Destins étranges en Terre du Milieu
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 A la croisée des chemins (11 mars 2022)

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Edegilon
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Edegilon


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A la croisée des chemins (11 mars 2022) Empty
MessageSujet: A la croisée des chemins (11 mars 2022)   A la croisée des chemins (11 mars 2022) Icon_minitimeDim 27 Mar 2022 - 12:18

A la croisée des chemins (intermède avant Tharbad)
11/03/2022
 
 
        Nous reprenons après l’attaque subit sur la colline.
Naërya pratique les premiers soins avec l’aide de Gunard.
Arlan ainsi que deux soldats sont gravement blessés.
Des sépultures dignes sont dressées pour les hommes tombés.
Les corps des orcs et des wargs sont entassés et ensuite brûlés.
Le sergent est blessé mais demeure en capacité de se déplacer.
Finaël et Aprivué sont à terre, couchés. Fina radie d’une couche d’eau bleutée.
Le soir tombe.
Le groupe se pose, et échange peu de paroles. On perçoit tout de même une lueur de fierté chez les soldats. Le repos est bénéfique pour tout le monde.
 
        Nahel tente de comprendre la raison de la présence de l’être brillamment repoussé par Finaël. Il voulait probablement s’incarner dans quelqu’un de puissant physiquement mais faible psychologiquement : un grand prince ? La pierre était liée au culte noir des dunéains. La question se pose alors de savoir comment a-t-elle pu être contaminée ?
Naërya échange également sur la confiance envers les dunéains, les fragilités du Cardolan et du Rhûdaur. Elle se questionne également sur le fait que l’argent dans le coffre aurait-il pu amplifier la puissance de l’objet ?
Gunard vérifie alors, à nouveau, la qualité réelle de cet argent. Arlan questionne alors Finaël sur le fait que l’argent pourrait décupler le pouvoir de l’être ?
Naërya affirme savoir qui était visée : le roi.
Après ces quelques échanges et questionnements posés, tous vont se coucher. Des tours de grade ont été organisés : Gunard, le sergent, Eodrec et Cithric veilleront.
       
        Lors du dernier tour de garde, Eodrec en profite pour broyer quelques craies, qu’il avait préalablement ramassées, qu’il mélange ensuite avec une huile afin d’obtenir une pâte à craie.
 
        Le matin, le groupe repart. Les blessés graves occupent le charriot. Edegilon, à mobilité réduite, prend place à côté du cochet.
        Cithric, Eodrec, Gunnard, le sergent ainsi que 4 soldats sont les seuls en capacité de marcher à côté.
        Après réflexions, les Tisseurs estiment que l’entité ne voulait pas forcément s’incarner dans le roi, mais cette dernière aurait pu être manipulée par Holbrak. L’entité, elle, aurait souhaité n’importe qui, voir un elfe ? Holbrak maîtrise la magie. Il a des liens avec les orcs et avec un sorcier. Les Tisseurs en profitent pour décrire Holbrak et Echtion à Naërya. Les Tisseurs évoquent également les différents princes : Findulas (qui a le sang chaud mais il ne trahirait pas les hommes) et Dol Tinaret (présent sur Tharbad, il siège au Conseil).  Le roi du Cardolan actuellement est Tar Astor (« Tar » signifiant son appartenance aux Numénoréens et « Astor » étant le nom d’une dynastie célèbre, descendant d’Isildur et d’Elendil). Le gouverneur de Tharbad a changé. Désormais, le Gondor, n’est plus présent au Conseil. Le Conseil ne comporte plus 14 membres. Tous ses échanges n’évoquent rien pour Edegilon.
Durant leurs échanges, le paysage change progressivement. Les collines s’affaissent.
 
        Le soir tombe progressivement. Les Tisseurs commencent alors à échanger autour de leur arrivée prochaine à Tharbad. Eodrec laisse croire aux hommes qu’il n’ira pas à Tharbad car il serait attendu au Gondor.
        Des discussions se font désormais autour de la finalité de cet argent. Arlan rappelle que celui-ci servira à financer une guerre. Nahel rectifie en rappelant que cet argent est simplement censé payer une dette. Eodrec et Arlan tentent de faire comprendre à Nahel qu’ils n’arriveront pas dans Tharbad en tant que Tisseurs, qu’il est nécessaire que leurs véritables identités soient secrètes le plus longtemps possible. Ils lui demandent de garder l’anonymat. Il serait plus prudent de faire croire que Nahel est venu jusqu’à Tharbad en compagnie de mercenaires. Eodrec réaffirme sa volonté de rejoindre le Gondor.
        Il explique également aux Tisseurs qu’ils possèdent un pied à terre. Il a l’intention de se présenter en tant que Aranuir, un vendeur de tissus qui souhaite ouvrir une échoppe. L’échoppe a déjà été achetée par un dénommé Enworth. Des débats font alors jour. Certains estiment que ce n’est pas une idée pertinente.
        Puis les débats abordent le rôle d’Elaïth comme héritier du futur roi. Il serait le fils de Nomendil, dernier roi du Rhudaur.
 
        A nouveau est évoqué l’arrivée et la place de Naërya. Quand elle sera livrée à la destination demandée, elle sera dans l’ombre. Mais elle souhaite pouvoir garder le contact, par l’intermédiaire de Nahel.
        Eodrec propose alors un stratagème : une volonté d’échanger de la soie d’Archinor (royaume, imaginé par Eodrec lors d’un échange précédent avec Naërya, qui désignerait Dale).
        Les réflexions portent ensuite sur l’Assassin, l’Ombre, qui doit tuer le roi. Mais de quel roi parle-t-on ? Le roi du Cardolan ? Elaïth ? Le roi de l’Arthedain, roi unificateur potentiel ? Le roi de l’Arthedain aurait bien besoin de cet argent.
        Gunard, quant à lui, fera son entrée dans la ville, depuis le charriot, en tant que « Maître nain ».
        Ils décident d’un dernier arrêt et d’un point de ralliement au dernier village avant l’arrivée dans Tharbad. Et il est décidé d’un point de rencontre le lendemain de l’arrivée, dans un parc, acculé à la rivière. Eodrec rejoindra l’auberge « Le Tonneau pentu ».
 
        Le lendemain matin, le convoi repart. Eodrec confie la tâche d’ouvrir l’échoppe au soldat (avec qui il avait échangé textile lors d’une discussion précédente). Edegilon est chargé de fabriquer un fourreau pour cacher Cundiel et de confectionner une cape pour camoufler l’origine d’Arlan. Il prépare aussi des capes avec capuchons.
        A midi, lors du repas, un chant est entonné en l’honneur d’un hobbit. Edegilon ne semble pas connaître grand-chose de ce peuple. Une pipe est sortie en l’honneur de ce personnage. Nahel possède du tabac, plutôt épicé. Edegilon se laisse tenter, il goûte et semble apprécier. C’est quelque chose qu’il a déjà pratiquer par le passé. Eodrec échange avec lui, Arlan parle en elfique. Edegilon se revoit alors chez lui, en train de fumer, autour de la table. Il revisualise la scène de manière très forte. Ce tabac, épicé, vient de Rhûn.
        Gunard rappelle, aux hommes, la nécessité de se faire appeler « Maître nain » désormais.
 
        Le convoi reprend la route. Sur une route, longée par des murets, surgissent alors des hommes, en armures, ainsi que des archers. Ils attaquent alors le charriot. Le cochet est touché par une flèche mais est rattrapé, de justesse, dans sa chute par  Edegilon. Arlan demande, en elfique, aux chevaux de serrer à gauche puis à droite, (de zigzaguer en avançant) afin d’écraser les soldats et de déstabiliser les archers. Finaël et Aprivué tuent les deux archers. Gunard s’occupe parfaitement des soldats à sa portée. Edegilon tente de freiner le charriot qui commençait à accélérer. Gunard tente de suivre l’avancée du charriot. Naërya pousse alors un cri. Une charge de cavalerie est lancée, composée d’une dizaine d’hommes. Gunard se fait bousculer par la charge. Les Tisseurs sont mis à mal. Arlan tente de rejoindre le charriot, désormais encastré dans un muret, bloqué et bloquant la route. Alors que la cavalerie arrive à proximité du charriot, Edegilon lance alors deux fumigènes, créant ainsi un épais nuage, déstabilisant totalement les chevaux qui, élançaient en pleine vitesse, viennent s’écrasaient dans le charriot et les murets. Alan, présent sous le charriot, tue les cavaliers tombés à terre.
        Gunard s’apprête à massacrer, encore, un des hommes malgré une voix qui a crié « Gunard, STOP !!! ». Un cavalier se positionne alors dessus, Gunard s’apprête à charger. Le cheval se cabre. Le nain esquive. Le cavalier retire alors son casque. Gunard lui ordonne de descendre et de dire à ses hommes de cesser le combat. Ce qu’il fait. Le deuxième homme interpelle alors le cavalier afin de savoir pourquoi l’arrêt des combats. Le cavalier répond « qu’il y a eu suffisamment d’horreurs pour la journée ».
 
        Le cavalier est un des hommes d’Elaïth. Il s’agit d’Agathon. Naërya revient, poursuivit par des cavaliers qui vont cesser à la demande d’Agathon. Chaque camp va bénéficier d’une dizaine de minutes pour se reformer. Les Tisseurs rapatrient les blessés vers le charriot. Arlan demande à Edegilon de prendre position sur le charriot, derrière la mitrailleuse (qui, rappelons-le, n’a plus de munitions), afin de laisser croire en une force potentielle.
        Agathon rejoint le groupe. Il demande à avoir des explications sur le fait que les Tisseurs les auraient attaqués. Ils rétorquent en rappelant les événements et que ces sont les soldats d’Agathon qui les ont attaqués, et non l’inverse.
        Ils ont été envoyés par le prince Elaïth, futur roi du Rhudaur. Il a accepté le titre, mais n’a pas encore été couronné. L’ordre n’était pas d’attaquer, seulement de ramener Naërya au Rhudaur. Cette mission avait été confiée aux hommes d’Agathon, il y a près de trois semaines.
        Les Tisseurs refusent évidemment de laisser Naërya partir pour le Rhudaur, sans passer par Tharbad au préalable.
 
        Arlan présente alors Agathon à Naërya. Ils se connaissent déjà, puisqu’ils se sont rencontrés il y a un mois et demi au Rhudaur. Naërya avait déjà alors donné son désaccord pour rejoindre Elaïth. Elle renouvellera son opposition, à moins que ce refus n’engage un nouveau combat entre les hommes d’Elaïth et les Tisseurs.
        Tous s’accordent sur le fait qu’Elaïth ne doit pas être couronné si tôt. Il est pressé par son entourage, qui a de grandes idées.
        Pour Naërya, Elaïth n’est ni le mieux, ni ce qu’elle veut. Si elle ne rentre pas auprès d’Elaïth, ce dernier risque de considérer que les Tisseurs s’est coupé de lui. Les interrogations portent alors sur la dot : un nom ? une lignée ? Un lien entre les royaumes. Elaïth vient de renvoyer les émissaires de l’Arthedain à Fornost.
        Le roi du Cardolan n’est actuellement pas à Tharbad. Toutefois, lorsqu’il apprendra la présence de Naërya, il s’y rendra (lentement, genre une semaine, puisque certes il est censé épouser Naërya, mais il aime les hommes). Le roi de l’Arthedain possède déjà une femme et un fils.
 
        Agathon rejoint Naërya et les Tisseurs. Il les salue, se met à genou. Il vient apporter le message d’Elaïth auprès de Naërya. Naërya demande la lecture à voix haute. Le message renouvelle la demande en mariage, et est très bien tourné. Il ressemble à une déclaration d’amour, assez personnel mais aussi pour le bien du Rhudaur. La lettre semble globalement sincère et Naërya marque le coup. Elle décline toutefois « quelque soit les sentiments, seul compte le bonheur et l’avenir des peuples en liant les royaumes ». Elle demande à Agathon de transmettre à Elaïth, qu’elle souhaite qu’il arrête de la poursuivre afin d’éviter les dissensions.
        Agathon renouvelle ses excuses. Arlan échange avec lui. Eodrec avec Naërya. Il lui propose de fournir une réponse privée, signé par Eodrec. Naërya est descendante du Rhudaur, donc si elle épouse le roi du Cardolan, elle le légitime. Dès qu’elle aura annoncé qu’elle épouse Tar Ascor, Elaïth précipitera son accession au pouvoir. Tar Ascor pourra alors la rejeter. Ou alors la guerre éclatera entre le Cardolan et le Rhudaur. Finalement, c’est l’Arthedain qui va s’en frotter les mains.
        Naërya espère que l’union du Rhudaur et du Cardolan limitera les ambitions de l’Arthedain ou alors que les orcs attaquent le Rhudaur et que les Hommes s’allient alors.
 
        La nuit passe. Le convoi est nettement éclopé, fatigué. Déjà une semaine que le convoi est parti, et il a souvent été mis à mal. Le voyage est silencieux. Alan annonce alors son départ, fictif, dans la journée vers le Rhudaur. Les elfes annoncent également leurs départs vers Ceven Galad. Ils annoncent qu’ils ressentent la magie, une présence à proximité. Le repas se fait dans un grand moment d’émotions pour les Hommes. Le charriot repart alors seul avec « Maître nain ». Les Tisseurs se quittent, chacun partant vers une destination différente.
 
        Eodrec sort alors sa pâte à craie pour maquiller son cheval. Edegilon l’accompagne. Ils traversent les grandes plaines, les villages. Le soleil se couche progressivement.
 
        Arlan va méditer. Il range ses affaires, se débarbouille puis se rase. Il repart en mode rodeur.
 
        A proximité de la destination, les Tisseurs peuvent tous admirer le gigantisme de cette ville, délimitée par une grande rivière et sur la partie Est, de gigantesque marais s’étalant sur une dizaine de kilomètres. La ville est entourée par de grandes fortifications, avec quelques douves. Les entrées sont encombrées. Les maisons sont tout en hauteur. Les faubourgs sont remplis de maisons en bois. De nombreux convois sont aux portes, bien gardés. Ils inspectent les contenus des charriots. Les gardes sont bien équipés.
 
        Edegilon et Eodrec entrent facilement dans la ville. Le charriot quant à lui est soumis à une tentative d’inspection. Les gardes se positionnent autour. Nahel prend la parole, il parle bien, il parle beaucoup. L’officier semble un peu sceptique. Nahel descend alors du charriot et demande d’ouvrir la diligence. Naërya accepte. Nahel joue la comédie « Votre altesse » … La garde laisse finalement entrer le charriot sans véritable inspection.
        Le convoi prend la route vers la banque. La ville est très cosmopolite : des hommes, des nains, des hobbits (seul semble manquer les elfes).
        La banque se situe sur l’île centrale. Le charriot est alors à nouveau contrôlé. Nahel explique la raison de leur présence et montre les documents nécessaires. Les gardes sont spécifiques. Le charriot pénètre à l’intérieur.
        Nahel précise notamment à Gunard, qu’il a pour habitude de prendre ses quartiers à « La rivière d’argent ». Naërya ira au même hôtel.
 
        Au « Tonneau pentu », Eodrec et Edegilon s’installent à une table. La nuit leur coûtera 1 pièce d’argent et 5 deniers. Eodrec demande si le barde est dans le secteur. L’aubergiste répond qu’il devrait faire attention à ce barde, car ses chansons sont considérées comme une incitation à la propagande. Ils évoquent une chanson sur une couturière. Eodrec et Edegilon laissent également 1 pièce d’argent afin de bénéficier de soins.
        Edegilon profite de la soirée pour préparer trois fumigènes.
        La nuit se passe paisiblement.
 
        Arlan, en rodant dans la ville, a pu entendre parler de tensions liées à des restrictions de blé. Le coût de la vie a augmenté.
        Edegilon charge Eodrec, en tant qu’homme de garde, de récupérer quelques matériaux pour la fabrication de grenades flashs et il lui demande de récupérer également du tabac pour la pipe.
        Eodrec en profite pour rejoindre une auberge (avec l’argent d’Edegilon). Les quartiers sont très grands. Il y a des quartiers populaires. Il y a pas mal d’agitations mais les gardes sont très réactifs pour dispersés les quelques rassemblements.
        Gunard cherche le quartier nain. Il demande aux marchands qui est le représentant du commerce de Khazad-dûm. On lui indique une maison en pierres, avec une belle porte. La cour est pavée, très naine. En plein milieu, le motif en étoile de Durin. Gunard laisse traîner les oreilles. Ca parle d’économie, de commerce. Il entend un nom : « Holbricht » qui vient de racheter quelque chose dans la ville.
 
        Arlan demande un prêteur sur gage pour un dépôt afin de se faire un peu d’argent. Il demande à trouver un certain « Gerhard ». L’aubergiste lui conseille de se rendre du côté du port, dans les rues à l’arrière des quais. Arlan demande aussi où trouver des guérisseurs. Ceux-ci sont plutôt de l’autre côté de la rive. Arlan rejoint alors les quais, en faisant du repérage. Il repère un prêteur, sur les quais, sur les docks. Il arrive à obtenir une adresse : une petite boutique avec un grillage, une porte avec un gros judas.
 
        Les Tisseurs rejoignent alors, comme prévu, le parc. Eodrec en a profité pour venir avec quatre tourtes, qu’il vient d’acheter. Elles étaient hors de prix. Arlan feint de pêcher. Gunard est évidemment éloigné de la rivière. Le groupe échange alors sur leurs premières informations glanées depuis leur arrivée la veille au soir.
        Ils évoquent à nouveau Kendrick : les raisons politiques de le rencontrer rapidement, les raisons personnelles (les bijoux de sa fille à lui remettre) et la nécessité de le questionner sur l’ambre.
        Les Tisseurs conviennent alors de la nécessité d’aller déposer le message dans la boîte aux lettres.
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