Dettes mortelles épisode 8 (05/05/2023)
Après l’attaque sur le parvis de l’opéra, les Tisseurs arrivent chez les Dol Tinarë et sont installés dans la grande salle.
Gunard, Finaël et Edegilon décident de faire venir le médecin que Pyrlig leur avait déjà missionné au préalable car la situation d’Eiodrec est plus qu’alarmante. En effet, il est plongé dans un coma, et une intervention doit être menée d’ici 1 ou 2h tout au plus. Un envoyé des Dol Tinarë est alors dépêché. Quelques instants plus tard, on frappe à la porte : des gardes arrivent et souhaitent fouiller la maison. Les Tisseurs doivent donc parvenir à se cacher et transporter délicatement Eodrec. Finaël parvient à réveiller Arlan. Après avoir hésité à se cacher dans la cave, le choix d’une chambre a été préférée (vu l’état d’Eodrec). Arlan demande à être cachés dans la chambre de la fille Dol Tinarë et qu’elle se mette en habit de nuit afin de simuler qu’elle dormait. Il demande également à ce que ses affaires personnelles lui soient amenées. Ils arrivent dans la grande chambre. Une vingtaine de gardes pénètrent la résidence ainsi que 6 hommes encapuchonnés.
Gunard regarde les accès par la fenêtre, Edegilon va dans la penderie pour réaliser un double fond, Finaël efface les traces de sang. Arlan stabilise Eodrec. Ce dernier fait une hémorragie interne à plusieurs endroits, pas très loin du cœur. Finaël observe la blessure mais ne ressent rien si ce n’est une sorte de flash avec en apparition la silhouette de l’assassin. Il le ressent comme si ça le touchait lui.
Arlan utilise la Thaumaturgie pour contenir l'hémoragie
On frappe à la porte. Lanerya joue le jeu, refuse leur entrée sous le prétexte qu’elle doit se changer et ferme la porte.
Finaël observe que la blessure a été réalisée par une lame en étoile qui a tranché plusieurs canaux près du cœur et que celui-ci se ralentit.
On frappe plus violemment à la porte.
Gunard et Edegilon cachent Eodrec dans la penderie, dans le double fond réalisé rapidement. Puis tous se précipitent par la fenêtre. Ils s’accrochent comme ils peuvent à la corniche du balcon.
Arlan glisse, mais Finaël le retiens, aidé rapidement par Gunard.
La fouille de la chambre se termine, les gardes évacuent. Les Tisseurs rejoignent la chambre et tentent de stabiliser encore l’état d’Eodrec.
Les bruits s’éloignent. On frappe de nouveau à la porte d’entrée. Un des hommes de Dol Tinarë annonce que les gardes sont partis et que deux personnes viennent d’arriver par les cuisines. Les Tisseurs changent Eodrec de chambre. Lanerya semble accuser le coup.
Arrivent donc, par les cuisines, un homme (le médecin) et un hobbit. Le médecin interient sur Eodrec. Il semble surpris par le fait qu’il a l’air d’être soigné de dedans. Comme si, il y avait une hémorragie interne mais sans coupure. L’état d’Eodrec va être long, plus d’une semaine dans cette situation.
Le hobbit se présente comme étant Hadalgrim Serre-ceinture. Il vient de Teid-Mor.
Arlan remercie Lanerya en elfique.
Et puis l’heure est plus que tardive (autour des 4h du matin). Chacun va donc se coucher.
Le lendemain matin, ils se rejoignent dans la grande salle. Une collation les attend. Arlan et Finaël ont dormi moyennement, avec des pensées perturbées. Les dames ne semblent pas être présentes. Les serviteurs, très fidèles, très à l’écoute. Sur la table une coupe de fruits, de fruits secs, des pousses de menthe…
Arlan échangent avec le médecin.
Hadalgrim explique qu’il n’y a plus un seul grain de blé en ville. La situation est similaire à celle de Teid Mor quelques semaines plus tôt. La ville est au bord de la révolte. Il évoque également la présence de la secte de Nour mais aussi le fait qu’une épidémie ravage le Nord de la ville. Une épidémie dénommée « la maladie bleue » notamment dans les abords de Finas Douinen. Cette épidémie est une maladie de la peau qui donne des tâches bleues et qui donne la mort au bout de quelques semaines. Edegilon n’a jamais entendu parlé d’une telle chose.
Sur les évènements de la nuit : la loi martiale a été actée. Le canotar a donc tous les pouvoirs, la police peu perquisitionnée sans autorisation…
Les Tisseurs tentent ensuite de restituer les évènements à l’opéra, souvent interrompus dans leurs propos par le hobbit qui est invité régulièrement, à rejoindre les cuisines.
Les deux dames rejoignent ensuite les Tisseurs. Ils se questionne sur l’ovation massive de Visiris. Celle-ci pourrait venir d’une magie liée à la possession d’une pierre de feu. Dans la loge de Visiris était présente la sœur d’Arlan, qui est une des gardiennes d’une pierre d’appel. L’autre pierre étant actuellement porté par une vieille dame. Elles agissent également sur le cœur des hommes. Finaël, pendant la discussion, redessine les plans de ce qu’ils pensaient avoir compris des pierres de résonnance. Eyderra propose de consulter quelqu’un de savoirs à ce sujet.
Est ensuite évoqué, le fait que plusieurs comploteurs agissent et que Eketta a été approché par eux mais a refusé de s'associer au complot. Il y avait des représentants de l’Artédain, du Rudor et du Cardolan. Quel était l’objectif ? Réunir le royaume de l’Arnor ?
Ils s’interrogent ensuite sur une femme qu’ils ont croisé dans la débandade, qui, probablement suivait Findulas. La même femme que Finaël avait croisé lors de l’attaque du décharné, peu de temps après son arrivée dans la ville à la bibliothèque. Une femme, jeune, leste et armée. Cette femme serait peut-être responsable que Findulas n’ait pas été atteint par le carreau d’arbalète. Elle l'a sauvé en tirant une flèche dans le bras pour le faire pivoter et éviter le carreau.
Dol Tinarë a également été attaquée dans sa loge. Elle pose ouvertement la question de savoir si c’était elle la cible ou ne serait-ce pas Arlan ?
Si Findulas aurait été tué, il y aurait eu un problème, car celui-ci n’a pas d’héritier direct. Son absence aurait déséquilibré la région et ça aurait été Dol Girithlin qui aurait été le seigneur le plus puissant.
Eyderra comence à saisir le danger de la réunion des deux pierres d’appel. La sœur d’Arlan représente donc potentiellement un réel danger. La tour, en construction, permettrait à la pierre de communiquer.
Arlan échange ensuite à propos du peuple d’Aleth.
Il explique que sa sœur est influencée, manipulée, sous l’emprise d’un artefact… Le sorcier humain, (Barda Menzor) enfuit de Numénor, tire les ficelles. La pierre peut lui permettre de se faire aimer de tout le monde. Il possède déjà un coeur (pierre) qu'il a corrompu.
Il a fait des pactes, mais pour quels objectifs ? C’est un plan global de contrôle des terres. Rebâtir l’Arnor ? Arlan réemploie une phrase entendue « Ma sœur est mon complémentaire. Le cœur est en deux parties : elle et moi ».
Ils échangent après concernant les greniers qui seront vides d’ici quelques jours, puis sur la banque Naladung et le plan du casse.
Elle souligne l’aberration de l’ovation autour de Visiris. Ça fait plus de dix ans qu’on n’a pas entendu parler de lui. La population n’a confiance ni au roi, ni aux princes, ni dans les affaires religieuses…
Eyderra ne sait pas trop comment se réjouir à la vue de la situation mais a décidé d’aller voir le canotar afin de lui faire part de son désaccord concernant la mise en place de la loi martiale.
Elle conseille les Tisseurs de creuser la question des cœurs et donc de faire un tour à la bibliothèque.
Arlan pensait aller visiter l’opéra afin de retrouver des traces.
Il faut également que certains aillent explorer les alentours de la banque.
Vers le début d’après-midi, Edegilon, Gunard et le hobbit visitent les alentours de la banque. A 150mètres de la tour, une autre tour qui surplombe de 6-7m et appartenant à un temple. Ils se dirigent alors dans le Temple. Il y a la présence de 6-7 femmes âgées. Le hobbit fait diversion pendant que Gunard examine la serrure de la porte. Edegilon la crochète ensuite. Ils grimpent au sommet de la tour. Ils constatent ainsi, qu’en haut de la banque naine, 1 homme et 1 nain montent la garde. En dessous, des grilles protègent les fenêtres. Toutefois, la galerie, en dessous, est « ouverte ».
Ils redescendent ensuite puis se dirigent vers la banque. La porte est en bois, renforcée d’acier. 2 gardes sont postés devant celle-ci. Dans la cour, plusieurs gardes. Sur les murs, peu de possibilités de grimper aisément : quelques corniches au niveau des fenêtres, mais des parties planes, lisses entre les fenêtres. La tour est séparée du mur d’enceinte, par 3 mètres. Au niveau de la loggia, en-dessous de la corniche, les pierres semblent avoir été changées. Des patrouilles ont lieu mais à des intervalles espacés. Dans la cour, les gardes sont humains, relativement consciencieux, attentifs mais pas stressés. Dans la loggia, les Tisseurs peuvent apercevoir un nain, armé.
Ils se rendent ensuite dans le hall. Il y a une sorte de sas, comme une pièce avec une porte et un judas à 1m de hauteur. Ils vaquent, l‘air de rien, tout en observant la pièce et les allers-venus. Au bout d’une dizaine de minutes, la porte s’ouvre. Deux marches descendent, puis apparaît une arche de pierre puis enfin, une autre porte avec un garde nain devant.
Ils repartent ensuite.
Finaël et Arlan sont partis à la bibliothèque. Ils cherchent notamment les plans des égouts à proximité de la banque. Ils vont voir le grand maître. Ils évoquent l’incident lors de la dernière visite de Finaël. Il y a eu quelques dégâts et l’être décharné avait dérobé quelques manuscrits également.
Le livre du large ou guide des étoiles est le livre référence sur l’histoire de Numénor, en possession du seigneur. Le grand maître ne veut pas donner accès à ce livre sans qu’Arlan ne dévoile quelques informations sur lui et/ou ses intentions. Il lâche finalement être le descendant d’An Vari. Le maître demande alors de le suivre. Ils se rendent à la section « généalogie ». Il prend un livre et prononce la phrase suivante « Vous, c’est là » en pointant du doigt une page. Arlan le pose et observe la généalogie : des noms de sa famille, de sa cousine…. Le maître explique que « du côté du père de votre père, vous tombez sur la famille d’Anross », comme le nom de la baie. Celui qui possède ce livre, c’est le dernier de la liste : Elyan d’Anross. Le maître le connaît et donne comme conseil à Arlan d’être vrai.
Vers 17h, toute l’équipe se retrouve dans le salon des Dol Tinarë. Se pose la question d’obtenir une grande vue afin d’aller observer les tours de garde à la banque. Les Dol Tinarë n’en possède pas mais donne le nom d’Egarald Vild qui en possède. Eyderra et Arlan iront lui rendre visite afin d’obtenir le prêt d’une longue vue.
Alors qu’ils se dirigent vers la demeure d’Egarald, ils évoquent le fait que Dol Girithlin deviendrait le roi potentiel s’il épousait Eyderra (à condition que Findulas soit mort et que Dol Tinarë demeure disparu). Eyderra présente ensuite Egerald, comme quelqu’un qui aime découvrir le monde. Ils échangent également sur la drôle de troupes que composent les Tisseurs (hommes, nain, elfe, hobbit…).
Ils arrivent ensuite devant la demeure. Un homme ouvre « Tiens, jeune fille, vous êtes la bienvenue ». Il questionne ensuite l’identité d’Arlan. Il lui explique vouloir une grande vue. Ils échangent. Eyderra semble fascinée par la discussion. La maison est décorée de sphères, de cartes du ciel, de livres. Le lieu est très ésotérique, elfique, bourré d’objets dont un certain nombre sont inconnus. Arlan le questionne sur la lumière, les pierres elfiques. Lorsqu’Arlan demande « D’où vient la lumière de ce monde », la réponse formulée est « Aman ». Ils prennent un thé, délicieux. Arlan teste la longue vue. Puis les deux compagnons rentrent vers 21h.
Les Tisseurs décident de se rendre à la banque. Edegilon, alors que le couvre-feu est instauré, ne parvient à rester discret. Il fait tomber un morceau de métal. Le hobbit est particulièrement discret, il avance progressivement, évite les 2-3 rondes. Edegilon se fait encore remarquer. Un volet claque très fort. Le hobbit fait le tour du temple, il voit une deuxième porte, la crochète. Edegilon ouvre la porte d’accès à la tour. En haut de la banque, un garde fixe, un nain. Il y a une rotation vers 1h30 du matin. Dans la loggia, un autre nain, patrouille, armé d’une hache et d’une armure. Il ‘arrête majoritairement du côté de la place ou du côté de la cour. Il y a peu d’arrêt fixe sur les toits. Sur le toit, le garde est en possession d’une hache mais aussi d’une arbalète. Les gardes sont évidemment casqués. En bas, dans la rue, pas de gardes devant la porte. Dans la cour, au moins deux gardes. Les bureaux, en bas, sont éteints.
Les Tisseurs proposent de faire diversion dans la loggia en lançant des chats et des rats. Gunard pourra ainsi monter discrètement.
La nuit suivante, les Tisseurs tentent le casse. Edegilon trébuche encore régulièrement sur le chemin, ramassé parfois avec l’aide de Finaël. Ils se postent sur les toits. Edegilon fait involontairement glisser une tuile, rattrapée de justesse par Arlan. Arlan lance les rats, puis les chats dans la loggia. Il y a alors un gros barrouf, le nain détourne son attention pour tenter de chasser les chats.
Finaël lance deux flèches dans le mur de la tour. Gunard se jette dessus et escalade. Il arrive sur les machicoulis. Il attend que le garde lui tourne le dos, puis saute par-dessus et se retrouve derrière le garde. Il le saisit au cou, et tente de l’évanouir. Le nain gesticule, se débat mais perd finalement connaissance. Gunard balance alors la corde elfique vers les toits et l’attache aux créneaux. Le hobbit grimpe délicatement, comme un « singe », bras et pied sur la corde. Edegilon tente de tenir la corde. Le garde de la loggia s’approche alors. Arlan et Edegilon détendent la corde afin qu’elle se retrouve à l’aplomb, verticalement, le long de la paroi. Le hobbit n’est pas très rassuré mais parvient en huat de la tour. Enfin, Finaël saute et remonte la corde. Une fois en haut, pas d’ouverture apparente, pas de grilles. Au milieu, toutefois, une petite structure en demi-cercle, comme des bancs en pierre. Gunard et Fina font pivoter les trois bancs, d’un demi-tour. Ils sont positionnés sur rail. Un petit claquement se fait entendre. Le centre se déboîte alors. En dessous : une grille. Les Tisseurs utilisent alors la préparation réalisée par Edegilon au préalable pour faire dissoudre les points de la grille. Le hobbit peut alors passer, toutefois le puit est étroit et probablement piégé. Il ne faudra donc pas toucher les parois. Gunard se positionne au-dessus de la grille, descend le hobit par une corde avec le moindre à coups possible.
Il arrive à mi-hauteur. Il continue de descendre. Le hobbit entend alors ronfler. Une petite lampe éclaire difficilement la pièce. Le hobbit descend, se cogne, s’immobilise. Un nain, dort, avachi sur un bureau. Dans la pièce se trouve également deux fauteuils, une grosse horloge, une armoire. Le nain relève la tête, le hobbit se hâte derrière un des fauteuils. Le nain émerge doucement, regarde autour de lui, puis replonge dans le sommeil. Sur le bureau, des papiers. Le nain était en traind e travailler dessus. C’est un gros bureau en pierre. Le hobbit aperçoit un dossier ouvert et un fermé avec une clé. Le dossier ouvert, est écrit en nain, mais pas lisible pour le hobbit. Le second dossier, fermé, est positionné sous le bras du nain qui dort. Le hobbit va donc délicatement lui souffler dans l’oreille afin que celui-ci bouge légèrement et saisit furtivement le dossier en question. Puis, il s’approche délicatement du puit. L’horloge ne fonctionne pas. Le hobbit met le dossier dans sa cape et le fait remonter par la corde, sur le toit.
Gunard, alors qu’il remonte délicatement le dossier, entend bouger derrière-lui. Le garde nain, ligoté, commence à remuer. Fina lui décoche une flèche assommante.
Arlan a préparé un nid et à demandé à Edegilon une mèche. Il tente de le questionner sur le bienfait de cette idée. Arlan souhaite pouvoir créer une diversion pour que ses compagnons puissent s’échapper, en cas de besoin.
Le hobbit s’approche de l’horloge. Il cherche à voir le mécanisme. Il ne voit pas où se situe le moteur. Il pousse doucement pour voir si quelque chose bouge sur la gauche, sur la droite. Elle ne pivote pas mais il aperçoit une petite planche. Il appuie dessus. L’horloge s’ouvre. A l’intérieur, un coffre avec cercle et cadran à molette. Le hobbit bouge les crans pour voir su il entend un bruit, sur les deux molettes. Deux flèches sortent alors du mécanisme, le hobbit tombe sur le sol, perd son souffle. Il y a une odeur étrange, il rampe sur le sol, vers le fauteuil et ressent une certaine paralysie. Gunard l’aperçoit alors en train de ramper. Le hobbit semble ne plus bouger. Fina se précipite alors dans le puits, sans bruit. Il attache le hobbit à la corde. Fina aperçoit l’horloge et ses deux cadrans. Gunard remonte Serre-ceinture. Fina entend le garde nain, bougé derrière lui. Il se retourne, évite une énorme pierre lancée en même temps que cette phrase « ça sentait l’elfe par ici ». Le nain lui fonce dessus. Fina parvient à l’esquiver. Le nain s’explose dans un des fauteuils. Des lumières s’allument dans la tour. Gunard termine de remonter le hobbit, en tétanie. Il redescend la corde et Fina la saisit.
3 gardes arrivent dans la loggia, les lumières arrivent sur la tour. Arlan s’apprête à allumer le feu, Edegilon tente de réceptionner les Tisseurs. Gunard a presque finit d’extraire Finaël, lorsque les gardes arrivent sur la plateforme. Gunard lâche la corde. Fina saute alors pour se raccrocher au bord. Gunard esquive le premier coup et saisit le manche de la hache du nain, lui arrache des mains en le basculant sur l’autre nain afin de retarder leur progression. La cloche sonne. Un autre nain avec une masse, fonce sur Gunard. Ce nain reçoit un grand coup de hache dans le plastron. Fina sort du puit. Gunard lance la hache en direction du nain qui se relève. Il se saisit du hobbit, de la cape. Fina le rejoint. Ils sautent par-dessus, vers les toits. Ils entendent des cris et des bruits de carreaux d’arbalètes. Fina arrive, les tuiles glissent sous ses pieds. Gunard traverse le toit et se retrouve à l’étage du dessous. Arlan demande de sauter pour rejoindre l’étage de Gunard. Ils entendent une arbalète gatline. Ils descendent l’escalier. Ils se retrouvent au rez-de-chaussée, nez-à-nez avec deux enfants. Ils partent le plus vite possible, dans les rues, en tournant. Ils sont poursuivis par des nains et des cochons. Dans la ruelle, ils se retrouvent avec deux sangliers montés. Fina tire sur un des cochons, l’autre le percute. Les Tisseurs parviennent à s’échapper.
Ils constatent que Serre-ceinture a subi un empoisonnement long, qui paralyse les muscles. Si rien n’est fait, il sera probablement mort dans les trente minutes. Arlan cherche dans sa pharmacopée. Fina entonne un chant elfique. Ils ont besoin de trouver de la palourde. Ils se retrouvent sur une petite place avec une poissonnerie dessus. Ils tapent à la porte, réveillent le poissonnier et demandent une palourde. Arlan négocie contre de l’argent. Il prépare les soins. Il a également besoin de lait de chèvres. Heureusement, le poissonnier en possède une. Il la trait. Ensuite Arlan saisit un entonnoir et lui verse le breuvage. Ils attendent le passage de la garde puis rejoignent la demeure des Dol Tinarë.
Lun 22 Mai 2023 - 12:08
