Bonjour à tous,
Première journée à la maison depuis notre soirée, j'en profite. Grosse soirée à priori car près de 3h à copier...
Bref : voici le résumé.
Bonne lecture
Les Tisseurs reprennent au petit matin, vers 6h. Finaël est absent.
Après un court échange avec le sergent, les soldats semblent abattus moralement. Ils éprouvent un sentiment de confinement. Ce lieu les stresse. La discipline est difficile à faire respecter, il y a de grandes tensions. Il est rappelé la nécessité de partir dès aujourd’hui.
Naërya se joint aux échanges. Elle souhaite remercier les elfes, toutefois ceux-ci ne sont plus là.
Les Tisseurs échangent et proposent la création de pièces en étain avec un aspect magique afin de rassurer les hommes. Arlan, soucieux de l’absence de ses amis elfes, décident de partir à leurs recherches.
Arlan piste Finaël. Il est en symbiose avec la nature. Finaël, en tant que transmetteur d’eau, des traces de gouttelettes sont répandues tout au long de la rivière et vont lointainement, en s’estompant. Arlan cours en cette direction. Il suit l’aura, qui s’étend en s’enfonçant dans la forêt. La forêt est dense. Arlan décide de poser les armes, de prendre des plantes dont se nourrissent les animaux de la forêt afin d’obtenir de leur part un ressentiment. Toutefois sa demande est vaine. Arlan se met alors à méditer. Il parvient à se calmer mais c’est tout. Il récupère alors de la nourriture, cours une dizaine de minutes dans le ruisseau et s’arrête vers une zone de buisson. Toutefois, là encore, aucun retour. Il décide alors finalement de rentrer.
Pendant ce temps-là, Cithric se joint au groupe lors du petit déjeuner. Il est invité à manger avec le groupe. Il refuse. Il souhaite simplement connaître les intentions des Tisseurs envers lui. Eodrec le requestionne concernant son but. Il ne pourra être armé dans un premier temps mais sera chargé, par Eodrec, de chercher du bois mort.
Gunard va devoir utiliser l’atelier de maréchal ferrant, afin de réaliser un travail de forge. Eodrec demande si un soldat possède des compétences pour aider à la forge. Le soldat sera chargé de tester le soufflet et d’épauler Gunard. Eodrec charge également trois hommes de remettre en état le charriot.
Les autres seront occupés à quelques exercices physiques, sous les ordres du sergent. Edegilon se joindra à eux. Ces exercices, ainsi que la préparation de l’équipement devraient durer près d’une heure et demie.
Les cochets constatent que les chevaux sont dans tous leurs états. Ils ne peuvent répondre de rien. Eodrec assisté par un cocher tentent d’apaiser les chevaux en se blottissant contre eux. Gunard rappelle l’importance des chevaux pour cette mission.
La forge est bien partie. Se font entendre des coups de marteaux. Puis derrière eux, un bruit de craquement (de biscottes). Nahel interroge Gunard sur son occupation, mais le nain le renvoie paître. Il tente alors d’interrompre Eodrec, en chantonnant, en direction des chevaux. Eodrec lui dévoile alors le plan dans les grandes lignes. Il semble fasciné. Eodrec lui rappelle les événements de la nuit passée, car finalement, Nahel a peu de souvenirs. Eodrec lui propose de se vêtir de vêtements qui marquent et d’expliquer la situation à Naërya.
A la fin des exercices, les chevaux sont calmés, Gunard a fini de forger. Les anneaux sont disposés sur la forge, en forme d’ouroboros. Gunard remercie le soldat qui l’a épaulé, afin que ce dernier se sente important.
Edegilon, à la demande d’Eodrec, enquête sur les soldats et leurs formations professionnelles initiales, en espérant trouver quelqu’un qui s’y connaîtrait en tissu. Edegilon ne trouve pas mieux qu’un tanneur.
Arlan arrive alors. Les hommes sont alors rassemblés.
Arlan fait alors une communication concernant les événements de la nuit passée. Il rappel le courage des hommes face aux créatures de chaires et d’os. Il explique qu’ils viennent de forger des anneaux pour les aider. Il sort alors Cundiel et la dirige vers la flamme de la forge. La lame chauffe. Il l’approche alors de l’enclume et la pose dessus. Il prononce alors des phrases en elfique « pluie d’étoiles confère force et courage » puis il jette des étincelles sur les anneaux. La flamme du feu vient, s’enroule autour de l’épée. Les étincelles suivent. Ça se diffuse avec pleins de petits éclairs, comme un feu d’artifice. Tous les anneaux s’éteignent alors.
Les hommes sont galvanisés. Nahel applaudit. Naërya salue Arlan. Eodrec explique à Nahel qu’il va de voir distribuer un anneau pour chaque homme en prononçant « Pour Theid mor ». Le sergent ne peut affirmer si ça fonctionnera mais il estime que ça a été bien mené. Arlan donne un anneau à Cithric en lui prononçant cette phrase « Cherchez votre voie », il reconnaît un manque de confiance.
Le convoi peut alors repartir. Lors du trajet, Eodrec questionne Edegilon sur sa cité (us, coutumes, noms d’habitants, de quartiers, de commerçants…), et n’hésite pas à répondre en l’imitant dans ses intonations. Le convoi avance relativement vite. A midi, une petite collation est effectuée.
Le paysage change alors. La zone devient plus escarpée.
Edegilon échange avec Nahel afin de parfaire ses connaissances sur les tissus.
L’escarpement du terrain gêne les éclaireurs à effectuer leurs missions. Eodrec les réorganisent : un sur chaque colline.
Le convoi a effectué près de la moitié du trajet pour rejoindre Tarbad. Tarbad est une très grosse ville avec de très nombreux charriots.
Le milieu d’après midi pointe. Il fait déjà sombre. Cithric marche avec le groupe, en retrait. Arlan tente quelques échanges. Cithric dévoile que dans le plan initial, cette partie du voyage, était le lieu idéal pour une embuscade. Pour tout le reste de la soirée ainsi que le trajet de demain matin, marque le plus gros passage risqué.
Alors qu’Arlan et Edegilon discutent, les deux hommes remarquent que le charriot tangue bizarrement. Ils font stopper le convoi. Arlan ouvre le charriot et perçoit Nahel qui tente d’étrangler Naërya. Il appelle Gunard à l’aide. Il y a une sorte de flottements chez les soldats, une partie d’entre eux se tiennent la tête. Plusieurs soldats tiennent l’anneau. Le charriot se met alors à bondir à toute allure. Eodrec évite le charriot avec son cheval. Le charriot file. La porte s’ouvre et le groupe peut apercevoir Nahel et Arlan tentant d’étrangler Naërya. Gunard percutent quelques soldats possédés, et en renversent quatre d’un coup qu’il projette sur cinq ou six autres.
Eodrec tente de s’approcher du charriot avec son cheval.
Arlan est agité dans sa tête. Il s’accroche. Il voit Naërya, violette, mais qui vient de se dégager de Nahel qui tient son ventre.
Edegilon ordonne aux soldats de se munir de leurs anneaux et de les fixer attentivement. Gunard appelle également à fixer les anneaux. 90% des soldats se trouvent alors debout, contrôlés par les anneaux. Edegilon, avec son bouclier, et Gunard bousculent les quelques soldats encore possédés.
Eodrec sonne un coup de cor, le même qu’il avait effectué lors de la cérémonie de remise de présentation des anneaux.
Arlan va voir Naërya : elle est dans les pommes, avec une dague ensanglantée dans la main. Il prend alors des vêtements et ligote Nahel. Il vérifie son pouls et l’accroche au banc. Le charriot poursuite sa course infernale.
Arlan ferme la porte et demande à Eodrec de gérer les chevaux. Arlan monte à la tourelle. Il avertit le cochet de son intention. Derrière le passage du charriot, la poussière est vraiment importante. Le terrain est vraiment difficile pour Eodrec. Le cochet hurle alors « Arbre devant ».
Arlan s’adresse aux chevaux en elfique « faites confiance au cochet » tout en les touchant.
Lorsque le sergent et Cithric sont opérationnels, Gunard les chargent d’attacher les six ou huit soldats à terre.
Eodrec tente de sauter sur les chevaux du charriot.
Gunard a entendu le cor. C’est alors qu’une flèche sifflante survole le paysage. Gunard hurle « en position » mais pas de réactions.
Edegilon utilise alors une grenade flash afin de réveiller les autres soldats. 6 à 8 hommes se réveillent, les autres restent tétanisés.
Eodrec tente de faire virer les chevaux pour que le charriot cogne le tronc d’arbre de côté. Les chevaux obliquent au dernier moment. Le charriot percute le tronc et se renverse.
Gunard frappe son bouclier avec son marteau suivi par Edegilon, 8 soldats dont trois arbalétriers, Cithric et le sergent. Ils avancent, à pas cadencé vers l’attaque. Gunard use d’un chant de guerrier nain.
Eodrec libère les chevaux.
Arlan est sonné. Il entend des bruits métalliques sur le charriot : des impacts de flèches.
Les chevaux hennissent, paniquent. L’un d’entre eux à une jambe cassée.
Gunard aperçoit des orcs et sur les hauteurs des collines : 5-6 archers et une vingtaine d’orcs de différents styles, dont une dizaine juste au-dessus d’Eodrec.
Alors que certains orcs allaient tomber sur Eodrec, celui-ci parvient à libérer un cheval, à l’agripper et s’extirper ainsi de la zone.
Gunard et Cithric cours sur le flanc droit, épaulé par les arbalétriers.
Edegilon tente de commander les soldats. Il fait former un mur de bouclier sur le flanc gauche.
Les orcs jettent des lances sur le charriot, vers les meurtrières.
Les arbalétriers tirent et tuent deux orcs. 1 arbalétrier est protégé par le bouclier de Gunard.
Edegilon fait avancer progressivement le mur de bouclier, entre chaque salve.
Eodrec a 5-6 orcs qui foncent vers lui. Il tente alors de prendre un peu de hauteur.
Arlan tente d’ouvrir la porte, mais il est bloqué dans le charriot.
Edegilon flashe les orcs du flanc droit et mène l’assaut. Les 4 orcs présents sont massacrés.
Gunard et Cithric percutent des orcs à droite.
Edegilon, une fois le flanc dégagé, ordonne de se mettre en marche vers le charriot.
Les orcs parviennent toutefois à entrer dans le charriot. Arlan en tue un avec Albigatol. Puis il prend le cadavre pour le balancer et déstabiliser les deux autres ayant pénétré le charriot.
Deux orcs arrivent sur Eodrec. Gunard s’en occupe.
Edegilon laisse le commandement au sergent.
Arlan écrase un orc. Un autre tombe sur lui, le frappe au thorax. Il prend un coup d’épée d’orc au niveau du cou.
Edegilon joue du bouclier. Il pare les attaques mais ne parvient pas à porter de coups.
Arlan est de nouveau attaqué au thorax mais Naërya tue l’orc.
Arlan, dépassé, décide de se taillader les veines afin de s’énerver et tente d’atteindre la flamme de vie des orcs.
Un vent de panique saisit alors les troupes. Certains fuient, d’autres se saisissent de leur anneau. Les orcs attaquent mais semblent bien plus rapides.
Eodrec est touché aux côtes.
Gunard saute sur le charriot. Plusieurs orcs tombent.
Edegilon esquisse tant bien que mal les coups portés.
Gunard dégage la zone en jouant du moulinet avec son marteau.
Arlan subit un coup. Une côte est craquée.
Gunard pénètre dans le charriot : il écrase un orc, broyé et fracasse le deuxième. Il y a du sang et des boyaux partout dans le charriot.
Eodrec et Edegilon esquivent. Ils entendent alors une clameur : les soldats restaient à l’arrière arrivent enfin, en hurlant. Edegilon trucide un orc.
L’assaut se termine. Le bilan est lourd. Il y a de nombreux blessés, notamment Nahel, Naërya, Arlan, Eodrec et de nombreux soldats.
Tout le monde s’entraide. Le charriot est déblayé.
Deux soldats sont morts et cinq sont blessés (11 au total avec l’assaut de la veille, mais les 6 en question étaient restés au gîte). Il reste donc une dizaine de soldats en état de combattre.
Naërya aide aux premiers soins.
Eodrec va récupérer les chevaux. Il n’en reste plus que trois.
Les orcs n’appartiennent pas à la même tribu. Ils viennent d’endroits différents. Ce n’est pas cohérent.
Il demeure un seul cochet de valide.
Les troncs sont élagués, les chevaux attelés. Une dizaine d’hommes aide à relever le charriot. Des travois sont réalisés afin de transporter les blessés.
Le convoi reprend donc la route tranquillement et tardivement.
Ils installent un campement. Les hommes ne sont pas bien. Naërya prodigue des soins. Arlan s’excuse pour la fin de l’attaque et la vitesse décuplée des orcs. Il se met ensuite à l’écart : il dispose des branches en cercle et allume un feu. Il plante Cundiel et propose aux hommes qui le souhaitent de venir ici pour se resourcer. Gunard trace un cercle au sol, autour du campement. Cithric prend place auprès du feu. Il sort son épée et tente de la rendre à Gunard. Ce dernier refuse. Les Tisseurs sont d’accords pour dire que Cithric a fait ses preuves et peut rester armé.
Vers les 22h, les derniers pisteurs arrivent. Ils annoncent toutefois des nouvelles peu réjouissantes : ils ont rencontré une troupe de guerriers aguerris, composée de 5 hommes : dont un archer, un guerrier, un avec une masse. Cette troupe leur a annoncé l’arrivée d’un très fort contingent d’orcs montés qui venaient en leur direction. Les 5 ont donné comme conseils aux éclaireurs de fuir.
Après quelques questions, les Tisseurs ont pu définir que parmi ces 5 hommes se tenaient Holbrack et Ektion.
Les orcs arrivent plein Est, sur leur dos d’ici demain.
Naërya rappelle qu’elle est contente d’avoir rencontré les Tisseurs. Elle les remercie de qu’ils ont fait et de leurs sacrifices. Elle serait heureuse d’avoir des hommes comme eux à son service. Arlan la remercie de lui avoir sauvé la vie dans le charriot.
Ils échangent sur le fait de pourquoi elle était la cible, mais ça ne semble pas être elle la cible.
Les soldats sont partagés entre fierté du combat et inquiétudes. Ils sont heureux de l’efficacité des anneaux mais ils sont encore tendus et sentent quelque chose de pas naturel dans ces lieux.
Les chevaux sont également encore tendus. Le palefrenier est également inquiet. Eodrec lui propose de prendre place sur le banc et que le palefrenier s’installe sur un des chevaux, afin de le rassurer. Le palefrenier préférerai la situation inverse.
Arlan pense que l’attaque des orcs aura lieu en plaine. Il propose d’aller chercher de l’aide : une cavalerie venue de Tarbad en prévenant la HSBC des attaques subies.
Arlan écrase de l’arfendas : une plante qui permet de guérir des fractures avec une action rapide. Il fait un emplâtre sur la côte.
Les tours de garde sont organisés en binôme.
Le sommeil est hanté, les soldats sont agités, ont froid. Tout comme Eodrec et les chevaux.
Arlan et Gunard sont alors saisi par une drôle d’impression. Quelque chose de néfaste pour Gunard. Ils ressentent la chose comme si elle était un esprit pas pleinement puissant car pas encore libéré.
Plusieurs hommes commencent à bouger.
Les Tisseurs parviennent à lutter. Certains hommes sont possédés. Une légère brise. Les flammes du feu commencent à briller, puis la tension s’apaise.
Ils ont le sentiment que deux elfes apparaissent. Ils ont l’impression que les elfes les incitent à les suivre dans le monde de l’eau, puis le monde ténèbres et de la peur. Ils perçoivent des formes lumineuses. Un éclair aveuglant. Ils sont alors transportés vers un nouveau ailleurs, près d’une cascade. « A jamais, un ici ou un ailleurs ». L’eau frémit. Deux silhouettes surgissent avec des larmes bleues dans leurs yeux. Un anneau brille au doigt de l’elfe et le passe au doigt de Finaël. Ils se dirigent alors vers les mers. Peu à peu, le chant s’éloigne et les Tisseurs semblent revenir vers le feu du campement.
Ils ont la certitude d’avoir vécu ce qu’ils ont vu, que ce n’était pas un « rêve ». D’ailleurs, devant eux : les deux elfes les ont rejoints. Ils semblent très fatigués, peu fringants, peu agiles, mais plus soudés qu’avant. Finaël a quasi un genou à terre, mais Gunard vient le soutenir. Aprivué n’avait pas été délibérée de l’emprise.
Ils échangent alors sur leurs aventures respectives depuis la séparation. Puis ils évoquent le danger qui plane sur le convoi. La créature a un pied à terre dans le convoi. Son but est de s’incarner. Si dans quelqu’un, c’est qu’elle s’est incarnée. Mais posséder quelqu’un n’est pas forcément incarner la personne. Pour Aprivué : elle n’est pas dans l’un d’entre nous. Peut-être alors dans un objet ? Aprivué pense que nous ne subissons que des éléments partiels. Le but de la créature est qu’on la libère. Les orcs ont attaqué le charriot. Est-ce le collier ? L’ambre ? L’or ?
Alors qu’Arlan explique l’attaque dans le charriot, Eodrec saisit l’avant-bras d’Arlan et montre à Finaël ce qu’Arlan s’est lui-même infligé : les traces d’auto-blessures mais aussi des traces plus anciennes. Arlan a déjà eu recours à cette pratique (pour sauver des enfants). L’automutilation est assez classique chez les dunéains, mais Edegilon n’a pas de tels souvenirs).
Les Tisseurs décident de tester les chevaux et leur attitude à proximité du charriot afin de vérifier l’hypothèse selon laquelle la créature serait dans le charriot. Au matin, les Tisseurs fouilleront le charriot.
Le reste de la nuit est plus calme.
Le soleil se lève. Le charriot est vidé (à l’exception du coffre qui est soudé au charriot). Les chevaux sont approchés des affaires sorties du charriot, mais ne semblent pas éprouver quoi que ce soit de négatif. Par contre, à l’approche du charriot, les chevaux ne se sentent pas bien.
Les chevaux, à proximité de Nahel et Naërya, n’éprouvent aucune peur, mais semblent apprécier le parfum de Naërya.
Gunard inspecte minutieusement le charriot. Toutefois, rien de plus n’est présent, que ce qui est censé s’y trouvait.
Gunard ouvre alors le coffre. Une faible lumière luit : l’ambre, des parchemins et de l’argent. Au moment où Gunard ouvre le coffre, une sorte d’aspiration d’air, comme si le coffre était libéré de quelque chose.
Dans le charriot, Edegilon transperce alors Finaël qui tombe dans les pommes. Puis il tente d’attaquer Gunard, qui vient de recevoir des gouttes de sang de Finaël. Toutefois Gunard, plus rapide, assomme Edegilon, écrasé dans le coffre.
Les soldats commencent à être possédés. Eodrec sonne le cor. Finaël est réveillé par Arlan. Gunard tente de fermer le coffre mais il est empêché par l’air. Il sollicite l’aide d’Eodrec. Ils sont soudainement frappés par une grosse migraine. Finaël, de nouveau, marque le coup. Arlan tente alors d’attaquer Gunard, qui pare le premier coup en laissant un bras sur le coffre. Eodrec tente de mettre au sol Arlan qui l’éjecte : repoussé dans la poussière.
Arlan assène un coup à Gunard. Heureusement, la dague ripe sur l’armure et Gunard donne un grand coup dans le torse d’Arlan, qui s’écrase à l’autre bout du charriot.
Naërya s’apprête à aller dans le charriot mais elle est stoppée par Eodrec.
Gunard parvient à fermer le coffre et sort les assommés ainsi que l’elfe blessé. Aprivué arrive, en se tenant le côté du ventre (celui même où l’épée à transpercer Finaël. Même blessure, ils sont liés comme s’ils ne formaient désormais plus qu’un).
Cithric et le sergent tentent de mettre de l’ordre chez les soldats. Tous étaient obnubilés par les anneaux.
Surgissent alors des flèches sifflantes. Eodrec remet un coup de cor pour sortir les soldats de leurs torpeurs. Finaël sort la plume (pour appeler à l’aide, plume donnée par la shaman).
Une cinquantaine de loups, wargs arrivent d’ici dix minutes.
Arlan prend le commandement des opérations. Il nous fait remonter un peu plus dans la colline. Il propose une ligne de boucliers, des arbalétriers en position. Aprivué rejoint Finaël dans le charriot pour l’aider avec la plume.
Les blessés devront tenir les boucliers, d’autres rechargeront les arbalètes des arbalétriers. Des hommes seront positionnés sur le charriot, un sera placé derrière la tourelle. Le charriot sera positionné de travers afin de bloquer le passage. Edegilon sera en place sur le charriot.
Le convoi est en train de se positionner lorsque les wargs arrivent. Tous les hommes sont arrivés en haut de la colline. Le charriot arrive dans le dernier virage. Arlan fait un discours pour galvaniser les troupes « Pour Theid mor ». Eodrec, depuis son cheval, fait quelques tirs : il abat des cavaliers, il ralentit un peu les wargs. Il en combat quelques-uns à l’épée et avec sa lance afin de laisser le temps au charriot de prendre place.
Arrivé à hauteur, les arbalétriers arrosent les wargs au niveau des boucliers. Eodrec passe par-dessus les boucliers. La tourelle se met en route et saupoudre. Une grosse masse de cavaliers arrivent. La tourelle fait beaucoup de dégâts. Beaucoup sont fauchés, d’autres s’écrasent sur le charriot. Quelques orcs sautent sur les toits. Les wargs attaquent les boucliers. Ils sont stoppés, mais les boucliers vont céder d’ici peu. Les arbalétriers ont déjà nettoyé une grosse dizaine d’orcs. Gunard saute sur le côté pour limiter la brèche. Finaël ordonne d’ouvrir le coffre et de séparer l’ambre et l’argent. Il faut nettoyer l’ambre.
Les wargs montent de partout. Edegilon et Cithric, depuis le haut du charriot, tranchent quelques orcs. Seuls deux boucliers restent valides.
Eodrec continue de tirer à l’arc. Deux loups sont tués. Gunard ouvre le coffre. Finaël tente de saisir l’ambre qui réagit. Aprivué donne un petit coup et l’ambre parvient entre les mains de Finaël. Gunard referme le coffre.
Eodrec dégage la pente.
Edegilon prend un coup de poignard qui lui transperce la jambe et répond en transperçant la poitrine de son assaillant.
Arlan tient la position.
Finaël et Aprivué sortent alors du charriot. Du côté d’Arlan, une quinzaine d’ennemis va arriver. Arlan recul vers le charriot. Eodrec tente de réveiller Finaël et le monte en croupe avec Aprivué sur son cheval.
Gunard use du bec de corbin et écrase le crâne d’un warg. Les os craquent.
Les cavaliers rebasculent à l’arrière. A gauche, les boucliers tiennent. Arlan tente de rejoindre le charriot. Finaël, parti dans la mauvaise direction, est éloigné d’un point d’eau : à un kilomètre en aval. Eodrec donne un ordre à son cheval (monté par les deux elfes).
Gunard use du bouclier. Du côté d’Arlan, ça commence à céder.
Aprivué refuse de porter l’ambre. Finaël tente d’appeler l’eau de la gourde : une légère brume. Gunard fracasse un loup.
Edegilon est blessé à la deuxième jambe et transperce le crâne de l’orc. Eodrec, également touché, ouvert sur le côté, parvient à trancher l’échine de son adversaire.
Naërya avec le cheval d’Eodrec, prend en croupe Finaël et Aprivué et fonce sur Gunard, qui poursuit la boucherie.
Le cheval saute au-dessus de Gunard, descend la pente. Finaël canarde avec son arc. Un loup mord alors l’armure de Gunard. Le cheval s’engouffre. Finaël tire. Des miroitements se font voir devant lui. 6-7 wargs les prennent en chasse.
Edegilon, accrocher à la mitraillette, poursuit également les combats et tue encore.
Finaël arrive alors à l’eau. Il plonge sa main avec l’ambre dans l’eau. Aprivué murmure « la pierre ». Finaël la saisit de la deuxième main.
Un mouvement de panique se saisit des loups et des orcs, totalement déstabilisés. L’ambre frémit. La pierre fait comme des décharges autour de l’ambre. L’ambre s’enfonce peu à peu. Finaël la lâche. Les orcs fuient et se débandent en tous sens.
Quelques survivants. Finaël et Naërya reviennent.
Deux soldats demeurent valides, trois sont blessés dont le sergent. Cithric est également bléssé.
Mer 29 Déc 2021 - 18:15
Il me semblait que Naëria était parti uniquement avec Fina…
