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 Le chant du silence - 15 décembre 2023

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Edegilon
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Edegilon


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MessageSujet: Le chant du silence - 15 décembre 2023   Le chant du silence - 15 décembre 2023 Icon_minitimeJeu 25 Jan 2024 - 18:59

Le chant du silence
 
 
        Les Tisseurs reprennent leurs esprits. La clairière est un vrai champ de bataille avec des cadavres, des troncs par terre, le cadavre du troll… Eodrec tente de comprendre le pourquoi de cet assaut. Finaël se met alors à la « poursuite » d’Edegilon qui avait pris la direction des deux enfants, vers les grandes roches, à l’orée du bois.
        Gunard, Arlan et Eodrec restent sur les lieux et examinent la scène. Arlan observe les orcs qui possèdent bien des chaussures orcs mais qui portent sur leur dos, des chausses dunéaines. D’ailleurs, les flèches dans les carquois sont également dunéaines.
 
        Finaël a pas de course parvient à arriver à hauteur d’Edegilon. Celui-ci lui ordonne de s’arrêter et de repérer les enfants. Ils arrivent sous des arches de pierre. Finaël remarque qu’ils sont passées sous l’arche. Edegilon y passe également. Fina le met en garde en lui demandant d’être prudent.
 
        Les trois compagnons fouillent les ménestrels. Ils avaient un ordre de mission. 3 ménestrels sont morts. La fille avait un tatouage. Ils cherchent ensuite dans les sacoches puis fouillent afin de trouver une cachette secrète potentielle dans le charriot (enfin, ce qu’il en reste). Ils y trouvent une petite bourse avec 5 pièces d’or et 10 pièces d’argent. Une carte, assez sommaire, indique le nom de villes : Arnach. Ils viendraient du côté d’Erven. Erven est connu de Gunard et d’Arlan : elle est située à la limite de la frontière avec le Yarmen. Il s’agit d’une petite ville. Arnach est dans une zone qu’ils ont traversé précédemment, une ville au Nord du Cardolan, à l’Ouest du Yarmen. Ils semblaient aller vers Arnach, par le chemin le plus court, à travers les collines.
        Gunard remarque quelques signes distinctifs : ce sont des saltimbanques itinérants (catégorie la plus faible parmi les ménestrels). Ils colportaient les informations. Ils étaient composés de deux jeunes, et un plus âgé, sans éléments distinctifs sur lui. Aucun objet pouvant appartenir à des enfants, mais il y a bien des traces de la présence de deux gamins/adolescents.
        Après 20min de fouilles, Arlan s’interroge alors sur le non-retour d’Edegilon et de Fina.
        Ils décident alors de cacher les corps avant de les enterrer plus dignement. Ils les regroupent. L’idée étant d’éviter que les dépouilles se fassent dévorer par les charognards. Gunard rappelle qu’ils ont un but. Arlan fait une prière en elfique. Arlan piste les deux amis, il repère assez facilement les traces d’Edegilon.
 
Ils arrivent alors devant des arches de pierres. Ils sont interpellés par le site, la mise en place des roches… La structure est ancienne. Gunard pense qu’elle n’est probablement pas naine, mais il ne peut l’affirmer. Par contre, il affirme que le sous-bassement est nain. Ils estiment la structure a plus de 2000 ans. Eodrec n’a aucun souvenir de l’histoire de ce lieu. La chute de Numénor date de 1300 ans, c’est donc un site qui est antérieur à cet événement. Peut-être une ancienne colonie de Numénor ? Le batiment semble de style basilical. Eodrec demande à Arlan de grimper sur l’arche. Arlan choisit finalement de passer l’arche et de rejoindre le promontoir. Eodrec est plus qu’hésitant mais finalement les trois passent sous l’arche.
Le paysage donne sur une vaste étendue, avec un chemin, à gauche, qui descend. La forêt se dresse face à eux.
 
Sur le promontoir, ils distinguent leurs deux compagnons de route, assis sur un rocher. Il n’y a plus aucun son. Ils n’émettent d’ailleurs aucun son. Ils ne parviennent pas à retourner en arrière, l’arche ne semble le permettre. Ils perçoivent toujours les odeurs, le toucher, le goût mais plus le son. Arlan s’allonge sur le sol, tente de sentir les flammes de vie : il ressent pleinement ce qu’il est.
Gunard tente de passer l’arche en courant, mais fait du sur place, sans avancer. Eodrec court se jette sur lui afin de le plaquer de l’autre côté de l’arche mais en vain. Arlan lance un caillou par l’arche, celui-ci traverse bien. Eodrec tente de passer l’épée progressivement : l’objet passe, mais pas sa main.
Fina se questionne sur une origine elfique de ce lieu. C’est un haut lieu mais pas elfique.
Edegilon ne ressent aucun souvenir face à une telle situation.
L’ambiance est assez agoissante. Eodrec se saisit d’un baton et dessine deux enfants sur le sol afin de demander à Edegilon ce qu’il est en.
Edegilon saisit alors Fina, lui montre le dessin et le questionne par des gestes.
Gunard fait un point sur la quantité des vivres à disposition.
Arlan commence alors le pistage des enfants.
L’elfe semble très concentré, il semble ressentir les choses, une main posée sur la pierre.
Edegilon trépigne, souhaite retrouver les enfants.
Gunard fouille à nouveau les fondations de l’arche. Il distingue des motifs à consonances religieuses.
Arlan et Edegilon avancent. Les 3 autres les rejoignent finalement.
 
Ils descendent le chemin, devant eux, une forêt. Eodrec ne perçoit aucun oiseau, quelques insectes sous les troncs, mais moins qu’à la normale.
Fina nous « annonce » un danger, une magie puissante, hostile. Edegilon hurle (en silence) et tape dans une pierre. Gunard tente de vérifier s’ils sont dans le bon lieu et la bonne temporalité. Il constate qu’ils sont au printemps. Arlan écrit que le temps est arrêté. Il écrase une plante afin de vérifier si elle a une odeur très forte (en rappel à l’épisode vécue précédemment lors du « rêve du dragon »). Fina s’interroge sur le déclencheur ? Est-ce le passage de l’arche ? Gunard pense que oui. Edegilon écrit « où sont les gosses ? ». Gunard répond « on s’en fout ». Edegilon accuse le coup et ne comprend pas. Il semble déconnecté de la réalité et obnibulé par les enfants.
Il s’intéresse ensuite à la pierre et aux symboles présents. Ce sont des cercles concentriques, au centre du monde…
Edegilon ne voit rien qui puisse projeter une ombre sur la pierre. Le temps ne semble pas s’écouler : le soleil n’a pas bougé. Toutefois les Tisseurs commencent à avoir faim.
 
Arlan évoque une prison ou un abri pour un cœur après avoir montré le cœur et Cundiel. Il écrit des choses autour de la cité des larmes.
Il décide de se faire un cataplasme sur sa blessure. Gunard le soigne. Eodrec cherche de quoi préparer un feu. Ils se posent alors la question de l’eau ? Arlan saisit de la mousse, qu’il presse et fait comprendre qu’ils pourraient utiliser l’eau de la végétation pour s’hydrater.
Eodrec trouve des plantes, il en ramasse, les montre à Arlan. Il fait une cocotte, presse de l’eau de la mousse. Arlan l’interrompt.
       
        Ils s’avancent ensuite vers la forêt. Au franchissement de la lisière, les pieds dans la forêt, les rayons du soleil ne percent plus. La grisaille est permanente. Gunard et Finaël sont plombés par la situation. Arlan et Edegilon sont quant à eux pétrifiés. Ils cherchent à sortir, mais en vain. Il fait frais mais pas humide.
        Eodrec se place devant Arlan, se réchauffe les mains en soufflant dedans, puis les posent sur le front d’Arlan afin de faire sentir un changement. Il effectue ensuite la même « opération » sur Edegilon en posant ses mains sur les oreilles. Puis il saisit sa main afin de le faire avancer.
        Ils pistent en entrant, mais en pénétrant dans la forêt, il devient difficile de comprendre l’orientation. Les traces n’existent plus mais les Tisseurs laissent bien traces après leur passage.
        Ça fait plus de 5h qu’ils n’ont pas mangé, et certains commencent à être tiraillés par la faim.
        Eodrec propose un arrêt, d’allumer un feu. Ils cherchent des plantes. Elles ont un goût amer. Il tente un deuxième essai à partir de gros fruits marrons, venant d’un arbre. Il n’a pas l’air mauvais. La forêt est très haute. Il n’y a pas de fruits abîmés. Les insectes semblent déboussolés. Après avoir réussi à faire un feu (au bout d’une heure), il prend une ration.
        Finaël cherche le lien avec le reste, mais il se sent mal. Même lui ne parvient pas à identifier les arbres.
        Finaël et Arlan dépriment. Edegilon tente de les divertir en faisant le guignol mais il est pitoyable. Eodrec chante en articulant. Ils éprouvent alors la sensation que le chant existe, qu’il sort mais qu’il est absorbé par la forêt. Ils sentent le happage vers en direction du cœur de la forêt. Edegilon semble indiquer une direction. Gunard fait signe à Eodrec de souffler dans le cor. Ils perçoivent la création du son du cor, partir dans la même direction que le chant, mais « aspiré ».
        Ils décident alors de sortir la boussole qu’il possède et qui permet d’indiquer la direction de ce que l’on veut vraiment. Eodrec refuse que Finaël et/ou Edegilon y ait accès. Ce sera donc Gunard qui sera chargé de l’utiliser. La boussole indique une direction, la même prise par le son du cor.
Gunard utilise la boussole pour trouver une direction mais en faisant abstraction de tout ce qui l’entoure.
        D’un pas décidé, il s’enfonce dans la forêt.
        Le groupe le suit alors. Le nain arche à l’aise, les compagnons sont un peu plus à la traîne. Arlan part dans l’autre direction. Certains vont alors le récupérer.
        Gunard nous fait alors signe de nous arrêter. Il prend Arlan par la manche. Il est important d’avancer et Gunard a enfin trouvé un « chemin » distinct.
 
        Surgissent alors des orcs et des loups qui déboulent à toute vitesse. Les os ressortent de leurs visages, ils ont les yeux flous et ont l’air affamés.
        Finaël décochent des flèches dans le poitrail du premier loup et dans les têtes pour les deux suivants.
        D’autres loups arrivent, depuis la forêt. Les tisseurs sont en contrebas, sur le chemin et de l’autre côté, ils ont un ravin.
        Les loups vont sauter. Gunard fracasse le crâne d’un loup, puis pare au bouclier un second qui glisse et tombe sur le chemin. Un troisième loup arrive, prêt à bondir sur les Tisseurs. Il se jette sur Finaël qui accompagne la chute en mettant l’arc dans le travers.
        Les orcs arrivent sur Eodrec, qui parvient à faire une rotation et à faire tomber un orc dans le ravin.
        Les autres loups semblent excités par l’odeur du sang.
        Tous les Tisseurs sont au combat.
        Gunard arrache la tête d’un orc, partie la moins solide, mais aussi afin d’être très sanglant.
        Edegilon tente de massacrer un orc avec le tranchant de son épée, un loup le menace, il est en difficulté.
        Gunard écrase un loup sur le talus.
        Deux loups dévorent les cadavres au sol. Finaël transperce leurs crânes. Gunard déblaye le reste du chemin.
        Eodrec tombe à la renverse, sur le sol. Edegilon parvient à se dégager du loup mais doit lutter face à un orc.
        Fina poursuit son efficacité.
        Edegilon est blessé par une griffure de loup, malgré le bouclier.
        Eodrec se redresse.
        Fina tire sur le loup agressant Edegilon, en pleine tête. Gunard se dégage et fracasse celui d’à côté. Le loup s’écrasant sur Edegilon, il tombe à la renverse, mais parvient à trancher l’orc dans sa chute.
        Eodrec et Gunard combattent ensuite la même créature. Fina couvre les arrière d’Arlan en transperçant également celui sur Arlan.
        Les corps sont gisant au sol. Il ne demeure plus que deux loups, en train de dévorer les cadavres. Les Tisseurs décident de les abattre. Gunard brise l’épaule et la moelle épinière, Eodrec et Arlan tranchent le second.
        La forêt semble retrouver sa paisibilité. Ils ramassent les flèches.
        Gunard suit son instinct et reprend le chemin. La lumière commence à se distinguer.
 
        Edegilon remarque des pas d’enfants et s’évanouit. Arlan se retrouve le cul à terre. Les Tisseurs sont marqués par la faim, la bataille, le choc psychologique du silence assourdissant. Ils finissent alors les dernières provisions.
        Arlan va être porté, en direction de la lumière et dans les traces des pas d’enfants. Ils arrivent devant un passage qui semble s’ouvrir à travers les arbres.
 
Une fois passée, l’atmosphère est moins pesante. Ils entendent comme un chant elfique. De façon tenue, l’eau qui coule est entendue. Les sons sont atténués, étouffés mais ils sortent. Gunard se rapproche de l’eau pour se nettoyer. Il soigne Edegilon. Les sons reviennent alors progressivement.
Edegilon est fasciné par la nature qui l’entoure mais peine à reconnaître les différences essences d’arbres. Il se met alors à enserrer un tronc, comme s’il le câlinait. Il sent en lui une sensation d’avoir retrouvé quelque chose…
 Arlan touche une feuille et parle en elfique. Il se concentre dessus et une sorte de lumière jaillit. Arlan est projeté à plus de 6 mètres. Il s’écrase au sol. Fina se précipite sur lui. Il pose sa main dessus et une à peine dans l’eau, il reçoit comme une décharge électrique de flamme de vie. Fina canalise la chose avec sa main dans l’eau. L’arbre est comme connecté avec quelque chose qui est au centre. Fina va alors toucher la feuille et subit le même sort qu’Arlan.
Le lieu est beaucoup plus puissant, intense que tout ce que les Tisseurs ont déjà vu. Il s’agit peut-être d’une source.
Eodrec s’inquiète de la réaction potentielle d’Arlan et de Fina. Vont-ils rester en contemplation infinie ?
Les Tisseurs repartent en direction de la lumière. Ils arrivent devant une entrée avec une statuette.
 
Gunard examine la structure de la porte. Elle est étonnante : elfique. Il n’a jamais vu de telle structure, si ce n’est peut-être dans le « rêve di dragon ». La statue elfique représente une femme, une déesse : Varda. Le style est approprié avec le drapé. C’est une statuette très ancienne, probablement du 1er Âge. Cette porte donne sur les gorges, mais tout droit, un pont, sans parapet, imposant, donne sur une porte dans la paroi.
Le pont est assez grand, large. C’est une belle structure. Dessous, coule une puissante rivière aux eaux tumultueuses.
En passant l’arche, près de la statuette, Arlan fait une prière. Il se sent mieux.
 
Les Tisseurs pénètrent dans les gorges. Finaël fait également une prière pour Varda et tente de faire naître une étoile.
La lumière irradie depuis les grottes. Ce sont des grottes cristallines. L’atmosphère est elfique. Ils arrivent dans une sorte de hall d’entrée. Ils entendent des chants en elfique. Eodrec est captivé par la voix, extrêmement belle. Le chant est subtil, mélodique. Ils n’ont jamais entendu quelqu’un chanté ainsi. Finaël est ému par ce chant, il est quasiment sûr que c’est un elfe homme qui chante. Finaël va se poser sur les fauteuils, au centre de ce hall et il ne bouge plus. Arlan est également coincé ainsi qu’Eodrec. Puis Arlan se ressaisit, prend son arme et tente de sortir Finaël des fauteuils en parlant d’Aprivuë. Eodrec se reprend également.
Ils quittent alors la pièce en direction d’une seconde salle, puis d’une troisième (composée d’immenses gemmes). La pierre de Finaël ne semble pas réagir.
Eodrec tente de se convaincre que c’est du faux. Les cristaux sont d’une parfaite pureté. Puis il sursaute à la découverte d’une personne prise dans un des cristaux, en ayant une expression d’extase.
Il s’agit d’un homme adulte, équipé d’un porte casque, de cuir, d’un arc. Il s’agissait d’un rôdeur probablement. Il porte un signe discret mais porté uniquement par les deux aratars qui les avaient aidés précédemment, ou Pyrgil.
Dans la grotte, d’autres humains semblent cristallisés.
Eodrec commence alors à chanter pour lui-même.
Arlan examine les autres cristaux et distingue un nain, deux enfants. Edegilon tente de frapper le cristal afin de le briser et libérer les enfants. Gunard après une rapide analyse, l’interrompt rapidement. Arlan peut déceler que la flamme de vie du rodeur est faible, celle du nain s’affaiblit et celles des enfants commencent seulement à s’affaiblir. Le nain porte sur lui des signes intéressants permettant de l’identifier comme appartenant aux nains de « Main d’argent ».
 
Ils pénètrent dans une nouvelle salle. Le sol est en marbre transparent, comme une sorte de verre. Le bâtiment est curieux. L’architecture semble naine mais la décoration est elfique. Le sol est en laen (verre translucide, indestructible). Ils ne s’arrêtent pas.
 
Ils arrivent ensuite dans une immense pièce. Au centre et sur les côtés, des tables et des sièges sont disposés. Des mets sont mis sur la table. Au milieu des cristaux, des gens semblent manger, tous étant des elfes. Habits légers, gris argentés, robes près du corps, prêts à festoyer. Ce sont des Sindar. Le chant n’est pas du sindar, c’est du couigna. Arlan et Eodrec remarquent un elfe qui les fixe. Arlan, ostensiblement, le salue en elfique. Il n’a pas l’air dans la transe et Finaël le salue également. Il répond, se lève et se dirige vers eux. Finaël et Arlan engagent alors également le pas. Après quelques formules de politesse, il explique n’être que de passage et qu’il est fortement étonné par la présence de ce groupe hétéroclite. Finaël répond qu’ils sont également de passage. Le chemin est difficile, ceux qui pénètrent ici font souvent partie du lieu à jamais.
Gunard tente d’interrompre l’échange afin de poursuivre la route.
L’elfe prétend qu’il y aurait plus de 1000 pièces en ce lieu.
Ils quittent alors la salle.
 
Les grottes s’enchainent mais ils semblent avancer vers une direction. De nombreux embranchements s’ouvrent à eux. Les grottes ont été creusées par les nains. Ils sont à proximité de bassins, dont ils peuvent ressentir la chaleur.
 
Ils arrivent ensuite dans une grande pièce, en longueur, plus de 400mètres les séparent du fond de la salle depuis lequel se distingue un trône et, au-dessus, tout en haut, des racines énormes. La lumière semble irradier des racines d’un arbre gigantesque.
Sur le trône, des signes distinctifs : blasons argentés, frappés d’étoiles : 4 comme un carré, entourés par des cercles (semblables à ceux trouvés sur la pierre à l’entrée de la forêt), sur fond argenté. Le blason est elfique. C’est le blason de 1er roi des Sindar. Ce sont peut-être les grottes de Ménégroth, dîtes les 1000 cavernes. Ledit royaume ne peut plus exister, il remonte au Ier Âge et avait été englouti par les eaux. Et pourtant, c’est comme si ce royaume avait été transposé ici même. C’est une projection de ce qui fut autrefois.
Ils se laissent guider par le chant. Dans un bas-côté, une porte (la première depuis qu’ils ont pénétré les cavernes), fermée et gardée. C’est une très belle porte, en bois, réhaussée de fer. 2 elfes se tiennent droits, devant avec des feuilles sur le casque, rappelant les Noldo et les Sindar.
Quand les Tisseurs s’approchent de la porte, les elfes croisent les lances. Arlan s’approche, salue les gardes. Finaël demande s’ils sont autorisés à rentrer. Les gardes restent impassibles et immobiles.
Ils sont déjà depuis longtemps dans les grottes, ils commencent à dépérir.
Gunard tente de s’approcher de la porte. Les gardes dirigent les lances vers lui. Il essaye de forcer. Un des deux fait alors un mouvement de lance et le frappe. Le nain est alors projeté.
Arlan veut essayer de voir les racines. Gunard veut s’asseoir sur le trône.

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Arlan
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MessageSujet: Re: Le chant du silence - 15 décembre 2023   Le chant du silence - 15 décembre 2023 Icon_minitimeJeu 25 Jan 2024 - 19:30

Parfait comme d'habitude.
Merci à toi pour le temps passé

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Eodrec
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MessageSujet: Re: Le chant du silence - 15 décembre 2023   Le chant du silence - 15 décembre 2023 Icon_minitimeVen 26 Jan 2024 - 17:33

Formidable !
Grand merci Xavier. Nous savons tous le travail que cela demande, et l'importance que cela représente pour nous. cheers

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Eodrec, sonneur de cor. Arpenteur de la Terre du Milieu.
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