Bonjour à tous,
Désolé pour le débrief tardif (bulletins, conseils de classe, entorse à l'index...bref, facile de trouver des excuses pour un incongru).
Comme d'habitude, n'hésitez pas à corriger.
Nous reprenons l'histoire, nous sommes au campement. 3 feux sont allumés. Les soins sont prodigués.
Nous refaisons la situation sur la question des éclaireurs et des flèches sifflantes. Aprivué est toujours absente.
C'est alors qu'une flèche sifflante arrive dans le camp. Surgissent des loups de tous les côtés, au nombre de 6. Finael fait tomber 2 loups. Edegilon en tranche également de 2 d'entre eux. Gunard en tue un également s'occupe du dernier avec une hache de jet.
Eodrec aperçoit alors, au niveau du chariot, 2 loups se jetant sur les chevaux. Arlan plante Cundiel dans le sol et ressens 7 à 8 flammes de vie dont celle d’Aprivué, situé à une vingtaine de mètres. Les cochers s'interposent entre les loups et les chevaux. Finaël plante une flèche dans un des deux loups puis touche le 2nd qui est terminé par le nain. Arlan fait signe au groupe, Eodrec et Edegilon vont en avant. Des hommes arrivent alors, ce sont les éclaireurs humains. Surgissent alors 5 hommes dont notre ami elfe. 2 chasseurs éclaireurs manquent à l'appel. Le groupe des tisseurs échange avec les éclaireurs revenus. Les elfes vont être chargés d'aller retrouver les 2 chasseurs. Ainsi ils quittent le groupe.
Un des 2 cochers fut blessé. Gunard, sous les conseils d’Arlan, Va expliquer comment ranger les équipements. Les hommes du guet renâclent mais font tout de même l'exercice demandé. Gunard s'occupe d'ailleurs particulièrement du renacleur le plus expressif.
Le camp se met alors en ordre de rangement. Les tours de garde sont distribués. Le groupe met en place le dîner et les premiers soins sont prodigués. Le groupe, se retrouve assis auprès du feu.
Nahel et Naërya nous felicitent. La dame confirme le choix des tisseurs comme escorte particulière des échanges se font sur les particularités et les spécificités de ces Tisseurs. D'ailleurs, elle se demande ce qu'un seigneur du Cardolan fait à escorter un simple chariot. Bien informée sur la situation, Arlan lui répond en expliquant le fonctionnement et l'objectif du groupe à savoir : l'unité face à l'ennemi. Eodrec profite alors de ce moment pour raconter 2 histoires concernant des femmes dont il a particulièrement d'admiration (malheureusement je te laisse le choix de la retranscription car je n'ai pas tout suivi de discussion point PS, je n'étais alors qu'un incongru en devenir).
Nahel avoue que ce voyage est surprenant. Ils se sont inutiles malgré des évènements très palpitants. Arlan Tente de le rassurer en rappelant son importance. Gunard Rappelle d'ailleurs son rôle d'auto-protection lors de l'attaque.
Finaël piste alors les traces de loups et de loups montés. Nous approchons des 2h du mat. Il trouve alors des restes de cadavres. L'éclaireur en question, devait être à 4 pattes, quand il a été attaqué. à 2 M des restes du cadavre, il aperçoit du vomi mais aucune trace d'empoisonnement. Avant de quitter la scène, l'elfe ramasse quelques effets personnels.
Arlan questionne alors Naërya afin de connaître les rumeurs sur le groupe. Les tisseurs sont régulièrement présentés comme étant des personnes qui savent ce qu'ils font. Ils possèdent un côté rassurant pour les autres. C'est un groupe de guerriers avec un idéal et certaines valeurs morales. L'homme au bouclier en profite alors pour essayer de découvrir l'analyse le concernant. il est alors décrit comme une personne complémentaire du groupe, en retrait, et il est même qualifié d’incongru. Elle termine ces échanges en rappelant qu'elle a été ravie de nous avoir rencontré.
Edegilon profite de la soirée pour dévoiler le croquis du collier à Arlan. Toutefois, cette parure ne lui évoque rien et propose d'en parler à Gunard. Le nain peut alors affirmer qu'il ne s'agit pas de style ni de motifs nains, peut-être d'origine elfique. Mais probablement plus humain, des hauts dunédains. Il base son analyse sur les motifs du cercle. Il peut toutefois affirmer, qu'il s'agit d'un bijou rare.
Les tours de garde s’enchainent alors pour la nuit. Au réveil les elfes sont revenus. Aprivué dresse le même constat que celui de Finaël.
Eodrec demande à Arlan et Finaël de se rapprocher du feu, pour voir si quelque chose de mauvais est présent dans l'air. En effet, les soldats ont eu un sommeil agité. Ils semblent avoir fait des cauchemars comme des enfants. Les tisseurs, quant à eux, ont bien dormi. Naërya et Nahel ont eu un sommeil un peu tendu. Les chevaux aussi ont montré des signes d'agitation. Eodrec aborde alors le sujet avec les cochers. Ces derniers, constatent que la veille également, les chevaux avaient eu un sommeil agité. Ils avaient d'ailleurs été contraints de faire des massages. Et après qu’Eodrec joue la comédie, le cocher avoue avoir fait des cauchemars, voyant un noir absolu, avec l'impression que quelqu'un vous regarde fixement. Les cochers avez mangé dans la même marmite que celle préparée pour les soldats. Toutefois, aucune trace de vomis à proximité du campement.
Les ordres sont alors passés concernant les éclaireurs ils marcheront 2 par 2, avec comme consigne de revenir, si l'un d'entre eux est malade.
Finaël et Arlan se mettent alors à l'écart du campement, pour tenter de ressentir quelque chose.
Arlan va même examiner l'herbe pour voir si celle-ci est écrasée par la nature là où les hommes ont dormi. Toutefois cette recherche n'aboutit pas. Edegilon, ça lui, va examiner la marmite. Mais là encore il ne trouve rien d'anormal.
Au petit matin, la compagnie reprend la route point les soldats sont alertes, fatigué. Gunard Fredonne un chant de marche avec les hommes. Ce chant permet de donner de l'entrain aux soldats. Les 2 elfes rejoignent alors la troupe. Ils nous signalent qu’ils perçoivent quelque chose de diffus, de tenu, comme quand une voix chante faux dans une symphonie. Ce quelque chose ne vient pas du groupe et les elfes ne sentent pas leurs directions. Les elffes ont une présence apaisante, ainsi l'agitation chez les hommes s'est calmée. Finaël part devant, restant à vue du chariot. Eodrec, fait des allers-retours au galop entre l'avant et le chariot. Lors de la pause, Arlan va voir Naërya, en prétextant des blessures à aller voir. Il se questionne sur un retard potentiel de cicatrisation. Selon Naërya, non. Mais toutefois les hommes sont agités peut-être ont-ils plus de fièvre. Naërya avoue avoir eu un peu de mal à s'endormir. Elle explique ces évènements par le traumatisme de la journée. Arlan tente de connaître l'intention de l'ennemi sur elle. Elle ne sait pas si l'ennemi a plus intérêt a l’avoir vivante que morte. L'ennemi sera fois capable de mettre en place tout ce qui pourra.
Le choix des tisseurs pour cette mission n'est pas un hasard.
Arrive alors la grande pause du midi. La troupe aura logiquement rejoint le relais ce soir. La perspective d'une nuit dans un lit, avec les soldats dans la grange et la possibilité de changer les chevaux enthousiasment les hommes.
Dès le repas fini la troupe reprend chemin. Les hommes fatiguent, la file s'étire. Ce n'est pas de la mauvaise volonté simplement une réelle fatigue physique.
Finaël remarque alors des déplacements suspects d’animaux ailés, comme s'ils étaient effrayés. Il lance alors une flèche sifflante.
Arlan demande une ligne de soldats devant. Gunard s'occupe du flanc droit, Edegilon sur la tourelle, et les arbalétriers derrière. Eodrec rejoins l'elfe, qui court vers lui. Devant, à 800 mètres du convoi, rien de certain, mais quelque chose d'étrange se passe. Eodrec fait monter Finaël Et s'avancent vers la zone. Eodrec perçoit des bruits de course mais lointain, estimés à plus de 2 kms. Eodrec rentre doucement dans la forêt, tout en discrétion, après avoir vérifié le sens du vent. Finaël le suis en décalage. Ils écoutent à nouveau à même le sol, et entendent à 400mètres, un martèlement sourd Correspondant à un humanoïde courant ainsi que 3 ou 4 quadrupèdes. Eodrec sonne alors son cor, pour signaler aux ennemis une présence en nombre de leur côté. Les pas de course ne s'arrêtent pas, par contre ils obliquent en leur direction. Ils perçoivent le son d'un type en train de courir à bout de souffle, et des loups en train de beugler. Un homme assez jeune, cours comme un dératé, poursuivi par 4 loups. L'un d'entre eux, se jette sur l'homme qui vient de tomber. L'homme parvient à trancher un loup, un 2e saute alors sur lui. Finaël lui décoche une flèche. Le loup s'écrase alors sur l'homme. L'elfe, s'occupe alors du 3e loup qui s'écrase également dans le trou. Le dernier fonce alors vers Finaël, qui le touche en plein poitrail. Le loup s'écrase mort à ses pieds.
Ils libèrent alors l'homme qui n'a pas l'air d'un dunéain. Il a un léger accent de l’Enedwaith. Il possède une épée courte de bonne qualité. Il se nomme Sitric. Il possède un tatouage de dunéain. Il explique que 4 loups le poursuivaient. Ils étaient 8 hommes, dans les collines. Il pense être le seul survivant. Ils ont subi une attaque par des loups et des loups montés. Ils se sont fait surprendre. L'attaque était fulgurante. Lui, espérait que nous arrivions. Ces hommes, nous suivait dans le but de nous attaquer. Il a été embauché par un contrat qui stipulait l'enlèvement d'une femme. Des renforts étaient prévus, ils sont arrivés : des orcs. 3 des hommes étaient alors prêts à rompre le contrat. Les orcs ont massacrés tout le monde. Le chef des hommes, se nommait Kerdric.
Moitié dunéain, moitié dunédain, il n’est pas très grand physiquement. Il doit avoir 25 ans, et possède des traits assez fins. Sitric nous informe pouvoir savoir qui a commandité le contrat. Kerdric, Le chef, possède sur lui un tube, dans lequel se présente la commande : une lettre de paiement. Arlan lui prends ses armes, lui ligote les mains et l'accroche au chariot. Gunard le fouille.
Naërya demande des informations concernant le prisonnier. Gunard lui offre une dague afin qu'elle puisse se protéger. il prend même le soin de lui confectionner un fourreau qu'elle pourra mettre à sa jambe.
Les tisseurs échangent alors sur la nécessité d'aller au campement où se trouve le corps de Kerdric.
Arlan et Finaël vont donc être chargés d'aller au campement, pendant que le reste de la troupe tente de rejoindre le relais avant la nuit. Le convoi avance en accélérant en ayant 2 voyageurs dans le chariot. Edegilon derrière la tourelle. Des torches, sont disposées le long du chariot. Le soir est tombé. Il reste quelques morceaux de ciel lumineux. Les hommes peinent à marcher. Ils ont une impression d'inconfort, d'être tendu, oppressé par le nain. Un soldat s'arrête alors et vomi. Aprivué viens vers nous pour nous signaler qu'elle sent quelque chose partout autour.
Turpaï ne peut que remarquer que les chevaux ne vont pas, ils sont nerveux. Le chemin est plus escarpé. Eodrec saisit alors des torches pour les positionner en amont, tout en faisant un grand discours. La lune perce alors les nuages. Un léger regain se fait sentir chez les hommes qui avance de torche en torche ainsi pendant 30 min.
Aprivué depuis les hauts des collines, elle tend les bras. Se fait alors comme une déflagration invisible, éteignant les torches, soufflées d'un coup. Des hennissements retentissent, les chevaux se cabrent, les chariots partent en courant. Des soldats tombent à terre. Aprivué tombe également dans la pente et roule. Gunard se précipite vers elle. C'est la débandade, les chariots partent à toute vitesse. Les arbalétriers tombent. Edegilon A l'impression que le chariot va se casser. Une vision le saisit alors. Un noir profond, avec 2 yeux rouges le fixant. Edegilon Tente de s'extirper tant bien que mal du chariot pour rejoindre le cocher. Eodrec depuis son cheval, tente d'apaiser les chevaux et le chariot. L'attelage va s'écraser, mais les tisseurs parviennent finalement à faire déraper l'attelage et ainsi éviter la chute dans le ravin.
Gunard ramène Aprivué au milieu des hommes. Un des chariots est renversé, éventré sur les rochers. Les provisions et les affaires sont alors tous chargés sur le même chariot. Nahel descend. Aprivué est mise dans la diligence. Le convoi rejoint alors le relais.
Arlan et Finaël restent à flanc de colline avec Sitric. il s'approche de l'endroit qui est plus encaissé comme un petit cirque de collines. Sur les hauteurs, des restes d'un campement avec beaucoup de corps au sol. 4 loups et un orc sont présents. 6 cadavres humains, entre 4 et 6 cadavres de chevaux, 5 cadavres de loups et 3 cadavres d’orcs. Finaël tire alors 2 flèches en cloche pour s'occuper de 2 loups puis 2 flèches directement vers les 2 autres loups. L'idée étant que les 4 flèches parviennent en même temps sur leur cible. Arlan s'occupera de l'orc. Sitric et Arlan terminent d'achever les 3 loups gravement blessés. Arlan récupère la petite boîte métallique. Sur la colline ,1 loup monté avec une grande masse possédant des pointes hérissées, les observent. le groupe alors sous la crête, hors de vue.
Gunard fait installer Aprivué dans une chambre. Les tours de garde sont organisés. Edegilon pendant le tour de garde, ne se sent pas très bien. Gunard ressent également une tension. Eodrec se réveille, pas bien. il descend avec sa torche, et s'approche de l'eau. Gunard voit alors la poignée de porte commencé à se baisser. Il la saisit et la pousse violemment. C'est alors que surgit Edegilon, épée en main. Gunard Le pouce et le fait tomber dans le couloir, ce qui le réveille aussitôt. Eodrec perçoit des soldats de chez nous en armes. Gunard va récupérer Naërya pour la convier dans la chambre d’Aprivué. Eodrec Sont en flottement chez les hommes. Certains s'arrêtent. Eodrec agite alors des torches. Nahel surgit, armé d’une chaise, au coin du couloir, sur Gunard. Ce dernier lui met une baffe. L'aubergiste, assène un coup de poêle à Edegilon. Il tombe à genoux, mais parvient à renverser l’aubergiste. Dehors 3 soldats semblent encore agités, Eodrec ne parvenant pas à intervenir. Ils se dirigent vers la porte. Edegilon esquive le premier soldat et le renverse. Eodrec en duo avec Edegilon parviennent à réveiller les deux soldats restants. Ils se dirigent alors vers la grange. Un arbalétrier les charge. Edegilon saisi une de ses fioles afin de le déstabiliser. Toutefois, il se loupe. La fiole atterrit au milieu des soldats, éclairant brutalement la scène, mais permettant aux soldats de cesser les combats. Le carreau d'arbalète passe entre les 2 tisseurs. Arlan et Finaël arrivent enfin. A peine arrivés, ils perçoivent l'entité à l'œuvre. Arlan ne se sent pas bien. Finaël perçoit l'oppression autour de lui. il se concentre alors sur l'eau, une main sur la pierre pour se protéger et protéger les autres. L'autre main dans l'eau, avec l’anneau. La pierre se met à briller et une lumière bleutée se lève tout autour de lui. La lumière s'échappe sous forme de gouttelettes. Gunard Une fois cet écrin depuis sa fenêtre. Il se saisit alors d’Aprivué et tente de rejoindre la scène, en ordonnant à tout le monde de descendre. Gunard dépose alors Aprivué en léthargie, à la rivière. Finaël Pose sa main sur le ventre d’Aprivué. Ses yeux se réouvrent. La scène est complètement surréaliste.
C'est un mélange d'étonnement, d'incompréhension, et de fatigue qui saisit alors l'ensemble du groupe. Gunard reste dormir à la grange avec les soldats. Le reste de la nuit se passe très calmement. Le réveil est tardif. Gunard va réparer les roues du chariot.
Les tisseurs profitent du calme pour ouvrir la petite boîte métallique. Gerhart, un prêteur sur gage de Tarbad. La lettre évoque 50 pièces d’or, promis à Kerdric. Un tampon représente une écuelle avec une pièce à côté d'une timbale.
L’entité a tenté d’attaquer Aprivué puis Finaël. Le groupe passe la journée au relais.
Arlan échange avec Naërya sur le prêteur puis se questionne sur l’arrivée à Tarbad. Il explique que sa situation va être compliquée. Que rien n’oblige à déposer la femme au point de rendez-vous dès l'arrivée sur Tarbad. Peut-être, envisager de rentrer avant le chariot, de manière plus discrète. Un débat a lieu concernant les objectifs de la mission et l'acceptabilité de la mission concernant Naërya.
Ven 26 Nov 2021 - 20:52