Dettes mortelles, épisode 5 : tout est dans les livres… (21/10/2022)
Date : Orgelion Narbelette 1355
Vers midi. Les 4 Tisseurs se retrouvent à l’échoppe. Ils pensent avoir été piégés afin ‘être rendus responsables de l’attaque.
Ils décident que :
- Gunard ira observer les objets sur les corps des hommes en noir.
- Edegilon les emmènera ensuite à Pilgrim et lui demandera de retrouver Swingen.
- Cithric sera envoyé en reconnaissance autour de la maison du courtier et vérifier la présence du coffre.
- Eodrec ira voir les gardes du guet.
Lors de la fouille menée par Gunard, les équipements sont d’origine numénoréennes (moi jai compris haut humain mais pas de Numéror). Le matériel sort d’une forge industrielle. Ce sont des forges pour les forces militaires du royaume.
Arlan et Gunard vont alors acheter du matériel afin d’équiper des chevaux pour exfiltrer Swingen et Cithric. Arlan use de l’elfique afin de dénicher les meilleurs chevaux. Ils cherchent des armes. Arlan souhaiterait notamment offrir une arme à Cithric (mais l’idée est finalement jugée trop coûteuse). Ils se contentent d’acheter chevaux, alimentations et couvertures.
Eodrec retourne au bar, à proximité de la prison. Il propose d’offrir une choppe, tous les soirs, en échange d’informations. Il apprend alors qu’il y a bien eu de l’agitation, mais aucune entrée dans les prisons aujourd’hui.
Edegilon rejoint le point de rdv habituel, pour Pilgrim. L’agitation est toujours présente autour de cette place. Il y a un attroupement. Les gens s’écartent. Edegilon tombe alors nez à nez avec un groupe de personne en train de fracasser les étals. Ils lui demandent alors sa religion. Edegilon bafouille et ne répond pas ce que les hommes de la secte auraient souhaités entendre. Il reçoit alors un coup, sur l’oreille. Il trébuche et tente de s’extirper comme il peut. Vite aider par l’intervention de Pilgrim.
Pilgrim l’informe alors que « 4 personnes, dont un nain (affilié à la Moria) ont attaqué un courtier de la haute ». Ils auraient alors massacré tout le monde. Edegilon dément évident ces accusations et lui expique la situation. I demande également des questions sur le courtier. Il a été sauvé par le guet. Il a ensuite été placé en sécurité, par la garde d’or. Ils ont retrouvé, sur place, le même matériel qu’après l’attaque de De Tréville.
Le général Klaas est en ville. Il s’agit de l’officier général en second, des troupes du Cardolan.
Vers 14h30, les Tisseurs sont tous de retour à l’échoppe. Eodrec fait un petit détour par la boutique du journaliste.
Cithric informe les Tisseurs que la maison est gardée, sous scellée, par la garde d’or.
Des rumeurs circulent comme quoi des « assassins trainent dans les rues » et des noms commencent même à fuiter : le noble « An’vari » et un nain. Il s’agirait d’assassins internationaux.
Eodrec demande à obtenir l’édition du jour, tout de suite. Le journaliste refuse. Eodrec ferme la porte, et sort l’épée. Il insiste afin d’obtenir des informations.
Le Grand Prêtre, celui du Temple d’Esté, est également dans le complot. Les mêmes vont chercher à le tuer car il fait des choses. Des révélations concernant son comportement envers les enfants vont être dévoilées. Ils seraient tous corrompus. Un commis fuit alors par la porte arrière. Eodrec donne une pièce puis quitte les lieux.
Les Tisseurs se dirigent alors vers le logis, dans lequel est « emprisonné » Swingen. Deux resteront devant, un troisième se postera dans la rue. Gunard regarde la bouche d’égout. Edegilon reste près des chevaux et de la bouche d’égout.
Arlan et Gunard pénètrent dans les égouts. Ils souhaitent arriver dans la cour extérieure. Gunard opère ensuite un demi-tour pour demander à Cithric de simuler une situation d’homme ivre, afin de faire diversion.
La porte est fermée, Arlan enfonce alors Gabilgatol dans le bois de la fenêtre afin de faire sauter le loquet discrètement. Il parvient à pénétrer dans la maison. Il entend du bruit à l’étage : des pages qui se tournent.
Gunard revient alors sous la bouche d’égout de la cour extérieure.
Eodrec arrive sur la zone.
Arlan aperçoit Swingen. Il ne semble pas y avoir de garde. Il le prend alors, par derrière, main sur la bouche. Il l’alerte, le prévient de l’exfiltration qu’ils ont prévu. Arlan demande les informations en échange.
6 hommes en noir arrivent alors dans la rue. Ils sont en formation, par binôme. Un des hommes montre quelque chose au garde d’or.
Eodrec et Edegilon font diversions, en simulant l’ivresse. Ils se font pousser par la garde d’or.
Gunard, Arlan et Swingen, passent par les égouts.
Les hommes en noir pénètrent dans la maison.
Les 3 sortent alors des égouts. Cithric et Swingen grimpent sur les chevaux et s’enfuient.
Les Tisseurs retournent à l’échoppe. Les hommes venaient prendre des informations. Arlan a récupéré les noms du commanditaire :
- Nala Dug (c’est du kazhalide). Les nains veulent le collier.
- Ydje Andries.
Gunard va chercher des informations sur Nala Dug (qui se traduit par « Filon vide »).
Edegilon va demander à Pilgrim si les Dunéains peuvent exfiltrer le Grand Prêtre d’Este. Il devra également l’informer de la présence, dans la ville, de Pélagur (prince Enataric), avec le symbole du poulpe d’or.
Gunard, Eodrec et Arlan se dirigent vers Ydge Andries. Gunard se poste dans la ruelle.
Eodrec simule un essoufflement, pendant qu’il grignote, devant la maison.
Arlan fait le tour de la maison. La porte n’est pas fractionnée, rien de suspects au niveau des fenêtres.
Une personne, portant du bois, descend les marches de la ruelle. Toutefois, elle n’est pas ce qu’elle cherche à faire croire. Sur un balcon, un homme arrose les fleurs, en face de la maison d’Ydge. Il regarde dans la maison.
Sur une des maisons, le volet est entrebâillé et une personne se cache derrière.
Gunard saisit un pot de fleurs, l’explose au sol, et s’efface.
Eodrec s’écarte, il croise le porteur de fagot. Il marque un temps d’arrêt. Il fait alors un geste en direction d’une maison. Eodrec lui demande de tenir le sandwich. L’homme passe en l’ignorant. Eodrec l’interpelle et insiste. L’homme lui prote alors un coup. Il crie alors « J’en ai », ce à quoi, Eodrec répond par un grand coup de sandwich dans la figure et un coup au plexus. Un homme apparaît en haut de la rue. L’homme à l’arrosoir, est descendu de son balcon, dégaine son épée, et se dirige vers Eodrec, toujours en lutte avec le faux porteur de bois. Gunard saisit alors l’arrosoir, posé dans la ruelle, et assomme l’homme.
Arlan surine l’homme qui arrivait depuis le haut de la rue. Les deux neutralisés sont déposés dans un coin. Eodrec parvient enfin à neutraliser son porteur de bois.
Les Tisseurs se dirigent alors vers la porte de la maison d’Ydge. Ils toquent. La porte reste fermée. Il n’y a pas de bruit à l’intérieur de la maison. Gunard enfonce la serrure. Ils déposent alors le cadavre dans la maison. Les deux assommés sont alors ligotés. Dans cette pièce : une cheminée, une table, des escaliers… Ils poussent alors la porte. Eodrec fouille les deux hommes (l’équipement est plus léger que celui des hommes en noir). Gunard peut affirmer que la pièce a déjà été fouillée.
Arlan parle en elfique puis monte les escaliers. A l’étage : une chambre avec des tapisseries aux murs, des tapis au sol, un beau lit et une cheminée froide. Il n’y a pas de traces de combats. Arlan fouille. Gunard surveille les deux ligotés.
Eodrec va questionner le voisinage, sous prétexte d’un mot à transmettre. Les voisins sont toutefois terrifiés, et aucun ne semblent vouloir parler.
Lors de sa fouille, Arlan trouve, entre des lames de plancher, un bracelet, avec une inscription « Les Sirènes », avec une calligraphie plutôt sympathique. C’est un établissement devant lequel il est déjà passé. Un beau bâtiment, avec une enseigne qui représente deux sirènes en train de s’embrasser.
En vérifiant les doublures des tapisseries, Arlan découvre également de lettres, qu’il récupère.
Finalement, en repartant, Arlan égorge un des deux assommés et Gunard brise le cou au second.
Les trois tisseurs quittent le lieu, lorsqu’une vingtaine soldats de la garde d’or débarquent.
Ils fuient vers l’échoppe.
Ils se posent, regardent la quinzaine de lettres. Toutes possèdent la même écriture.
Il est 19h.
Pendant ce temps, Edegilon va à la rencontre de Pilgrim. Le Grand Prêtre est très attaché à son devoir et il refusera de fuir.
Un des hommes d’Embar est en ville.
La secte prend de plus en plus d’ampleur.
Pilgrim l’informe que l’agitation populaire est très forte.
Le canotar fait grimper les prix des loyers et des taxes.
Pilgrim rappelle qu’il a finalement peu de pouvoir.
Sur le chemin du retour, Edegilon en profite pour partager un moment avec les enfants.
Les Tisseurs ont découvert que les lettres sont signées Shyline. Un endroit où elles se retrouvaient est évoqué régulièrement. Ce sont des lettres d’amour.
Ils décident l’envoi de deux missives avec le sceau d’Arlan. Une pour la maison Dol Tinaret et une pour la maison Findulas.
Ils profitent ensuite d’un repas.
Leurs échanges tourent autour du rôle des hommes en noir, arrivés par bâteau: probablement déstabiliser le roi et décrédibiliser Naërya et les Tisseurs.
Ils souhaitent récupérer les documents qui étaient dans le coffre.
Les Tisseurs décident alors de rejoindre « Les Sirènes ». Le quartier est plutôt joli. Dans une courette, une porte sécurisée (comme celle du Lapin). Des hommes et des femmes entrent. Près de la moitié des personnes qui y entrent sont des personnes en couples, de même sexe. L’autre moitié est composée de célibataires. Les ¾ possèdent un bracelet. D’autres discutent à l’entrée, puis rentrent. La population y est plutôt bourgeoise (haute bourgeoisie, voir même noblesse). Quelques rares personnes, issues de la classe populaire, mais au physique particulièrement beau.
Eodrec donne ses armes à Gunard et se renseigne à un couple de femmes, dans la courette. Il leur demande comment rencontrer quelqu’un ici. Les femmes lui répondent qu’il suffit d’entrer, de boire un verre, d’offrir des verres, de danser. Les gens, ici, sont très charmants.
Eodrec se fait accompagner par les deux femmes. Ils frappent à la porte, saluent, et entrent.
Edegilon toque quelques instants et pénètre dans le bâtiment. Il est fouillé à l’entrée.
La pièce est grande. Les ¾ sont occupés par une piste de danse. Autour, des arcades avec des tables. Au fond de la pièce, un bar d’une trentaine de mètres de long.
Ce type de lieu n’évoque strictement rien à la mémoire d’Edegilon.
Eodrec est accosté par un homme. Ils discutent. Eodrec cherchent à trouver Shyrine, en prétextant qu’elle est une amie, c’est même elle qui lui aurait parlé de ce lieu.
Edegilon, est au bar, entouré par deux autres hommes. Ils discutent et boivent un verre. Les boissons sont bonnes, les gars sympathiques.
Il les invite ensuite à rejoindre la piste de danse, afin de s’approcher de Shyrine. Finalement, tous se retrouvent à proximité de la table de Shyrine. L’endroit est un peu à l’écart, un peu sombre. Elle est isolée. Elle semble connaître les gars. Eodrec approche, invite son « ami » à aller chercher des verres. Afin de ne pas être en surnombre, Edegilon, arrivant à proximité de la scène, détourne le trajet et invite ses deux compagnons à danser.
Eodrec montre les lettres. Il explique la situation. Elle lui dit de revenir à 2h du matin et de demander à parler à Cynthia.
Edegilon, profite alors du passage d’un serveur, pour le faire trébucher, de manière que celui-ci renverse malencontreusement les coupes sur les deux compagnons « collants ». Une fois ses deux compagnons partis aux toilettes, Edegilon s’éclipse alors.
Eodrec quitte également les lieux.
Il est 1h du matin.
Les Tisseurs échangent. Il est question de la faire exfiltrer, avec Lendrin (le commerçant). Il y a pas mal d’animations, des groupes arrivent en chantant. 8 hommes pénètrent alors le lieu, à quelques minutes du RDV. Ils frappent. Ils rigolent.
Eodrec rerentre, suivi par Edegilon. Eodrec repère deux hommes sur la piste, deux au bar, deux à droite et deux à gauche. Ils sont probablement armés. Il est deux heures du matin. Eodrec parle à son ami du soir. C’est alors qu’un des huit hommes s’avance vers lui, avec une lame. Alors qu’Eodrec n’a rien pu voir, Edegilon saisit l’homme armé et le fait danser. Il le complimente sur sa danse et l’invite à boire un verre. Eodrec et son compagnon se mettent alors dans l’ombre. Cynthia arrive. Elle demande un RDV, demain, à 9h, à côté de la colonne. Edegilon verse quelques contenus nocifs dans le verre de l’agresseur. Il se met alors à vomir ses entrailles. Deux hommes approchent. Il y a beaucoup d’animation. Edegilon demande un médecin, de l’aide. Il tente de profiter de l’agitation pour s’éclipser. Eodrec se tient devant la porte. Deux hommes viennent alors vers Edegilon. Eodrec se dirige alors en vitesse vers l’homme empoisonné et demande à Edegilon de l’aider afin de le transporter dehors.
Les deux Tisseurs sortent, dégagent le malade par-terre. Ils fuient ensuite en courant. Ils se cachent dans la rue, puis rentrent à l’échoppe.
Les Tisseurs planifient alors un plan d’exfiltration, depuis la colonne. Ils envoient une lettre de recommandation pour Lendrin, lui permettant de commercer.
Ils vont ensuite se coucher.
8h15, Edegilon se pointe dans la zone. Il est censé repérer les deux femmes dans la foule. 8h30, c’est Gunard et Arlan qui doivent rejoindre les lieux. Ils arrivent sur l’île. L’agitation est grande. Des hommes et des femmes courent, en criant, dans le même sens que nous, armés de morceaux de bois. Ils souhaitent allumer des feux. Il y a déjà des fumées qui s’échappent de la place. C’est alors qu’une voix se distingue « Attention, ils chargent ». Les hommes se replient. Il y a des soldats, sur quatre rangs, avec des lances. Il y a également des gens du peuple qui lancent des pierres sur les soldats. Les Tisseurs passent alors par une autre rue. Il y a des barricades, des incendies… Les soldats barrent l’accès au château. Sur la place, ça castagne également pas mal. La garde d’or mène des charges. Il y a entre 300 et 400 personnes sur la place. Il y a également un régiment de cavalerie.
Il y a également, au moins, 8 hommes en noir, à proximité. Trois se jettent sur Edegilon qui avait enfin repéré les femmes. Elles refusent de le suivre. Deux hommes se jettent sur lui, les femmes sont poursuivies par un seul homme. Edegilon a un genou à terre. Il prend, un troisième coup. Il ne parvient pas à se débarrasser de son assaillant.
Arlan, qui était parti alerter Gunard, revient avec le nain. Edegilon est en diffculté, rate ses attaques. Gunard intervient et balance l’agresseur. Edegilon se relève, cherche les filles. Il indique, à Gunard, la direction empruntée par les femmes. Arlan aperçoit alors l’une d’entre elle, celle portant le sac. Elle devrait rapidement subir un assaut de la garde d’or. Edegilon saisit un bout de bois afin de le lancer vers un des hommes en noir qui tente de s’approcher de la deuxième femme. Gunard percute deux hommes en noir : l’un tombe, l’autre est sonné par Gunard. Edegilon tente alors de saisir la femme, qui se débat et refuse encore de coopérer.
Arlan parvient, avec Ygde, à passer la garde d’or avec un laisser-passer. Il lui donne une cape, afin de la dissimuler.
Gunard saisit la fille qui avait refusé de coopérer. Il la convainc de les suivre. Gunard dégaine : deux hommes arment, à l’entrée de la rue (sortie de la place).
Eodrec, arrive dans la rue, par derrière des deux hommes. Il charge en équitation pour les déstabiliser et porte un coup d’épée sur le deuxième. Gunard cloue un troisième homme.
Arlan traverse la rue, il évite les bagarres. Devant lui, 4 hommes en noir. La fille tombe alors à terre, frappée, plein cœur, par un carreau d’arbalète. Arlan saisit le sac de document, fait demi-tour. Un carreau d’arbalète le frappe à sa jambe.
Eodrec, avec son cheval, dégage la rue. Il est suivi par Gunard, Edegilon et la femme.
Arlan tente de se réfugier dans une maison, en passant par la fenêtre. Il y parvient difficilement. Il allume alors le feu dans la maison. Il plante un des hommes en noir qui arrive à la fenêtre. Les autres tentent d’enfoncer la porte. Arlan tente de se réfugier à l’étage.
Le groupe de Gunard arrive à une intersection. Gunard aperçoit alors des hommes en noir tentant d’entrer dans une maison, enflammée.
Arlan combat, depuis les escaliers, il résiste tant qu’il peut…
Eodrec et Gunard foncent vers la maison. Edegilon tente d’abriter la fille dans la première maison venue. Mais elle refuse de coopérer et suit Gunard et Eodrec.
Eodrec arrive en bout de rue. Une femme gît au sol. Il prend la direction de la porte de la maison en feu. Eodrec est alors cloué, au mur, par un carreau d’arbalète. Il se dégage comme il peut. Arlan est couché dans l’escalier. Deux hommes en noirs revenaient alors en direction de la porte, afin de quitter la maison en feux.
Gunard esquisse les carreaux. Edegilon identifie le tireur, très rapide, sur les toits. Une dalle glisse et permet de déstabiliser un court instant, le tireur.
Eodrec est à nouveau blessé. Gunard entre dans la maison, emplafonne le soldat. L’homme en noir, qui avait saisi la sacoche, revient vers l’escalier. Gunard lui balance sa hache. L’homme, touché, s’explose dans le vaisselier.
Des hommes en noir arrivent derrière Edegilon, toujours dans la rue, souhaitant éviter les carreaux d’arbalètes. Il pensait couvrir la sortie des tisseurs, à l’aide de grenades fumigènes. Toutefois, les Tisseurs lui demandent de les rejoindre. Il tente alors de pénétrer. Il est poussé par Shyline.
« A l’arrière ». Gunard enfonce les murs, les portes. Les Tisseurs suivent. La sacoche est remise à Shyline. Eodrec siffle son cheval. Gunard aperçoit le Tireur sur les toits. Les hommes en noirs sont, quant à eux, retardés par la maison enflammée. Gunard dégonde une porte afin de l’utiliser comme « bouclier ». Il protège le groupe. Il manque d’être culbuté, lorsque le carreau transperce quasiment le bouclier. Eodrec s’attache à son cheval. Ils tentent de traverser la rue. La fille les pousse. Ils s’écroulent à l’angle d’une rue. Shyrine a reçu un carreau. A proximité : une carriole de bois, vide avec des hommes qui montent des palissades pour brûler. Gunard fait l’attelage. Arlan prononce quelques mots d’elfique « fait nous partir loin d’ici ». Les blessés sont mis sur le charriot. L’arbalétrier arrive. L’attelage démarre. Le charriot disparait à l’angle d’une rue. Les Tisseurs fuient ainsi la zone. Ils stoppent et posent le charriot, à l’écart.
Mer 16 Nov 2022 - 20:28
