Destins étranges en Terre du Milieu
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 Récit d'un voyage [selon Maître Aléas]

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Finaël
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Finaël


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MessageSujet: Récit d'un voyage [selon Maître Aléas]   Récit d'un voyage [selon Maître Aléas] Icon_minitimeLun 4 Oct 2010 - 21:25

Un petit préambule comme à mon habitude Laughing

Une fois encore, à travers ce récit, on découvre les membres de la Communauté. Mais cette fois-ci, selon un éclairage fait de simplicité.

Comme bien souvent, je centre le récit sur l'un de vos persos en relation avec le mien. Les autres restent donc en arrière-plan.

Cette démarche découle de deux raisons :

1) si je décris avec détail chaque perso et ses activités, il me faudrait des pages entières study

2) j'inclus à chaque fois mon perso car c'est évidemment la base sur laquelle j'appuie mon récit, une base que je connais. Comment pourrais-je savoir avec exactitude ce que ferait, dirait par exemple, Eodrec avec Arlan, ou Gunard avec Théo,....etc...

Déjà je prends quelques libertés en faisant parler ou agir tel ou tel perso. Et cela ne correspond pas forcément à ce que vous auriez imaginé ou dit ou écrit.

C'est bien pour cette raison que je vous demande d'intervenir :

- soit indirectement par des conseils ou suggestions

- soit directement en éditant le récit et en y apportant vos propres modifs

Enfin, ce texte se présente en 2 temps :

1) le récit en lui-même

2) le message que délivre ce récit

La seconde partie est à venir...


-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Il m'a été donné une fois où l'autre d'accompagner la Communauté dans un voyage de quelques jours. Il s'agissait évidemment d'un trajet sans risques majeurs.

Voici le récit de l'un de ces voyages ou plus exactement d'une après-midi passée au cours d'un de ces voyages.

Ce jour-là, nous fîmes halte très tôt dans la journée...à mon grand soulagement car le rythme de marche des membres de la Communauté est plus que soutenu. Et encore, je les soupçonne, d'avoir tout fait pour refréner leur vitesse habituelle afin de ne pas me mettre en difficulté.

Mais malgré cela, je fus à la peine et nous avions tout de même pris énormément d'avance sur le jour et l'heure du rendez-vous qui nous attendait.

Aussi, un repos forcé pour la Communauté et un repos espéré et béni pour moi fut décidé.

Avec célérité et précision, le camp fut dressé. Inutile de préciser que malgré un très improbable danger, c'était un camp de guerriers. L'endroit fut soigneusement choisi pour offrir la meilleure protection possible en cas d'attaque avec, il va de soi, une solution de repli.

Chacun inspecta pour son propre compte l'endroit pour en prendre l'exacte mesure. La connaissance du terrain est toujours un avantage redoutable dans un combat.

L'elfe, en tant qu'archer, inspecta différents postes de tir situés à bonne hauteur du sol afin de couvrir un vaste de champ.

Le Hobbit repérait les endroits où ils pourraient disparaître, et d'où, le cas échéant il serait en mesure d'arroser l'assaillant de billes de plomb.

Les guerriers, eux, cherchaient le meilleur endroit pour combattre ensemble sans se gêner mais sans non plus laisser à l'ennemi le loisir de les contourner.

Ce temps de découverte fut assez rapide mais non hâtif. Ils savaient tous que leur vie pouvaient dépendre du soin avec lequel ils inspectaient l'endroit qu'ils choisissaient. D'ailleurs, au cours de cette inspection, on parvenait à déceler dans l'air comme une tension, comme s'ils s'apprêtaient à combattre dans l'instant qui suivait. Cette tension disparut comme par enchantement dès qu'ils en eurent fini. La bonne humeur et la détente revinrent aussi vite qu'elle s'était estompée.

Finalement, cet après-midi était quartier libre et chacun alla vaquer à ses occupations.

Pourtant je remarquai au bout d'un moment, que chacun restait à portée de voix, dans un périmètre relativement restreint leur permettant, sans doute, le cas échéant, de se rejoindre en une poignée de secondes afin de faire face à quelque danger que ce soit. Cela n'avait été nullement énoncé d'une façon ou d'une autre. Cette précaution était devenue pour ainsi dire naturelle pour eux.

Cela en disait long sur leurs capacités à combattre et à faire face au danger.

Assis à l'ombre d'un arbre, j'observai les occupations des uns et des autres.

Le Hobbit, évidement, mettait à contribution le temps donné pour préparer un repas digne de ce nom. Il avait même le loisir, d'après ce que je voyais, de confectionner quelques petits encas personnels destinés sans doute à le faire patienter jusqu'à l'heure du souper.

Le Dunédain, en chantonnant, faisait aller avec régularité une pierre sur la lame de son immense épée. Vu l'éclat de la lame, il me semblait qu'elle était d'une qualité telle que la pierre à aiguiser était sans doute tout à fait inutile. Mais ce geste, qui devait être familier au Rôdeur, lui permettait sans doute de s'absorber dans une paisible méditation.

Un peu plus loin, l'Eothrem était en grande conversation...avec son cheval. Le cavalier profitait de son temps libre pour en accorder une grande part à son compagnon. Il lui parlait tout en étrillant sa robe avec soin. Il lui flattait l'encolure du plat de la main, parfois il sortait d'un sac quelques quignons de vieux pain qu'il offrait à l'équidé. Tous deux, manifestement, prenaient un vif plaisir à partager ces instants.

J'en étais là de mes observations quand je me mis à chercher des yeux l'endroit où se trouvait l'elfe et le nain.

Il n'étaient guère loin, eux aussi. Mais que faisait-il ensemble car, c'était certain, ils œuvraient à une tâche commune.

Qu'est-ce que cela pouvait bien être ?

Je sentis ma curiosité piquée au vif, je pivotai pour faire face à leur position.

(à partir de ce point, j'aurai grand besoin de Gunard pour rectifier/ajouter ce qui est nécessaire Wink )

Un feu vif brûlait déjà. Pendant un moment, ils ramassèrent tous deux du bois mort pour en faire un tas assez conséquent.

Pourquoi un second feu de cette ampleur si près du premier ?

Ils s'assirent ensuite sans un mot autour du feu mais à bonne distance quand même car la chaleur dégagée était assez intense et ils se contentèrent pendant un bon moment d'alimenter régulièrement le feu qui, à priori, ne servait à rien.

Au bout d'un certain temps, le nain fourragea dans une besace pour en sortir différents ustensiles. L'elfe n'intervint pas.

Puis, à un moment donné, de concert, ils rabattirent le feu pour le transformer en un gros tas de braises rougeoyantes. Visiblement, ils n'en étaient pas à leur premier essai et ces préparatifs leur semblaient tout à fait habituels.

Gunard disposa selon un ordre qui me semblait méthodique les ustensiles entre lui et Finaël. Il se débarrassa de son armure, et de sa cotte de maille pour ne garder qu'une simple chemise dont il releva les manches. On aurait pu croire que le nain ainsi séparé de son armure serait moins impressionnant. Pour moi, ce fut le contraire. Je pus prendre l'exacte mesure de sa corpulence et de son extraordinaire musculature. Chaque geste qu'il accomplissait, même les plus simples, faisait rouler les muscles sous la peau. Même à mains nues, je n'aurai guère apprécié d'affronter un tel adversaire.

Finaël observait son ami avec tranquillité et attention comme s'il se tenait prêt.

Et ils se mirent au travail. Je compris enfin la nature de la tâche qu'ils allaient accomplir. Le nain s'apprêtait à un travail de forge et l'elfe était son assistant et son apprenti.

Incroyable ! Je n'en revenais pas.

L'elfe qui m'avait paru si...grand, si lointain lors de notre première rencontre se trouvait là, assis sur ses talons, avec un regard d'enfant émerveillé devant la sûreté des gestes de son ami, lui présentant les outils au fur et à mesure que le besoin s'en faisait sentir. Pas un mot, une entente parfaite et muette.

De temps à autre, Gunard poussait un ahan dans l'effort, la sueur ruisselait sur ses avant-bras et son visage, tant par l'effort que par la chaleur du feu. Puis il y eut un tintement clair, un tintement de métal, de forge. Et le petit marteau s'abattit encore et encore pour façonner le métal blanc de chaleur. L'elfe semblait émerveillé par les petites gerbes d'étincelles que
les coups du nain faisaient jaillir par intervalle. Un moment, une mouche vint virevolter devant le visage du fils d'Aulë qui ne pouvait interrompre son travail surtout à cet instant déterminant.

Il battit vainement d'un paupière pour tenter de repousser l'insecte importun. Le manège n'avait pas échappé à l'elfe qui sourit, amusé. Mais soudain, la main de l'eldar fut projetée en avant avec célérité pour happer la mouche en plein vol à quelques centimètres du visage du nain qui ne broncha pas et continua son travail comme si de rien n'était. L'elfe pivota ensuite vivement sur lui-même, tendit le bras et libéra l'insecte puis, tout aussi promptement, repris sa position initiale.

Même le plus insignifiant et le plus importun des êtres vivants était épargné. L'elfe se refusait à donner la mort quand elle n'était pas absolument nécessaire même quand il s'agissait d'une simple mouche. C'est à peut-être à cet instant, dans ce détail et ce geste anecdotique que j'ai pris conscience de la signification du DirnArda.

Jamais je n'oublierai cette main tendue vers le ciel pour libérer un être chétif, méprisé, ignoré.

Mais le travail touchait à sa fin. Le chant du métal se tut, il y eut le frémissement de l'eau au contact du métal brûlant et ce fut tout.

Quelque temps plus tard, Gunard récupéra les petits bouts de métal forgés dans le récipient rempli d'eau. Il les éparpilla sur sa main ouverte pour observer le résultat de son travail. L'elfe se pencha à son tour pour observer.

A cet instant, j'ai pris conscience du tableau qui m'était donné à voir. Ces deux êtres que tout semblait séparer, dissemblables au possible, contemplaient, leur tête penchée presque à se toucher, quelques bouts de métal qui leur semblaient à tous deux dignes du plus haut intérêt.

Alors les rôles s'inversèrent, Gunard fit quelques pas pour s'adosser à l'ombre d'un arbre, s'épongeant le front ruisselant de sueur. Non pas que l'effort fut surhumain, mais ce travail nécessitait une grande concentration et la chaleur du feu était intense. En effet, il venait de forger des pointes de flèches pour son compagnon, l'elfe.

Finaël réapparut quelques instants plus tard avec de l'eau fraîche dans un récipient, spécialement recueillie pour Gunard. C'était sans doute un des rares moments où le nain appréciait à sa juste valeur cet élément liquide. Après s'être désaltérer abondamment, le barbu extirpa d'une poche son brûle-gueule et le garnit de tabac odorant tout en jetant un œil averti sur l'elfe qui se mettait, à son tour, au travail.

L'elfe disposa, lui aussi, devant lui, divers ustensiles et outils qui allaient lui servir à fixer les pointes sur des branches taillées avec soin. Gunard regardait avec détachement le travail de Finaël. Cela ne l'intéressait pas outre mesure car cela n'était pas de son ressort. Mais il se sentait concerné avec juste raison et il aimait observer toute forme de travail manuel.

Promptement, l'elfe colla et ligatura les pointes sur les flèches puis travailla aux empennages. Puis, après un délai que je ne pourrai préciser tant j'étais absorbé par ma curiosité, son travail fini, comme s'il s'agissait d'un rituel, Finaël déposa un bout de bois en forme de bûche aux pieds de son compagnon.

Il s'éloigna de quelques pas, prit une flèche nouvellement confectionnée, banda l'arc vers le ciel et décocha son trait.

La flèche disparut dans le ciel. Après un bref moment, un bruit strident se fit entendre et un objet vint se ficher, vibrant, dans la bûche aux pieds du nains. Celui-ci s'empara du trait encore vibrant, le soupesa pour en estimer l'équilibre, tira une bouffée sur sa pipe, tâta du pouce la pointe et poussa un grognement en guise d'assentiment, estimant que le projectile était suffisamment acéré et tout à fait adapté à l'usage qui lui était destiné.

D'un geste sûr, il lança la flèche vers l'elfe qui l'attrapa au vol et la plaça, sans un regard, dans son carquois.

Ils venaient de travailler ensemble pendant plusieurs heures, sans qu'un mot ne fut échangé et pourtant je puis vous assurer qu'il n'y avait pas plus grande complicité entre ces deux-là.

Ainsi s'écoula cette paisible après-midi d'automne.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Certains se demanderont quelle est l'utilité de ce récit.

D'autres, encore, reprocheront à ce récit de ne point servir les membres de la Communauté, voire même de les rabaisser car ils sont ici présentés comme de simples promeneurs vaquant à leurs occupations.

Qu'il me soit permis d'éclairer les uns et les autres.

Tout d'abord, je me suis engagé à raconter l'Histoire de cette Communauté et c'est bien ce que je fais à travers ce récit.

En second lieu, ce qui est intéressant ce n'est pas le récit en lui-même, qui effectivement, en apparence, présente bien peu d'intérêt, mais plutôt ce qu'il nous apprend, ce qu'il dévoile.

A ceux dont la sagacité ferait défaut, je vais donc éclairer leur lanterne.

....à suivre...voici donc la suite, car chose promise...


Pour commencer, je ne crois pas du tout rabaisser les Membres de la Communauté en les décrivant ainsi, vaquant à leurs occupations, au cours d'un voyage.

Au contraire, c'est dans la simplicité du quotidien que se dévoile la vraie grandeur.

Il est facile, le temps d'une cérémonie officielle par exemple, de s'affubler du masque de la grandeur et de la noblesse d'âme, de tromper autrui en satisfaisant à l'étiquette, aux convenances, en choisisssant ses mots avec soin, en se surveillant, en accomplissant mille courbettes plus hyprocrites les unes que les autres. Mais ce n'est que tromperie et dès lors que le théâtre prend fin, l'individu réapparaît tel qu'il est réellement.

Pour vraiment connaître quelqu'un, les qualités de son âme, rien de tel que de vivre à ses côtés au quotidien. Le masque ne résiste pas au fil des heures et des jours qui passent et, fatalement, on revient à la vrai nature de son caractère.

Ainsi, j'ai pu découvrir qui ils sont vraiment car j'ai marché, mangé, dormi à leurs côtés.

D'emblée, ce qui m'a le plus frappé, c'est le peu de différence entre leur comportement quotidien et celui qu'ils peuvent avoir dans les grandes occasions.

Bien sûr dans ce cas de figure, comme tout un chacun, ils revêtent leurs plus beaux atours, choisissent avec circonspection leurs mots. Mais au delà de ça, ils restent les mêmes, sans ostentation, sans mensonge, sans duplicité, sans hypocrisie.

Ils m'ont accepté parmi eux, moi, le barde lent à la marche, incapable de manier l'épée. Et jamais pourtant, ils n'ont été dédaigneux, condescendants envers moi. Ils ont entendu mes paroles et les ont écoutées, vraiment. Ils n'ont nullement cherché à m'impressionner, à parader, à se présenter sous leur bon jour.

Et d'ailleurs, cette simplicité même m'a beaucoup plus impressionnée que n'importe quelque tentative de faire effet sur moi.

Oui, ils ont vaqué à leurs occupations, ce jour-là, me laissant me reposer à l'ombre comme l'un des leurs. Et quelqu'aient été leurs actes, ils étaient empreints de noblesse et de grandeur, chacun à sa façon.

Le Hobbit cuisinait pour ses amis, l'Eothrem prenait soin de son compagnon en lui accordant des attentions méritées, le Dunédain méditait pour trouver en lui force et sagesse lui permettant de faire face avec sérénité aux multiples coups bas infligés par l'Ennemi. Le Nain et l'Elfe, sans le savoir, réalisait, forgeaient devrais-je dire, le plus parfait exemple d'entente, d'unité entre les peuples en oeuvrant ensemble à une même tâche.

La seconde leçon à retenir de ce récit est donc celle-ci : sous nos yeux est l'exemple parfait de l'unité, de l'union possible entre les races.


La troisième leçon à retenir découle de la précedente. Ils ne sont pas de ceux qui disent et ne font point, qui ordonne de faire ce qu'ils sont incapable de réaliser.

Au contraire, cette unité qu'ils réclament pour les Peuples, ils la vivent eux-même au quotidien depuis déjà fort longtemps.

Et c'est pour cela que leurs paroles sonnent juste, qu'elles ont le pouvoir de convaincre. Ils disent ce qu'ils font et ils font ce qu'ils disent. Nulle hypocrisie, nulle affectation, nul mensonge, leur voix est est le juste écho de ce qu'ils sont.

L'Elfe qui épargne une simple mouche, se refusant à tuer ne serait-ce qu'un simple et importun insecte quand ce n'est pas nécessaire. A chaque fois qu'il se réclamera être le DirnArda, le Gardien de la Terre, je verrai sa main tendue vers le ciel rendant sa liberté au minuscule insecte et je saurai que sa parole est vraie, que sa parole est vie.

Il y aurait encore bien à dire à propos de ce récit.

Les plus sagaces auront notés les divers détails concernant la mise en place du camp, le choix du lieu, la disposition, l'inspection du terrain...

Et ils auront bien vite compris qu'il ne s'agit pas là de simples promeneurs comme le naïf pourrait le croire mais bien au contraire de guerriers parmi les plus valeureux.

Ces jours simples passés en leur compagnie, loin de les avoir rabaisser dans mon estime, bien au contraire a renforcé le respect, la vénération, oui, c'est le mot juste, que j'éprouve à leur égard.

Et qu'on ne s'y trompe pas, je ne vénérè pas des individus, parce qu'ils sont braves et courageux, comme un enfant qui idéaliserait ses héros, je vénère ce qu'ils représentent, l'espoir pour tous les Peuples Libres et ce pour quoi ils se battent, la liberté pour la Terre du Milieu et tous ceux qui y vivent.

Pour eux, jamais je ne cesserai de chanter et de conter leurs aventures car c'est le plus digne destin que peut se voir accorder un être tel que moi.

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MessageSujet: Re: Récit d'un voyage [selon Maître Aléas]   Récit d'un voyage [selon Maître Aléas] Icon_minitimeDim 10 Oct 2010 - 19:25

CITATIONS CONTEXTUELLES

Citation :
Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous prononcez, quel bien feront-elles si vos actes ne s’y conforment pas ?

Citation :
Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière.

Citation :
Le seul tyran que j’accepte en ce monde est la calme voix intérieure.

Citation :
Les actes sont positifs ou négatifs, selon l’intention qui les sous-tend.

Citation :
Prendre pour permanent ce qui est transitoire est illusion de fou.

Citation :
L´échec est le fondement de la réussite.

Citation :
La sagesse c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit.

Citation :
La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.

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