Bonjour à tous,
Voici comme la tradition le veut mon résumé de la soirée. N'hésitez pas à compléter/corriger... Il y a quelques confusions surement sur deux trois points (notamment une Katnys ou Kathlyn ?)
Le pain des Hommes 4 (22 février 2019)
Pendant la sortie des Tisseurs, Edegilon s’interroge sur le fait de se couper ou non les cheveux. Il a également un entretien avec Danton au sujet de la bibliothèque. Il profite également de ce temps pour observer du regard un peu les objets de ses compagnons mais sans rien déceler de particulier.
Il s’offre également une sortie nocturne où il tombe sur deux enfants en train de se faire capturer par des hommes du guet qui les accusent ‘être des « voleurs » et n’hésitent pas à taper l’un d’entre eux. Edegilon essaye alors de les affronter avant finalement d’être contraint à prendre la fuite.
Eodrec de son côté repart du Poney Fringant à cheval après avoir appris que le boulanger et Caminet (alors masqué) s’était disputé à la sortie de l’hôtel du lapin, peu avant le décès du boulanger. Le boulanger avait reçu l’aide d’un homme avec une sorte de foulard sur le nez.
Il est 1h du mat, les Tisseurs se retrouvent tous au Poney Fringant pour un débrief de leur soirée. Arlan nous montre une marque de seau (une main en argent) qu’il a récupéré lors de son combat dans les alcôves de l’Hôtel du lapin. Un seau qui symbolise l’appartenance à une guilde. Edegilon en a déjà vu. Eodrec aussi avant son passage à Fondcombe.
La nuit passe. Les Tisseurs questionnent le tavernier sur cette guilde. On y apprend qu’ils font des affaires entre eux. (???)
Le chef de la guilde des boulangers était Morbut. Il n’y a pas de boulanger au Conseil.
Edegilon demande à Danton s’il peut se renseigner sur la signification d’un symbole rûne qu’il a dessiné préalablement.
Nous décidons d’aller voir le lieutenant afin de savoir s’il a bien était informé de l’attaque du convoi prévu pour cet après-midi.
A notre sortie, nous apercevons un mendiant, l’air louche qui n’était pas ici jusqu’alors. Puis nous comprenons que nous sommes suivis par un homme qui semble être un livreur avec un panier. Nous feignons d’être perdus pour interpeller le livreur. Après cet échange il rejoint la foule qui semble agitée. Cette foule souhaite rejoindre la boulangerie de Caravel. Eodrec se joint à la foule et tente de comprendre ce qu’il se passe. Dans cette foule, une dizaine de personnes marquent un temps d’arrêt et se focalisent sur Gunard en le pointant et l’accablant d’être « un accapareur plein de poil », « voleur ». Une cinquantaine de personnes se dirigent alors vers Gunard. Gunard, Arlan et Edegilon se réfugient alors dans une maison et se cachent dans une cave. La foule traverse la maison en pensant nous poursuivre. Pendant ce temps le pseudo livreur qui suivait les Tisseurs se fait tabasser (par la faute de l'Eothrem) par une dizaine de personnes. Eodrec tente de les calmer et demande d’apporter des seaux d’eau afin de questionner l’homme. Cette ruse lui permet de bénéficier d’un peu de temps pour questionner l’homme. Aux retour des seaux d’eau, Eodrec lui en jette quelques-uns puis feint de le tuer en lui serrant la carotide.
C’est à ce moment-là que le guet débarque. Il y a pas mal d’animation. Eodrec arrive, comme à son habitude, à se sortir de cette situation par la ruse (il s’était « caché » dans l’embrasure d’une porte puis avait feint d’être un « étranger » qui était surpris par cette foule et étonné de cette ville).
Le « livreur » travaille pour Alwin, un loueur de chevaux. Il devait simplement communiquer les déplacements du groupe. Alwin est trouvable aux écuries. (???)
Les Tisseurs arrivent enfin au poste de guet. C’est agité. A priori le lieutenant n’a pas eu vent de l’attaque du convoi. Le lieutenant demande alors à voir le sergent Sergoin qui était de garde hier soir. Il n’est pas là ce matin. Il y a de nombreuses émeutes un peu partout en ville, ce qui explique l’agitation de la garnison.
Arlan profite pour l'interroger sur le sceau. Représente la guilde de la main d’argent, une guilde officielle qui a des ramifications partout. Il y aurait un lien particulier avec les mines.
Nous demandons à voir la personne que Gunard a croisé la veille. Elle est bien en prison mais a été tuée. L’homme a été fouillé par des gens peu précautionneux mais avides.
Nous demandons également l’adresse du sergent Sergoin.
Nous demandons à Soaig de demander des renforts dans le camp des réfugiés afin de gérer l’attaque du convoi. Nous décidons d’y aller à cheval (un pour Eodrec et Gunard, un pour Arlan et un pour Edegilon). Arlan semble peu à l’aise mais ne s’en sort pas trop mal. Edegilon quant à lui est incapable de diriger le cheval. Nous prenons la direction de Tarbad, empruntant la forêt en direction du convoi. Nous avançons trop lentement. Gunard préfère descendre et courir, il est en de même pour Edegilon. Arlan et Eodrec, au galop, prennent de l’avance et préparent le bivouac. Edegilon et Gunard les rejoignent. Arlan décide d’utiliser l’elfique pour parler au cheval d’Edegilon. Nous pouvons alors repartir tous au galop et prendre un rythme plus soutenu.
Nous entendons alors un bruit de bataille.
Nous apercevons six charriots. Ces charriots sont en ligne et donc pas en position de défense. Ils sont criblés de flèches. De chaque côté des archers qui canardent et tout autour des chariots, des assaillants. Une soixantaine de personnes dont une vingtaine au centre. Ils sont à 150m et Sesphora est bien présente. Il y a des combattants avisés mais aussi des femmes et des enfants. Sesphora ne semble pas orchestrer l’ensemble.
Les Tisseurs choisissent la stratégie suivante : Arlan et Edegilon partent à gauche se débarrassent des archers puis Arlan rejoindra le centre de la bataille pendant qu’Edegilon terminera la ligne des archers. A droite, même chose pour Eodrec et Gunard. Arlan et Eodrec iront à cheval. Gunard et Edegilon à pied.
La bataille s’engage alors. Arlan se débarrasse progressivement des archers (ligne de 8 archers) tout comme Eodrec. Gunard se dirige finalement vers le centre. Edegilon court toujours en direction des archers mais en retard sur le chemin déblayé par Arlan. Arlan est alors visé par le dernier archer qui semble être plus redoutable que les autres. Edegilon se questionne et décide de rejoindre le centre. Une partie des assaillants commencent à piller les charriots. Il reste cinq défenseurs des charriots au centre. Autour une vingtaine de personnes. Une trentaine de personnes tentent de fuir avec des sacs et tentent de faire reculer les charriots. Sesphora subit des coups de la part d’un des assaillants et d’ailleurs certains de ces assaillants se tournent les uns contre les autres. Gunard se concentre sur Sesphora et celui qui l’a mis à terre.
Arlan termine son dernier archer. Edegilon saute sur un des charriots qui tentait de fuir et combat à partir de celui-ci. Eodrec toujours à cheval tente également de retenir les chariots. Il arrive à stopper les deux charriots qui partaient devant.
Arrivent alors nos renforts venus du camp des réfugiés (Keïra, Soaeg, Kathlyn etc) qui permettent de stopper le dernier charriot en fuite et surtout de mettre fin à la bataille.
Le calme revient. On dénombre une quinzaine de prisonniers. Il reste 4 gardes encore en vie dont le capitaine Karistev de Tarbad, chargé de conduire « cet ultime » convoi. C’était le dernier convoi car il n’y a plus de réserves.
Nous nous occupons des blessés, nous regroupons le convoi, nous nous préparons à passer la nuit ici (envoi de chasseurs, organisation des tours de gardes).
Nous fouillons également les cadavres. Arlan récupère ainsi un arc avec son carquois. Nous récupérons 60pièces d’argent à se répartir entre nous 4. Chacun de ces cadavres possèdent un ou deux objets dunéains que nous décidons de rassembler.
Arlan se présente alors à Karistev, puis présente les Tisseurs, parle de Finaël mais ne présente pas Edegilon. Mieux vaut être discret sur l'identité de ce dernier par les temps qui courent. 
Lors de l’échange avec Karistev, il nous est confirmé qu’il y a une pénurie dans tout le royaume jusqu’au Rhudor. Est également souligné la présence d’affameurs en plus des mauvaises récoltes. A Tarbad la situation est semblable à celle de Teidmore : émeutes, problème du pain mais également émeutes contre le gouvernement. Une véritable déstabilisation.
S’en suit alors un échange sur la redistribution de la farine et la répartition entre la ville et le camp de réfugiés.
Eodec propose de rassembler les chefs du camp et de la ville pour qu’ils décident eux-mêmes de la redistribution et qu’ils tentent de trouver un accord sur le long terme. Nous décidons finalement de rejoindre la ville et le camps fin de faire parvenir ces personnalités avec un charriot et un sac de farine en preuve.
La porte de la ville est fermée. La lumière s’allume à la tour. Les verrous s’ouvrent, le bruit d’armes se fait entendre. Des soldats sortent et se mettent en position. Ils nous questionnent et nous nous adressons au capitaine Certilhar.
Cordelin, chef de la ville, 1er échevin, attendait le convoi. Une présentation rapide est faite et nous expliquons nos intentions. Il accepte de venir et de négocier. Eodrec va pouvoir aller faire chercher Elaïth. Cordelin va faire venir 4 personnes du conseil.
Arlan profite de ce « répit » pour discuter avec la garde. Seule une 30aine d’hommes de la garde est « fiables » et « solides ». Il questionne également Certilhar sur Eldorian (un barbu), sur Arlentir et son départ.
Eodrec rejoint ensuite le camp. Il s’adresse à Sir Arel. Il propose une liste de personnes pour les accompagner à la négociation. Eodrec propose les 3 hommes conseillés par Keïra, Ser Arel demande plus de représentativité avec la présence d’Ethiel (une femme (son oreiller)).
Du côté de la ville, nous avons donc : - Cordelin
- Silina (veuve)
- Nikos Jabert
- Iper Vartun
- Baldure Lédune
Du côté du camp, nous avons : - Sérarel
- Ardar
- Zarek
(-Keïra)
(- Sesphora mais blessée et qui vient de subir une chirurgie menée par Arlan et Keïra pour une blessure au rein)
Tout le monde monte dans le charriot en direction du convoi. Le trajet est plutôt silencieux (excepté Sir Arel comme à son habitude). 10 gardes nous accompagnent, bien équipés.
Nous arrivons au campement, il est 1h du mat.
Nous nous installons.
Eodrec demande au capitaine Karistev de présenter les faits du convoi et de l’attaque.
Iper Vartune mène les débats. Il semble embêté par l’idée de partager avec les réfugiés. Il refuse d’accorder un statut à ces réfugiés. Il a conscience que le nombre de chariots ne permet pas de rendre la situation pérenne.
Rappel la volonté de s’ancrer dans le long terme et non pas un mois. Nécessité de trouver une solution. Nous débattrons du partage de la farine après.
La forêt commence alors à s’illuminer. Ça bruisse de partout. Des torches venues du Sud. Le camp commence à paniquer. Les gardes se mettent en ligne. Les archers se mettent en position autour des chariots. Sir Arel est complétement paniqué. Nikos Jabert semble moins paniqué. Elaïth demande à avoir une arme.
Les torches sont positionnées en demi-cercle sur 400-500 mètres à une cinquantaine de mètres du groupe. Ce sont des hommes en ligne, tout autour de nous.
Eodrec demande discrètement à Soaeg de viser en direction des membres du Conseil et de même pour Kathleen (de manière ostensible).
500 hommes sont face à nous, avec des boucliers, des armes.
Arlan s’avance vers ce groupe de Dunéains. Un homme aux cheveux blancs, avec une grande cape fermée en laine, s’avance vers nous. Puis après un court échange, la foule s’écarte et laisse passer un homme très grand, vêtu de noir, avec une tunique très longue. Cet homme (Holbrak) prend la parole.
Mar 26 Fév 2019 - 11:36
