présents dans le village avec Arlan, Eodrec, Edegilon et Finaël iront rejoindre le combat au niveau des fortifications Est.

Profitant de la panique, l’armée cachée sortira des bois à ce moment pour prendre à revers l’armée ennemie. Pour éviter que l’armée cachée soit détectée par l’odorat des orques, des charognes, feux enfumés... seront disposés un peu partout.

Durant la bataille finale, les archers en barques devront tirer en cloche par dessus les fortifications.

Edegilon - “Pour ma part, Je vous propose de prendre en charge, avec quelques hommes (une dizaine ? une quinzaine ?), l’installation des pièges (que les nains auront fabriqués) que nous répartirons dans la partie Ouest du village. Toujours concernant les défenses et la maîtrise du bois, je peux aussi m’occuper de la fabrication des pieux et des piques destinés à renforcer le fossé.

Nous veillerons également à préparer les mannequins d’armes. Il nous faudra de la paille, quelques vêtements et des “armes”, bout de bois taillés approximativement devraient faire l’affaire...

Et puis, comme déjà proposé tout à l’heure, je peux voir avec les combattants capable de se replier rapidement pour leur rappeler/initier quelques bases sur la défense échelonnée.”

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Les Nains auront déjà fort à faire à préparer les fortifications, cette zone DOIT tenir !
Je vais préparer un plan de fabrication et je vous propose de prendre un maximum de matériaux dans la partie du village que nous effondrons dès maintenant.
Le reste, la Forêt et la Terre nous le fourniront.

Tous le monde doit être mis à contribution, les moins experts encadrés par les professionnels, et quand on ne sais pas, on demande, on ne se contente pas d'un à peu près.

On doit réfléchir au moyen le plus simple et rapide de séparer la partie ouest du village, une grande partie du plan en dépends.
Il faut aussi prendre un soin tout particulier pour que la partie sud-ouest paraissent en effet pas terminée faute de temps, que l'ennemi soit attiré tel un Nain vers un tonneau de bière sur cette partie.

Je l'ai dit et je le répète, la partie Est fortifiée DOIT tenir, il nous faut les meilleurs archers et les meilleurs combattants sur cette zone, les archers devront en priorité cibler les chefs à porté et sinon, soutenir les combattants au corps à corps.

Vous l'aurez compris seuls, une grande partie du village est condamné, ce n'est que du matériel, l'important ce sont les vies !

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Gunard Maille d'Acier, Fils de Thorin Maille d'Acier et Irania RocFendre
Protecteur extérieur de Khazad-Dûm

Maître de Jeu Nombre de messages : 1460 Date d'inscription : 10/09/2005

Les tisseurs et leurs compagnons venaient de présenter aux nobles entourant Agdad leur plan. L’aube pointait la nuit avait été remplie mais les visages restaient déterminés. Le chef ne put d’empêcher d’exprimer son admiration, les nobles eux même malgré leur volonté de paraître maîtriser la situation étaient impressionnés. Cette approche étaient très éloignée de la leur, mais à écouter ces guerriers chevronnés le plan semblait la meilleure réponse.

Dagon pris la parole : « Nous vous aiderons au mieux. On sélectionnera nos meilleurs guerriers pour le front exposé. Mais nos archers sont des chasseurs et il est très peu envisageable de pouvoir tirer en type combat à partir de nos barques. Pour allumer le feu ce devrait être faisable je pense, mais pas pour soutenir un combat, nos barques sont trop peu stables. » Agdad repris derrière « je reste plutôt opposé à l’idée de faire venir des renforts extérieurs, mais je comprends que si nous gagnions ils seront eux aussi sauvés. Toutefois votre plan est terrible et prévoit des combats violents et surtout l’anéantissement du village. Nous évacuons alors femmes et enfants vers les autres villages ? C’est votre plan ? Il sera très risqué et je ne suis pas sur de l’approuver, si jamais l’ennemi est aussi sur l’eau ce sera un massacre. »

Gathog pris à son tour la parole, un peu blême dans l’aube naissante il se fit fort ayant attiré l’attention de paraitre grand et sûr de lui : « Si évacuation il y a il faudra quelques guerriers pour les accompagner, je les choisirais donc et j’accepte de les commander. Je protègerai nos familles je vous le jure ! »

De brefs regards échangés furent à nouveau interrompus dans leurs fils par Forgail, un noble assez jeune qui vous avait paru jusque-là plutôt distant et méfiant. « Je trouve votre plan excellent. Ne nous leurrons pas nous sommes inférieurs en tout mais vous nous ménagez une chance. Je suis avec vous pleinement messieurs. Je propose que l’on envoie swartig, qui est l’un de nos meilleurs rodeurs, vers le village de Cairn l’autre côté, il saura passer et aller vite. Pour ma part je peux prendre le commandement des piquiers du sud. Je me range sous vos ordres ».

Gaellaig se proposa pour aider Egedilon à rassembler des artisans capables de piéger les pontons et gérer l’huile. Des chasseurs furent envoyés s’occuper des charognes. Le soleil darda ses premiers rayons, faisant miroiter les eaux paisibles du lac alors que sur sa rive sud des hommes s’activaient indifférents à la beauté qui les entouraient.

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Agdad a écrit:: je reste plutôt opposé à l’idée de faire venir des renforts extérieurs, mais je comprends que si nous gagnions ils seront eux aussi sauvés. Toutefois votre plan est terrible et prévoit des combats violents et surtout l’anéantissement du village. Nous évacuons alors femmes et enfants vers les autres villages ? C’est votre plan ? Il sera très risqué et je ne suis pas sur de l’approuver, si jamais l’ennemi est aussi sur l’eau ce sera un massacre.

D'où la nécessité d'attendre le signal des patrouilleurs de la phase 1 qui doivent s'occuper de nettoyer les espions ennemis, disposer les charognes empoisonnées ainsi que s'assurer que le lac est sûr *a lui même* si tant est qu'un lac puisse l'être

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Gunard Maille d'Acier, Fils de Thorin Maille d'Acier et Irania RocFendre
Protecteur extérieur de Khazad-Dûm

AGDAD a écrit:: ...si jamais l’ennemi est aussi sur l’eau ce sera un massacre.

L'armée ennemie ne va pas franchir les montagnes en portant des barques ou radeaux sur leurs dos.

S'ils veulent aller sur le lac, ils enverront un groupe pour construire les embarcations, SUR PLACE, à proximité de la rive.

Or, construire des embarcations, ce n'est pas très discret : il faut abattre des arbres, tailler, couper, scier... C'est donc facilement repérable à la vue et au bruit.

Arlan, me semble-t-il, a bien précisé cela :

ARLAN a écrit:: En premier lieu, il va falloir se cacher aux yeux de l’ennemi. Que tous les chasseurs aillent en forêt et éliminent tous les espions ennemis sur ce secteur.
Qu’ils vérifient que notre adversaire ne prépare quelques embarcations pour nous prendre à revers par le lac.
Et si possible qu’ils placent le maximum de charognes empoisonnées (poison lent 1h ou 2 h) pour que nos ennemis s’en nourrissent et en payent le prix plus tard.

La mission les chasseurs est de faire en sorte qu'il n'y ait AUCUNE PRÉSENCE ENNEMIE aux alentours, ce qui inclut évidemment les rives et abords du lac et le lac lui-même :

1) pour éviter l'espionnage ennemi qui rendrait le plan de bataille beaucoup moins efficace

2) pour prévenir toute tentative de l'ennemi de passer par le lac

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HRP: Désolé, je n'ai pas pu répondre ces deux derniers jours. Je me permet une incise avant que les hommes se mettent au travail si vous permettez.
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Eodrec acquiesçait au plan d'Arlan puis aux remarques des uns et des autres. Se tournant vers Gathog et Dagon :
— Il est indispensable que vous convainquiez les autres villages de nous apporter leur aide, dans leur intérêt même. Contez leur je vous prie cette vieille histoire eothraim. Deux thains étaient alors en guerre, chacun se choisit trois champions pour éviter l'effusion de sang de l'ensemble du peuple

Citation :: « Dès le premier choc, les cliquetis des armes firent passer un grand frisson dans l'assistance ; tous en perdaient la voix, et le souffle. Mais au cœur de la mêlée, les trois Herugrim furent blessés, tandis que deux Guthwiné tombaient, mourant l'un sur l'autre. Leur chute fit pousser des cris de joie à l'armée herugrim ; les cavaliers guthwin tremblaient pour leur unique champion, que les trois Herugrim avaient entouré. Par bonheur, il était indemne, trop faible, à lui seul, il est vrai, pour tous ses adversaires réunis, mais redoutable pour chacun pris à part. Afin de les combattre séparément, il prit la fuite, en se disant que chaque blessé le poursuivrait dans la mesure de ses forces.

Il était déjà à une certaine distance du champ de bataille quand il tourna la tête et vit ses poursuivants très espacés. Le premier n'était pas loin : d'un bond, il revint sur lui. Le Guthwiné avait déjà tué son adversaire et, vainqueur, marchait vers le second combat. Poussant des acclamations, les cavaliers guthwin encouragent leur champion : lui, sans donner au dernier Herugrim, qui n'était pourtant pas loin, le temps d'arriver, tue l'autre. Maintenant la lutte était égale, survivant contre survivant ; mais ils n'avaient ni le même moral, ni la même force. L'un, deux fois vainqueur, marchait fièrement à son troisième combat ; l'autre s'y traînait, épuisé. Ce ne fut pas un combat : c'est à peine si l'Herugrim pouvait porter ses armes ; le Guthwiné lui plonge son épée dans la gorge et l'abat. »

Si nous réussissons à diviser l'adversaire, nous avons nos chances. Si c'est nous qui sommes divisés, nous sommes tous perdus.
Diviser l'adversaire, c'est l'un des points forts du plan d'Arlan. Je crois que nous pouvons renforcer encore cet état de fait.
Les grilles par exemple, proposées par Gunard, ne devront pas être relevées contre la première vague, mais contre la seconde, le temps de nous laisser vaincre au corps à corps des adversaires inférieurs en force. Les archers de la même façon, ne devraient pas viser la tête de la colonne de l'ennemi, mais tirer en son centre, encore une fois pour diviser les vagues. Si nous adoptons une défense en profondeur, nous améliorons nos chances de succès.

Pour ce qui est des troupes placées sur le lac, les barques sont trop instables pour un tir d'archers, soit. Mais nous pouvons réunir deux ou trois barques et former par dessus une plateforme stable.

Ensuite, il nous sera peut-être possible d'orienter les troupes ennemis vers l'endroit que nous voulons, et jouer de leurs rivalités. Voilà plusieurs mois que j'accumule lentement des données sur les compagnies d'orcs. Elles utilisent des étendards de guerre comme des humains. Si les éclaireurs que nous avons idée d'envoyer reviennent en nous décrivant lesdits étendards, un peu de provocation devrait guider telle ou telle unité vers l'endroit que nous voulons ... Je suis certain que les enfants du village prendront grand plaisir à se peindre urinant sur les étendards de l'ennemi, ou par un jeu astucieux de provocations, leur faire croire que nous craignons plus telle unité que telle autre ... Cela ne nous suffira pas pour vaincre, mais si déjà cela sème la zizanie, voire désorganise leurs rangs en les poussant à vouloir venger leur "honneur", ce sera tout bon pour nous …

Enfin, il nous faut penser à la partie du village qui servira de refuge. Les fenêtres devront être clouées, que chaque hutte, devienne, en ultime recours, un pôle de résistance contre l'ennemi. Cela veut dire aussi que les toits, les murs devront être recouverts de mousse ou de fourrures épaisses imbibées d'eau, afin de les ignifuger. Des seaux préremplis devront être placés au faîte des toits, et par un système de corde, devront être renversés pour étouffer immédiatement tout début d'incendie, en particulier dans la zone proche du quartier sacrifié. Des pompes devront être prépositionnées, des balais propres à étouffer le feu. Et les non combattants devront servir de défense passive, pour signaler les risques et les anticiper.

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Eodrec, sonneur de cor. Arpenteur de la Terre du Milieu.

Je pense très honnêtement et sincèrement qu'il ne faut négliger aucun détail...du genre que ceux que donne Eodrec. Ce sont les détails qui font la différence, un petit rien au départ qui peut devenir rapidement quelque chose de décisif. Une avalanche commence toujours de façon ridicule mais finit toujours par tout emporter.

Jouer sur la bêtise et la rivalité des orcs, penser à protéger les toits de l'incendie, clouer des fenêtres...tous ces petits détails peuvent paraître insignifiants comparés au plan général de la bataille mais, en définitive, ils peuvent être décisifs.

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Autres infos hors RP :

Aconite : est un genre de plantes herbacées, les aconits, de la famille des Ranunculaceae. Ce sont, pour un certain nombre, des espèces montagnardes. Leurs fleurs semblent coiffées d'un casque. Elles contiennent des alcaloïdes toxiques, dont l'aconitine, poison mortel pour l'homme et pour de nombreux animaux.

TOXICITÉ :

Les principes toxiques de cette plante (ainsi que de tous les autres Aconits, car il en existe au moins une trentaine d'espèces) sont des alcaloïdes, la napelonine, et l'aconitine.

Pour un adulte, la dose létale d'aconitine purifiée est de 3 à 6 milligramme.

L'effet de ce poison est une paralysie respiratoire. Tout commence par des coliques et des vomissements, puis des difficultés respiratoires, un affolement du rythme cardiaque, et parfois la mort.

Les feuilles d'Aconitum napellus contiennent de 0,2 à 1,2 % d'aconitine, les racines de 0,3 à 2 %

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Digitale :

Les digitales forment le genre Digitalis, environ vingt espèces de plantes herbacées classiquement placées dans la famille des Scrofulariacées. Les études récentes situent désormais ce genre dans les Plantaginacées.

Les digitales sont originaires d'Europe, d'Afrique du nord-ouest et d'Asie occidentale et centrale.

Ces plantes peuvent être très toxiques. L'absorption d'environ une dizaine de feuilles provoque des troubles graves sur un sujet humain de corpulence moyenne.

TOXICITÉ :

La plante est toxique dans toutes ses parties.
Chaque plant en fonction de son exposition au soleil, contient à des doses différentes le principe actif. Elle est courante à la lisière des bois ou dans les clairières des forêts. Les concentrations en alcaloïdes toxiques des digitales laineuses (Digitalis lanata) ou des digitales jaunes (Digitalis lutea) peuvent être plusieurs fois supérieures à celles trouvées dans la digitale pourpre (Digitalis purpurea).

L'absorption d'environ une dizaine de feuilles de digitale pourpre (qui peuvent être confondues avec celles de la bourrache) provoque des troubles graves sur un sujet humain de corpulence moyenne.

Selon le Dr Georges Becker, 120 g de feuilles de digitale pourpre représentent une dose mortelle.

Les premiers symptômes sont les nausées, les vomissements, les diarrhées, les troubles cardiaques importants. La mort intervient rapidement.

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Ces 2 plantes poussent un peu partout et, notamment, en montagne. Elles sont très faciles à trouver et s'avèrent très toxiques.

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Le plan de bataille Signature

Un peu de vocabulaire illustré pour se faire plaisir :
[source wikipédia]

Chausse-trappe : La chausse-trape est composée d'un ensemble de quatre pointes, disposées selon les quatre sommets d'un tétraèdre régulier, ce qui fait que, quelle que soit la position dans laquelle elle atterrit, elle retombe toujours sur trois pointes formant une base qui la stabilise, la quatrième étant donc orientée vers le haut. En poursuivant un adversaire ayant lancé des chausse-trapes, on risque de s'en planter une ou plusieurs dans les pieds. Les chausse-trapes pouvaient, à l'occasion, être enduites de poison, rendant les blessures mortelles.

Cheval de frise : barrière de défense utilisée depuis au moins la protohistoire, devant les remparts des oppida.

Le plan de bataille Gabions

Gabion : Le gabion est originellement un système défensif utilisé pour rapidement protéger une position. Un gabion se compose alors d'un panier en osier tressé et rempli de terre et de gravats. D'un coût modique et d'une bonne tenue, ils sont relativement faciles à mettre en œuvre et aisément modulables.

Le plan de bataille Mantelets.defensifs

Mantelet : objet mobile qui protège un soldat en faisant office de bouclier, mais en étant plus grand, plus lourd et plus solide que celui-ci.

À compléter ...

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Eodrec, sonneur de cor. Arpenteur de la Terre du Milieu.

Je reprends le plan de Fred pour continuer la réflexion.

Le plan de bataille Planam10

Il faut réussir à canaliser les ennemis et empêcher qu'ils se déversent sur la "zone à préserver" (ZAP). D'où à mon avis des zones a détruire de grande ampleur avant même l'affrontement (en rouge). On conserve juste la façade d'une des maisons pour masquer l'effondrement de celles qui sont derrière.
Ou alors on détruit seulement la passerelle devant le temple ? Mais les maisons entre cette passerelle et la "ZAP" me semblent dangereuses : elles sont proches de la ZAP et pourraient servir de refuge à des gob pour canarder ladite ZAP
Rq : la zone a préserver, par sa taille, oblige à évacuer une partie de la population. Sinon les densités seront intenables …

En ce qui concerne la position des Tisseurs (sauf Gunard ; d'ailleurs a-t-on intérêt à y être tous les autres ?)
Il va falloir tenir le plus longtemps possible pour attirer le + de gob (et autres) possibles ... mais ne pas se faire complétement encercler ... J'ai mis en flèches bleues le trajet logique des ennemis. Du coup, repasser par le point "1" pour fuir me semble très compliqué, ce serait aller contre la marée ...
Mieux vaut prévoir à mon avis de passer par le chemin vert que j'ai fléché, avec les aménagements pour le sécuriser un poil (zone à effondrer au préalable en rouge). Ça oblige quand même à prévoir un passage facilité à travers la hutte (sous couche caca-d'oie) et utiliser plus loin une CORDE (ou autre) pour rejoindre la hutte du chef.
Les zones en grillages rouges devront être barricadées, pour tenir le temps qu'on descende du toit et qu'on fasse retraite.

Je propose de limiter davantage la zone à effondrer (ou à détruire immédiatement ?), la partie au dessus me parait très serrée, donc plus difficile à détruire.

Pour la ZAD de Gunard (j'ai toujours su qu'il était un peu zadiste, ce nain).
On pourrait je crois incliner la fortification supérieure, et lui accorder un effort particulier afin d'en faire une plateforme de tir aussi abritée que possible pour des archers. Incliner, c'est à dire ne pas la mettre perpendiculaire à la berge pour qu'ils puissent arroser la zone centrale. En goulot d'étranglement, ça gênera les assaillants.

ZUT, j'ai raté mon insertion d'image, cliquez dessus pour le voir dans une taille raisonnable. Désolé …

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Eodrec, sonneur de cor. Arpenteur de la Terre du Milieu.

Ces ajouts et compléments viennent peaufiner la stratégie.

Il faudra tout mettre à plat et faire un topo récapitulatif, bien sûr, afin que chacun joue son rôle parfaitement.

Il s'agit de ne pas s’emmêler les pinceaux au cœur de l'action Laughing

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