Gunard et Eodrec se rendent à la banque HSB. Il s’agit d’une énorme bâtisse, installé sur l’île centrale.
Ils entrent. Ils sont rapidement interpellés afin de savoir s’ils avaient rendez-vous. Eodrec rétorque en répondant par la négative mais en précisant qu’ils avaient les moyens de faire sortir Joren Van Berg. Ils sont invités à patienter, puis amener dans une énorme pièce. Ils sont invités à s’asseoir. Ils refusent en rappelant que « le temps presse ». Ils échangent alors avec Tyche Nestoris. La salle, au niveau acoustique, permet d’éviter d’être entendu. Nestoris reconnait Gunard comme ayant été chargé de ramener l’argent de Teid Mor. Les Tisseurs affirment en effet, venir de Teid Mor et avoir rencontré Joren Van Berg à ce moment-là. Ils évoquent également l’attaque chez le courtier Swingen et parlent du livre de compte. Ils évoquent la potentialité d’un concurrent qui tenterai d’assassiner des associés proches, ou tout au moins, de les mouiller dans des affaires. Il n’y a pas de remboursement de prêts en ce moment, peut-être des éléments en perte de vitesse. Ils évoquent ensuite le livre. Gunard le pose sur la table, devant le banquier. Le livre n’appartient pas au concurrent auquel le banquier s’attendait. Il demande à l’observer, le regarde puis le feuillette pendant près de 10min. Il le repose ensuite. Ce livre pourrait être une solution qu’il n’avait pas envisagée : il est dangereux et convoité. Malheureusement, il ne dispose pas de la clé de lecture. Ce livre évoque une copie de transactions via Swingen pour Nala Dung. Il s’agit de rachats et de placements qui se font à termes et sont liés. Pour faire simple, cette banque, sur des fonds qu’il ignore, à fait des achats sur le marché avec de très fortes spéculations, avec donc des promesses de gains permettant des rachats importants. C’est un réel montage financier.
Cela peut-être des spéculations sur le blé ou sur le métal. Selon le banquier, plus probable sur le blé, qui est quelque chose de rare, alors que l’argent circule facilement.
La clé prend la forme d’un cahier. Logiquement, la banque possède le cahier. Le propriétaire actuel de cette banque est un nain. Donc probablement que ce cahier se situe dans un coffre, dans le bureau du propriétaire, car l’usage de ce cahier est régulier.
Eldorian est l’administrateur de la banque d’argent. 1 nain en est le propriétaire : Holbricht. Se pose la question d’éventuelles accointances entre la banque d’argent et Nala Dung ?
Le cahier est récent. Le banquier affirme qu’il n’y a eu aucune transaction entre Nala Dung et la HSB. Il n’aime pas ne pas savoir d’où proviennent les fonds. La HSB n’a d’ailleurs pas non plus de transactions avec la Banque d’argent qui, elle, cherche pourtant à en faire. En effet, la banque d’argent a proposé de racheter la HSB.
Les Tisseurs demandent alors ensuite, si la HSB, prête de l’argent à un grand, qui doit bientôt arriver en ville ? Le banquier répond par la négative, mais précise que la HSB prête à quelqu’un qui est au-dessus. Ils ne prêtent pas au roi, mais à quelqu’un, qui empreinte des sommes extrêmement imposantes, qui pourrait conduire, à faire de ce paysage, un vaste champ de sang.
Ils évoquent ensuite la carte « reconnaissance de dettes », signé Eldorian, mais payable au porteur.
Les deux compagnons quittent la HSB, par derrière, et se dirigent alors vers Nala Dung. Le bâtiment ressemble à une tour, au fond de la rue avec en bas un bâtiment en longueur, un peu comme une église fortifiée. Le bâtiment est très peu nain. Il s’agit de récupération. Une double porte est gardée par des guerriers nains. Les deux compagnons frappent à la porte en ne laissant entrevoir que le dessin/logo sur la carte de reconnaissance de dettes. Les nains les laissent entrer. L’ambiance est très minérale. Après le hall, une porte métallique, solide (plus que les murs qui la tient). Un homme s’approche d’eux. S’ils souhaitent obtenir le retrait, ils devront s’entretenir avec lui puis ils seront dirigés vers la porte adéquate. Il n’y a pas d’urgence, peut-être en retrait en plusieurs fois. Eodrec feint de ne faire que transmettre des informations pour son patron. Il cherche à s’assurer de la fiabilité de ce retrait. Ils repartent ensuite.
Finaël et Arlan, pendant ce temps, se rendent à la résidence de Dol Tinarë et de Findulas. Finaël sera chargé de vérifier si les bannières sont levées, devant chacune des deux résidences.
Ils traversent les rues pavées, des portiques… Ils arrivent dans le quartier le plus noble, sur la rive droite, le long de la rivière. Plusieurs grandes résidences nobiliaires, des hôtels particuliers… Les rues s’élargissent avec désormais la possibilité de faire passer des charriots. Ils arrivent alors devant l’hôtel de Dol Tinarë. Devant : une grande porte hermétique avec un drapeau dessus. D’ailleurs un grincement retentit. La double porte s’ouvre. Un carrosse en sort. Un mendiant passe devant. Le cochet marque un temps d’arrêt. Un soldat, à pied, à côté du carrosse. Arlan tente de contourner le charriot et d’écarter discrètement les rideaux. Il y aperçoit deux femmes, mais qu’il ne connaît pas. Il en profite également pour jeter un coup d’œil dans la cour : des soldats en relâche. Il repasse ensuite après pour retrouver son ami elfe. Le charriot tourne à l’angle de la rue et des bruits de craquements et des cris retentissent. Arlan et Finaël se précipitent vers le charriot. Ils arrivent à l’angle, aperçoivent le carrosse au milieu, le soldat gisant au sol avec des flèches dans le torse. 3 hommes, encapuchonnés, sur le charriot. Arlan dégaine Cundiel, longe le charriot.
Un des hommes s’apprêtent à ouvrir la porte du carrosse, à l’aide de son glaive. Arlan saisit la porte et le fait basculer. L’homme est sonné. Il porte des tatouages au coup. Arlan lance sa dague à travers la fenêtre, l’homme derrière, tombe à la renverse.
Finaël, par une pirouette, parvient à renverser, un des hommes qui était dessus. Le cocher est déséquilibré. Un des soldats combat face à un des encapuchonnés. Finaêl retombe à côté d’Arlan mais son manteau est transpercé par une flèche. Arlan, sort de l’autre côté et tombe nez à nez avec un assaillant armé d’une hâche. Il esquive. Fina passe entre les chevaux et la porte, saute sur la cornière pour porter un coup de pied dans la tempe de l’assaillant. Il retombe, de tout son poids, sur son l’homme qui a l’épaule déboîtée. Arlan traverse son adversaire avec Cundiel. Un tireur est au balcon du deuxième étage. Un dernier assaillant arrive. Finaël plonge en avant sur lui, une flèche passe à côté. Toutefois l’assaillant parvient à le parer et tente de le trancher. Fina esquive par une galipette.
Le dernier se rue sur Arlan, et l’attaque directe. Arlan esquive, frappe et parvient à lui trancher le flanc arrière. Fina renverse son assaillant et roule. Une flèche est encore tirée à côté. L’homme au balcon, vient de disparaître.
Arlan s’adresse aux femmes. Le cocher est vivant, un soldat blessé. Il demande à déplacer le charriot. Une des femmes semble calme et protège la plus jeune, qui est plus apeurée. Arlan propose d’aller chercher des gardes à la résidence Dol Tinarë, ce à quoi, la femme le coupe par un « chez moi ». Il s’agit de la femme de Dol Tinarë. Arlan va à la résidence, demande 3 hommes pour escorter les femmes. Arlan demande à Finalël de rentrer dans le charriot pour ainsi « être discret » jusqu’à la résidence. Les portes sont fermées, le carrosse arrive dans la cour. Ils pénètrent ensuite dans la résidence : une demeure somptueuse. Tous les quatre se rassemblent dans une pièce avec deux gardes devant la porte. Toute la résidence est fermée, et il n’y a personne au-dessus. Les Tisseurs enlèvent alors leurs capuches. Les dames se sentent redevables. Arlan rappelle qu’ils ont été camarades de combat de Dol Tinarë. Laërya Dol Tinarë se présente, suivi d’Arlan et de Fina. Laërya a entendu parler d’eux, elle sait qu’ils sont passés de héros à bannis. Arlan le justifie par le fait d’actions préalables qui ont remué. Laërya présente alors Eyderra, sa fille.
Ils évoquent un complot politico-financier : deux nouvelles banques à Tarbad qui tentent de mettre à genoux la HSB. Ils tentent de déstabiliser les nains de la Moria. La police spéciale du Cardolan est au service d’autres intérêts : le prince d’Umbar. Ils évoquent également la construction, récente, d’une grande tour (la même que sa famille devait utiliser pour l’usage de la pierre d’appel) et Arlan précise que sa sœur et le diadème seraient présents dans la ville. Récemment, un guerrier imbattable qui transporte une dague forgée sur Numénor (dague scrificielle) est également dans la ville. Le sir De Trèville a été discredité. Kendrick, le chef des dunéens, a également été discrédité. Le roi arrive prochainement (un prochain relatif) pour annoncer le mariage avec la princesse du Gondor.
L’homme qui dirige les chasseurs du roi se nomme Ir tac Artéone. Il est à la tête des opérations de discréditation de De Tréville puis à la tête de l’attaque de Swingen. De Tréville a été remplacé par un homme mais qui ne les apprécie pas. Il y a également un archer dans la ville qui souhaite d’assassiner le roi. Enfin, l’équilibre a été créé à Teid Mor.
Laërya répond alors que son mari n’est pas dans la ville. Ils simulent sa présence. Toutefois les dunéens ont une recrudescence guerrière, notamment dans son fief : des incursions provenant du Rûdor. Le seigneur d’Arlan est parti en guerre. Le Nord et le Sud ne sont pas sécurisés. Son mari est parti maintenir la frontière Ouest, pour éviter que les routes ne soient coupées. Les Dunéains sont passés par le Sud. Ils se sentent très forts et profitent des faiblesses du Cardolan.
Elle signale des choses curieuses et donc des difficultés à ériger la statue à l’effigie du roi. Arlan est inquiet sur la présence du pentacle.
Eyderra a étudié l’histoire de Numénor, et il pourrait être intéressant d’échanger avec elle prochainement.
Ils évoquent ensuite le bal du soir. Il y aura des rencontres avec Findulas. Le dernier bal dans la ville avait fini en attaque. Laërya rappelle qu’il s’agit d’un opéra ce soir, pas d’un bal.
Arlan propose de l’escorter mais la sécurité sera extrêmement relevée et il risque d’être compromis. Ils proposent d’échanger par lettres dans la boîte dont dispose les Tisseurs. Il demande également à Laërya d’échanger avec sa sœur, pour lui transmettre un courrier « A ces moments partagés. Prend garde à toi… ».
Laërya se sent réconfortée dans son souhait de poursuivre le combat et propose le refuge aux Tisseurs. Elle propose également de les faire rentrer à l’opéra ce soir. Elles les saluent. Ils quittent alors les lieux, par derrière. Ils échangent des mots en elfique. Elles répondent. Ils retournent ensuite au campement.
Un point est ensuite fait au campement. Pyrlig rappel que parmi les conjurés (à l’hôtel des ambassadeurs) étaient présents : Van der Claas (général de l’armée du Cardolan), Atherlred ir dol Girtihlin, un seigneur de l’Artedainau tire d’Ir Eketa, Eldoras Ir Foros (seigneur artedain) et Karl Ir Vorsof (seigneur du Rûdor). Réunir autant de personnes censées être opposées, dans une même pièce, est plutôt improbable. Les discussions étaient d’ailleurs plutôt tendues.
Deux hommes armés entrent alors dans le campement : épées, bottes crottées. Ils sont heureux de revoir les Tisseurs. Ils évoquent le fait que la guerre a déjà commencé. Il y a deux semaines, il y a eu un flottement chez les dunéens, comme s’ils avaient perdu un chef. Des dissensions très fortes sont apparues et deux groupes distincts se sont créés. Un des leaders, à un passé dangereux, les cheveux teints de sang, accompagné par une sorcière. Les Dunéens ont mené l’assaut au Sud. Un autre dunéen à tenter de les fédérer tous. Il y a des agitations en plein Rhûdor. Un certain Elaïth s’est proclamé roi, et devait épouser une puissante héritière mais sa légitimité a été remise en cause. Les dunéens en ont profité.
Les hommes informent également d’une mauvaise nouvelle maritime puisque les vaisseaux d’Umbar se croisent à l’embouchure. Le commerce va donc rapidement être bloqué. Le risque de manquer de pain va donc s’accentuer. Il y a longtemps que n’avaient pas été aperçu les voiles noires. Le seigneur d’Umbar est en ville. S’il décide de bloquer la route maritime, des émeutes éclateront.
Les Tisseurs reviennent ensuite sur la banque : ancienne résidence. Ils souhaitent obtenir les plans afin de réfléchir à un éventuel braquage durant la nuit. Certains seront à l’opéra, d’autres s’occuperont de la banque. L’ancien propriétaire de cette résidence se nomme Durlic. Il aurait vendu car c’était trop grand et qu’il avait des dettes envers la banque.
Les tâches sont donc réparties ainsi : Eodrec cherchera des informations concernant l’opéra (le spectacle, les invités présents, les troupes…). Arlan examinera les alentours de l’opéra afin de faire un repérage. Gunard et Finaël iront rendre visite à Durlic.
Gunard et Finaël toque chez Durlic. Ils demandent à le voir. Il arrive, les accueille. Il est surpris mais apprécie une telle visite. Il évoque le rachat de sa demeure par la banque du filon vide. Il possède les plans et va les chercher. Il précise que quelques modifications ont été apportées depuis. La Tour est plus solide. Le bureau est situé au milieu de celle-ci. La pièce a été refaite. Elle ne possède aucune fenêtre. Il y a une grosse porte qui y mène, avec des murs épais. La porte qui donne accès à la cour est la plus sécurisée. L’entrée est possible seulement depuis le bâtiment ou par en haut (la bouche d’aération / puit de lumière) mais avec plus de 6mètres de hauteur à redescendre. Les Tisseurs sont autorisés à garder les plans.
Pirgil propose à Eodrec de se rendre dans une taverne, devant l’opéra. Il se renseigne sur les troupes, sur la pièce qui est donnée, se fait chanter quelques airs célèbres. La troupe est imposante avec une unique représentation. Tout le gratin sera présent. Dans les loges, les seigneurs que ce soit jardins, cours ou avant-scène en fonction des grades de chacun.
Arlan observe aux alentours. Il y a beaucoup de services de sécurité, de méfiance : chaque service de sécurité se méfiant de l’autre. Arlan tente d’imaginer des issues possibles (que ce soit par les rues, les bouches d’égout…). Il y a plusieurs entrées : pour les artistes, les serviteurs… Des soldats guettent devant chaque entrée, mais également sur les toits… Il suppose que le mieux pour commettre un attentat serait de tirer avant d’entrée, à la descente du carrosse.
Eodrec aperçoit Arlan, le suit puis le bouscule de l’épaule. Arlan le reconnait est décide de le suivre. Eodrec lui annonce la présence de Findulas, et qu’il est en danger ce soir. Puis Eodrec bifurque. Arlan se dirige vers la résidence de Dol Tinarë.
Arlan demande à voir dame dol Tinarë. Il lui fait part de l’attentat planifié sur Findulas. Il demande à ce que Findulas ne se rende pas à l’opéra ce soir. Laërya lui rappelle que Findulas refusera de ne pas venir. Arlan va donc s’infiltrer dans la soirée, aux bras de sa fille. Il fait envoyer un message pour Findulas.
Edegilon cherche dans son livre de chimie une recette pour dissoudre la pierre ou l’acier (afin de se débarrasser de la grille en haut de la tour de la banque). Il récupère la liste nécessaire pour créer le nécessaire. La formule est puissante. Il sera assisté par Gunard.
Finaël rejoint Eodrec. Ils se postent en hauteur. Ils cherchent un éventuel tireur embusqué. Finalement Eodrec lui rechante l’air. Fina tente de le mémoriser. Fina va se faire passer pour la doublure de la chanteuse. Eodrec tentera de faire passer l’arc et le carquois. Il y a 1 garde d’or et 1 agent. Ils rigolent. Finaël tente de les convaincre et lorsqu’il se met à chanter, le doute n’est plus permis. Les gardes sont scotchés et le laissent passer. Eodrec va profiter des personnes responsables de faire rentrer le matériel pour tenter de faire rentrer l’arc et le carquois depuis les différentes carioles. Eodrec utilise sa cape pour dissimuler le carquois.
Edegilon et Gunard rejoignent ensuite Eodrec. Gunard se fera passer pour un machiniste. Arlan arrive à bord de son carrosse. Il sort, fait descendre et passer les femmes, puis pénètre dans l’opéra. Il sait que sir Ekatala sera présent. Il le cherche d’ailleurs du regard. Il est conduit à sa loge. Il n’y a pas de gardes à l’intérieur.
Eyderra semble plutôt heureuse d’être présente.
Gunard s’introduit comme machiniste. Il est attendu à la technique.
Arlan entend des éclats de voix « attitude lamentable, moins que rien, indigne de diriger ». Un homme interpelle un autre. Celui qui se fait houspiller n’est pas très imposant. Il est entouré par pas mal de monde : c’est le canotar. Il est traité de « traitre ». Findulas Ir Dol Calantir est en train de le rabaisser. Un cercle s’est formé autour. Le canotar bat en retraite. Une petite clochette retentit alors pour indiquer le début de l’opéra. Arlans e dirige vers Findulas, le fixe et lui lance un « vous avez été mis au courant ? ».
Eyderra explique l’opéra à Arlan. Les personnes apparaissent progressivement dans les loges. Quand Findulas se présente, la foule applaudit.
Eodrec tente enfin de faire rentrer Edegilon et lui-même en simulant un alcoolisme. Edegilon parvient ainsi à pénétrer l’opéra.
Un homme s’avance dans la loge. Il salue les gens. Il fustige la déliquescence du monde… Il s’agit du général Klaas. Il évoque les ordres religieux, les difficultés économiques, le fait que rien ne soit stable… Il rappelle que nous avons besoin d’espoirs. Puis se retire.
Un homme se présente, cette fois-ci, au balcon. La scène devient extraordinaire. Il y a une sorte de vague. Les gens se lèvent et commencent une ovation exceptionnelle. Arlan est également pris dans cette liesse de folie. Gunard également. La chaleur envahit Arlan.
Finaël compte une petite dizaine de personnes seulement, qui n’applaudissent pas, sur près de 500 personnes présentes. Parmi cette petite dizaine, Findulas tente d’empêcher son voisin de faire pareil. La foule est hystérique.
Finaël retrouve son arc et son carquois et tente de trouver la place idéale.
L’homme dit alors « Bientôt » et disparaît dans l’ombre de la loge.
Eodrec demande s’il et possible d’obtenir un autographe.
Edegilon découvre ce type de lieu.
Finaël aperçoit enfin Gunard.
Dame dol Tinarë explique que l’homme qui a envoûté la foule semble être quelqu’un de disparu depuis longtemps. Probablement Visiris Gilma-khâd.
Eyderra précise qu’il apaprtient à la lignée de Tar palentir, un des rois qui a le plus soutenu les fidèles, les elfes. Ce sont les frères et sœur de Tal palentir qui ont traqué les Valar.
Eodrec prend la place d’un serviteur de Dol Calentir.
Arlan aperçoit dans une loge à proximité, un jeune homme qui sourit à Eyderra. Celle-ci le présente : il s’agit du prince Dol Githilin. Ce jeune homme espère beaucoup.
La plupart des gens observent l’opéra, regarde aussi ce qui se passe dans les autres loges.
Gunard aperçoit un nain, dans une des loges avec des symboles des étoiles de Durin, donc un nain de kazakhdûm.
Eodrec et Arlan aperçoivent Eldorian, mais aussi Karl ir Vorsov.
Dans la loge principale, celle de Visiris : Naërya.
A l’entracte, les gens sortent dans le couloir. Arlan propose d’accompagner Eyderra pour un rafraichissement. Dans le couloir, à quelques pas, Dol Gilithin s’avance vers Arlan et demande à être présenté. Arlan prétend être un cousin du nom d’Ir Arafan. Dol Gilithin prend Eyderra par le bras et avance.
Eodrec cherche à servir son « clan » : Findulas est à peu à part, avec le regard méprisant.
Gunard vérifie les mouvements dans les loges. La loge principale n’est pas vide, des personnes sont assis au fond. Il y a également du mouvement en coulisse.
Eketta est à l’écart. Arlan se rapproche avec le collier que ce dernier lui avait donné par le passé. « On se connaît ? » Les deux se prennent dans les bras. Eketta semble ravi. Il pose des questions sur l’homme qui a été applaudi. Ils ne savent par qui il a été invité. Il demande un verre à un des serviteurs qui passe et incite Arlan à boire. Cela lui décalque le cerveau puis lui permet de retrouver les idées claires.
Arlan, après quelques échanges, va présenter Eketta à Eyderra et tente d’éloigner dol Githilin. Athelred déteste désormais Arlan.
Eodrec apporte un verre à Findulas et rappelle qu’ils ont été « compagnon lors de la batille d’Ost in endil ». Il sourit et ajoute « An Vari a bien travaillé, vous êtes tous là ».
Edegilon se costume et fouille les males pour vérifier la présence d’éventuelles armes.
L’opéra va reprendre. Ça bouge dans les hauteurs des coulisses. Des hommes se préparent. Dans la grande salle, d’autres personnes en haut, au-dessus des loges. Au moins deux hommes de chaque côté.
Vers Eodrec, deux hommes arrivent avec un plateau livré de la ville.
Gunard va vers la gauche, Finaël vers la droite. Un des hommes se met alors à braquer vers la salle, suivi immédiatement par un autre homme en dessous.
Eodrec écroule un des deux serviteurs, l’autre dégage son bras, puis Eodrec le blesse avec son poignard, planté dans le sternum.
Finaël s’occupe de l’homme qui s’avance vers lui, sur la passerelle. Gunard balance son maillon vers le deuxième homme. Finaël tire une flèche.
Arlan voit Findulas pivoter, prendre un coup, mais pas dans le sens du carreau.
Eodrec entend des cris et des bruits dans la loge.
D’autres hommes armés sont repérés. Finaël semble avoir vu une femme, en robe de soirée dans les décors. Gunard, se charge d’un autre assaillant sur un autre pont.
Edegilon voit alors une porte s’ouvrit. Un type très grand, très maigre, pénètre dans les coulisses, avec le visage décharné.
Il décide alors de taper très fort dans du métal avec un objet de manière à faire retentir comme une explosion, balance un fumigène et crie « au feu ».
Arlan court vers Findulas. Il rentre dans la loge d’Eketta en défonçant la porte. Fina vise un autre homme. Gunard combat e corps à corps et fait basculer un de ses assaillants.
Eodrec brise les lampes de la loge et fournit une épée.
Arlan est contraint d’esquiver un coup porté par Eketta, puis lui ordonne de sortir.
La pagaille s’installe.
L’homme décharné tente de grimper.
Eodrec garde la porte de la loge, depuis l’extérieur. Deux hommes avec des épées arrivent.
Gunard bondit sur une passerelle inférieure. Le décharné arrive à hauteur de Fina qui lui balance deux flèches dans la tête. L’homme tombe alors plus bas.
Arlan tente de rejoindre Dol Tinarë, deux hommes prennent également cette direction.
L’avancée des Tisseurs est gênée par la foule fuyant l’opéra.
Edegilon tente de ralentir l’homme décharné en lui balançant un des charriots. Toutefois, celui-ci se relève et s’apprête à faire tomber la passerelle.
Finaël vise les métacarpes du décharné, son épée tombe au sol. Il marque un temps d’arrêt, puis saisit l’épée de l’autre main.
Arlan entre dans la loge, un asssaillant maintien une épée sous la gorge de la fille et ordonne à Arlan de jeter les armes. Celui-ci s’exécute mais balance la dague en plein visage puis lui porte un coup de manière à le faire basculer.
La garde d’or et des gardes en noirs arrivent.
Fina descend la passerelle. Des gardes arrivent sur Eodrec, rejoint par Eketta. Il prend une cape pour dissimuler Findulas et ils tentent de l’évacuer.
Arlan sort avec les filles dol Tinarë.
Eodrec parie sur l’autorité de Findulas pour pouvoir évacuer les lieux.
Edegilon tente de sortir avec les artistes. Toutefois, à peine sorti, il est saisi, plaqué contre le mur, comme tous les autres artistes.
Arlan sort, Eodrec également.
Le décharné poursuit Finaël. Il est fixé dessus. Fia et Gunard foncent vers la garde d’or. Ils feignent d’être paniqués et sortent en débandade. Eodrec se trouve autour d’hommes en noir, dont un grand qui arrive dessus. Eodrec passe son bras, il vient de recevoir un coup de poignard. Il saigne et s’écroule. L’homme s’avance alors vers Findulas. Arlan balance Cundiel qui rougeoit. Il s’abaisse et l’évite. L’homme se retourna alors vers Arlan qui reçoit un poignard, qu’il saisit aussitôt pour lui renvoyer. Cet homme est très rapide, très souple. Arlan fonce sur lui. Un corps à corps commence juste avant que l’homme n’atteigne Findulas. Arlan souhaite écraser la flamme de vie de cet individu, toutefois c’est impossible : quelque chose de tout prêt et beaucoup trop puissant annihile ce qu’il veut faire.
Gunard er Finaël se dirigent vers l’entrée principale.
Edegilon a été libéré lors de la cohue (au moment où le décharné est sorti). Ils arrivent vers les marches, ils repèrent les filles et au sol : Arlan et Eodrec. Gunard fait les premiers soins : un super garrot sur Eodrec pour stopper l’hémorragie. Quelques gardes noirs se rassemblent. Eketta essaie de pousser à mettre les deux femmes et les deux blessés dans le charriot.
Finaêl et Gunard rentrent à pied. Findulas est évacué dans son carrosse avec Eketta.
Les retrouvailles se feront à la résidence des Dol Tinarë.
Finaël se sent très mal après avoir pris Arlan dans les bras.
Mer 15 Mar 2023 - 13:33
