Destins étranges en Terre du Milieu
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 Dettes mortelles, ép 10 : investissements extérieurs (23/10)

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Edegilon
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Edegilon


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Dettes mortelles, ép 10 : investissements extérieurs (23/10) Empty
MessageSujet: Dettes mortelles, ép 10 : investissements extérieurs (23/10)   Dettes mortelles, ép 10 : investissements extérieurs (23/10) Icon_minitimeLun 30 Oct 2023 - 12:12

Après la fuite dans la ville, les Tisseurs cherchent à s’abriter dans une taverne. Les rues sont animées. Gunard repère les sorties, Edegilon vérifie s’ils ont été suivis. Il vérifie également la présence d’affiches dans le secteur. Les gardes ont l’air plutôt décontractés, ce qui n’est pas le cas de la population. Edegilon vérifie la présence d’un marchand de tissus, afin de prévoir éventuellement des tenues pour dissimuler les Tisseurs.
Gunard et Shyline rentrent dans la taverne. Ils repèrent un box à l’écart. L’aubergiste ne semble pas les avoir identifiés. Les clients présents, non plus d’ailleurs.
Gunard fait les premiers soins sur Eodrec.
Durant 20 minutes, ils s’installent, se font servir des chopes. Il y a une certaine décontraction.
Ils réfléchissent alors aux prochaines heures. Ils estiment ne pouvoir intervenir à temps pour le blocus. Ils évoquent la nécessité de bloquer la transaction en prétextant une ingérence puisque cette transaction fait intervenir une puissance étrangère. Peut-être envoyé quelqu’un intervenir sur l’embouchure du fleuve afin de préparer la riposte. Il faudrait aussi envoyer quelqu’un pour prévenir le seigneur dol Tinarë, à l’Ouest du Cardolan. Enfin, une partie des Tisseurs devraient se joindre au château du roi du Cardolan. Au Nord, les terres appartiennent à dol Girithlin ou dol Tinarë. Enfin, il y a également un blocus au Nord de Tarbad, qui serait finalement peut-être un blocus sanitaire (maladie bleue). Une fois au château, il faudra évoquer le complot au niveau des banques à l’intendant.
Finalement, ils conviennent ne rien pouvoir faire, dans les temps, du côté de la maladie bleue, ni du blocus maritime. La seule solution est donc d’aller au château avec le livre de comptes. Les banques, une fois qu’elles auront fait faillites, seront rachetées par la banque d’Eldorian. Il serait peut-être bon de prévenir les nains.
         Gunard sera donc chargé de rencontrer les nains. Ils feront partir une missive aux dol Tinarë, afin que la fille les rejoigne au château. Ils feront également envoyer les aratars au Sud, à l’embouchure, pour préparer les bateaux. Shyline restera à Tarbad pour préparer leur retour. A pied, il faut 3 jours pour se rendre au château, 3 jours pour en revenir. Shyline sera chargée de transmettre la missive aux dol Tinarë.
         Finaël se charge de la rédaction d’un quatrin évoquant de voir le roi, d’un fil qui se tisse, d’une jeune femme à la cour :
 
« Vers un royal château, une dame en chemin
Elle s’en vient réunir les fils du destin »
Un paon a été dessiné en guise de paraphe.
 
         Gunard se rend chez les nains.
 
         Shyline leur dégote une nouvelle planque. Elle rappelle que certaines activités nécessitent des endroits calmes. Tarbad est construit sur une partie marécageuse. Il n’y a pas d’entrées possibles.
         Gunard les rejoint et leur font part que le représentant de Kazakhdûm a été très intéressés par les informations fournies. Ils proposent des informations et du matériel si les Tisseurs en ont besoin. La priorité de Kazakh est de faire tomber Holbrich qui a désormais les hommes et les fonds pour monter un royaume. Gunard les ont informés sur la circulation du mauvais argent, de l’intervention probable d’Holbricht pour le rachat de la HSB. Les nains interviendront pour apporter des fonds, mais il faut que les Tisseurs parviennent à faire rentrer un convoi.
         Sur la route du château, il y aurait justement un convoi avec du blé. Les nains connaissent la réputation des Tisseurs (réputation positive).
        
         Il est midi. Le message est transmis à Shyline qui devra le donner à une personne de la demeure dol Tinarë.
         Il est également décidé de transmettre un message à la presse locale, écrit au dos d’une affiche avec les Tisseurs dessus. Il s’agira d’évoquer un scoop sur la présence de l’Embar dans la cité. Un bateau, dans un hangar. Le prince aurait été vu en ville.
         Shyline devra acheter un journal au retour, afin de vérifier si le scoop a été publié.
 
         Pour voyager, ils auront besoin de tentes, de cordes, de couvertures, de bougies, de bottes… 50 Pièces d’argent seront dépensés afin de s’équiper. Edegilon demande également à faire acheter du matériel (afin de pourvoir fabriquer des flashs, des fumigènes et une autre nouvelle spécialité).
 
         Pour sortir de la ville, il faut passer par les remparts. Il est 15h, nous sommes à la mi-novembre. Une tour, possède une porte en bas d’un côté, et une autre coté extérieure mais condamnée. Arlan et Eodrec aperçoivent un homme qui fait demi-tour, puis se cure les ongles. Il les regarde particulièrement. Il part dans la ruelle. Les Tisseurs se dispersent. L’homme suit de loin Gunard. Eodrec se casse la figure afin d’attirer l’attention. Gunard se met alors dans un renforcement. Arlan prend l’homme au corps à corps, le serre, puis le fouille rapidement.
         Ils sont dissimulés dans les ruelles, à proximité de la Tour.

       4 hommes sur les remparts : un garde sur la Tour, deux sur les remparts et un autre sur le rempart de l’autre côté de la tour. Enfin, il y a également un homme en bas de la tour, à une quinzaine de mètres. Une place carrée, la tour fait un angle. Arlan va éblouir le garde sur le rempart, pendant qu’Eodrec et Edegilon courront sur le garde d’en bas, en longeant les remparts. Finaël devra décocher une flèche sur le garde en bas. Le timing devra être maîtrisé afin qu’Edegilon puisse rattraper la chute du garde tué. Le plan se déroule sans accroc : le garde est ébloui, Finaël tue le garde, Edegilon ralentit sa chute, enfile son casque et sa cape. Gunard pénètre la Tour. Deux gardes sont en train de jouer aux dés. Gunard saisit la table et la fracasse. Ils cherchent la sortie de la poterne. Elle est dissimulée derrière une palissade qui servait de râtelier. Derrière, une grosse serrure, avec une mécanique classique. Mais personne dans la poterne, n’ayant la capacité de crocheter, Eodrec va relever et remplacer Edegilon au pied de la Tour. Gunard explique rapidement le mécanisme à Edegilon qui crochète la serrure. Dans la poterne, un escalier monte. Arlan sort de la poterne, se faufile, se cache dans les hautes herbes pour marquer les premiers repérages, chercher des traces d’un chemin.
         Eodrec jette quelques pièces de monnaie sur la petite place, au moment où des enfants jouaient dans le secteur, afin de faire diversion, et rejoindre la poterne puis les marécages.
        
         Les Tisseurs ont pénétré les marais, et avancent progressivement, lentement, à travers les hautes herbes, en veillant à ne pas être vus des gardes depuis les remparts. Arrivés à plus de 300mètres des remparts, ils entendent une trompe retentir. Il est 16h30, l’agitation devient importante du côté des remparts. La poterne a été réouverte du côté des marécages. Arlan continue de pister, Finaël ferme la « marche ». Apparaissent des arbres, de la brume, des odeurs, du froid, des herbes plus blanches. Ces éléments sont appréciés des Tisseurs qui viennent de passer deux à trois semaines en ville.
         Edegilon a un flashback. L’eau, les marécages, les senteurs lui permettent de revoir quelques images du passé.
         L’elfe aperçoit, à 300mètres, l’agitation vers la poterne et notamment des hommes en noirs mais aussi il entend des chiens, douze chiens de guerre.
         Arlan fait ramasse aux Tisseurs, des plantes, qu’il demande d’écraser en reculant : il s’agit de plantes acides qui devraient couvrir leurs traces en brûlant les naseaux des chiens. Les Tisseurs avancent. Ils entendent alors des aboiements, des glapissements, des grondements. Ils avancent sur la piste.
         Soudain, surgissent des chiens, sur Eodrec, Gunard et Finaël. Fina se retourne, sait qu’il est moins rapide que le chien et lance un « stop » en elfique, adressé au chien, tout en s’apprêtant à le frapper. Le chien s’arrête, tombe, « scotché ». Gunard pare l’attaque du chien. Eodrec tient le chien au niveau de sa gorge.
         Gunard met un grand coup de boule dans la gueule du chien, qui couine et tombe en arrière. Eodrec passe ses jambes dessous et le pousse avec ses pieds. Gunard saisit les pattes arrière du chien et essaye de le faire tourner dans les airs. Le chien, repoussé par Eodrec, se ressaisit et se jette sur Eodrec qui dégaine son épée et le transperce.
         Finaël tombe en arrière afin que le chien passe au-dessus, et l’éventre.
         Gunard saisit le sien et le noie.
 
         Ils tentent de rejoindre la zone forestière. La forteresse est désormais à un kilomètre derrière. Pas d’hommes armés visibles dans le marais, mais des cavaliers rodent sur la rive opposée, à plus d’un kilomètre (des hommes du Cardolan ?). Ils traversent les derniers morceaux de marais et pénètrent dans la forêt, au Nord-est de Tarbad. Du haut de la colline, ils ont une vue assez importante jusqu’à l’embranchement de la rivière dans le fleuve, les falaises… Au loin : la cité d’Ost-in-Edhil.
 
         Ils prennent le temps de s’installer. Fina va au bord de l’eau et fait naître des étoiles bleues. Edegilon fabrique quelques fumigènes, flashs et nouveautés. Il commence également le premier tour de garde.
         Puis les tours de garde se succèdent. La nuit est fraiche.
 
        Ils reprennent la route, au petit matin. La rivière est poissonneuse : il y a des bateaux, des pêcheurs… Ils avancent, aperçoivent une tour dans laquelle il y a de l’activité. Ils longent la rivière. La végétation se lève, les animaux aussi, le soleil perce timidement les nuages… Ils arrivent aux méandres. Il y a des maisons, quelques habitations isolées…
Ils s’arrêtent à la hauteur d’une pêcheuse. Cette femme était en train de préparer sa barque, deux enfants jouent. Les Tisseurs négocient la traversée de la rivière en échange de 5 pièces d’argent. Edegilon est, de nouveau, frappé par un flashback. Il se sent nostalgique, le souvenir est douloureux. Même si la pêche ne lui évoque rien, il revoit les images de sa femme et de ses enfants. Il s’approche alors des enfants et jouent avec eux, après s’être assuré, du regard, un consentement de la mère.
Ils embarquent ensuite, Eodrec chante, suivi par Fina. La femme sourit, ils rament assez vite, surtout Gunard (toujours pas dans son élément). Quelques minutes plus tard, ils arrivent sur l’autre bord. Eodrec, plaisantin, crie « voie d’eau », Gunard panique et rame encore plus fort. Le bateau oscille, le bateau pivote, la femme rit. Arlan précise qu’il n’y a plus d’eau. Ils débarquent dans la joie et la bonne humeur. Ils ont désormais les pieds en Cardolan. Arlan prononce alors quelques mots en elfique.
La barque repart avec une impression de légèreté.
 
        Se pose alors la question de quel chemin suivre. Le long de la route, c’est plat, c’est également le chemin le plus court. A droite de la route, les collines et la vieille forêt. La route est plus directe mais plus fréquentée. Ils sont à moins de 3 jours du château. S’ils passent par le côté, ils perdent une demi-journée supplémentaire. Ils se demandent alors s’ils ne pourraient pas emprunter un convoi de marchands en proposant de les protéger. Au bout de deux heures de marches, sur la route, à un croisement, ils identifient des charriots mais aussi des cavaliers : certains statiques, certains se déplacent. Ce sont des soldats composés d’un groupe d’une vingtaine d’hommes, en armures.
Finalement, les Tisseurs décident de traverser les champs, loin des collines. A la nuit tombée, ils rejoindront la route.
 
        La nuit passe, il est 9h du matin. Ils avancent dans de grands espaces (des champs), plus ou moins escarpés. Au milieu de la journée, ils effectuent une pause déjeuner. Au loin, une demeure apparaît. Une maison en ruines (assez récemment) mais avec de la fumée qui s’y échappe. Fina prend de la hauteur afin d’identifier la présence éventuelle de cavaliers ou de campements. Ils avancent vers la demeure.
A 5km, sur la gauche, des cavaliers sur la route. Ils arrivent à 1km de la maison, elle semble avoir brûlée. Elle apparaît distinctement. Il y a quelques moutons. Ça sent le brûlé. La zone fait penser à une attaque. Arlan récupère quelques flèches (qui ne semblent pas être de la région, ni de gobelins). C’est assez impressionnant, il y a beaucoup de traces. Edegilon est interpellé par un souvenir très précis.
         Les moutons semblent être revenus, après l’attaque. Ce sont des flèches de dunéains, selon Arlan. C’était une bergerie, une ferme. Ils ont attaqué, loin de chez eux. Il y a des cadavres d’animaux tués, mais pas d’humains. Il y a des traces de chevaux. Les traces semblent se diriger vers le Nord.
 
Ils repartent. Ils traversent une zone avec des pierres disposées d’une manière évoquant des anciens rites. Arlan évoque un « dicton » : « ces dieux généreux en pluie ». Les paysans disaient souvent aux visiteurs « quand il pleut, attend ».
 
Ils arrivent sur un nouveau paysage avec en vue une nouvelle maison en feu. Edegilon, en colère et profondément affecté par ces drames, tente de rejoindre le lieu en courant mais il est intercepté/retenu par Arlan. Edegilon hurle. Fina devra veiller à ce qu’Edegilon reste en retrait pendant qu’Eodrec et Arlan rejoignent le site. Ils identifient la trace d’une quarantaine d’hommes, qui se séparent ensuite en deux groupes distincts : 23 se dirigeant tout droit dans la direction suivie normalement par les Tisseurs, et 21 obliquant. Les Tisseurs semblent avoir 5h de retard sur le passage des assaillants. Arlan et Eodrec sont interpellés par la présence de deux traces qui ne correspondent pas à celles des dunéains, qui obliquent à droite et les 21 qui ont ensuite piétinés dessus et une plus profonde (trace lourde, correspondant à une silhouette de 1m90, 130kgs. Un berseker ?). Arlan analyse les traces : les deux plus légères et petites, correspondraient à des silhouettes de moins d’1m40. Eodrec le questionne sur le fait de taire cette information à Edegilon qui pourrait alors dévier de l’objectif.
 
         Ils informent alors le groupe de Tisseurs que les dunéains se seraient séparés en deux groupes : 23 vers la direction suivie par les Tisseurs, et 21 ailleurs. Ils proposent de suivre les 21 pour les éliminer dans la nuit.
Ils partent au pas de course. Les traces semblent avoir formé une grosse colonne groupée, ce qui est surprenant pour des dunéains. Ils se questionnent alors sur l’origine de ces troupes.
En fin d’après-midi, ils approchent de la lisière de la forêt. Ils sortent du sentier, au pied de la forêt. Les traces passent par là et ils aperçoivent des traces d’un charriot. Ils vont tenter de prendre le charriot en tenailles. Ils n’ont désormais plus que deux heures de retard sur les assaillants. Ils décident de suivre le sentier : ils courent, sous les arbres, dans la forêt. Le soir tombe, ils entendent alors des cris, pas très éloignés, à 500 ou 600 mètres.
Ils sont devant les Tisseurs. Ils courent à la lisière de la forêt, par un temps de grisailles, entre chiens et loups.
Ils aperçoivent alors, à travers les bois, le charriot en train de se faire attaquer. C’est assez violent. Il ne semble pas y avoir d’archers. Ce sont des orcs. Ils tombent sur le charriot : les ménestrels se font attaquer. Deux sont déjà à terre. Eodrec fait tomber un orc avec une flèche puis effectue un 2e tir. Fina en met 3 à terre avec une salve. L’assaut est aussitôt interrompu. Les Tisseurs se précipitent alors vers les orcs en courant. Edegilon en renverse un au bouclier et rate le deuxième avec son épée. Gunard lui, par contre, y parvient sans problème. Derrière les archers (Fina et Eodrec), dix orcs en tirailleurs. Le plus imposant (1m90, 130kgs) mène la charge sur Fina et Eodrec.

        Gunard voit alors du mouvement dans les arbres en face. Arlan aperçoit près des amas rocheux, deux petites silhouettes à 150mètres.
        Deux arbres s’abattent et le charriot s’envole, s’explose et éclate en morceaux. Edegilon est percuté légèrement, sonné.
        Arlan préviens Fina de la présence de deux petits gobelins.
        Eodrec décoche deux flèches dans le plastron de l’orc. Fina tue également deux autres orcs.
        Gunard se trouve face à un troll, il cavale et attire son attention. Lors de cette cavale, le troll dézingue tout sur son passage. Il shoote dans le charriot, qui écrase un orc. Gunard le nargue. Le troll écrase un orc.
        Edegilon file rejoindre Eodrec, à l’orée de la forêt, là où il reste encore une dizaine d’orcs. Fina saute d’arbre en arbre. Eodrec et Edegilon combattent à l’épée et au bouclier, ensemble. Gunard continue de jouer avec le troll.
Soudain, l’Uruk se met à crier : le troll s’arrête puis repart en courant vers la forêt, en direction de Fina qui saute d’arbre en arbre, poursuivi par le troll. Les arbres tombent sous le choc du troll.
         Il ne reste que 6 trolls, sous la charge de l’uruk. Fina promène le troll, d’arbres en arbres, Eodrec et Edegilon évitent la chute des arbres.
Gunard charge alors l’uruk et tente de le trancher derrière le genou : il casse et perce le genou. L’uruk fait de grands gestes.
Eodrec et Edegilon poursuivent le combat.
         Arlan dégage la zone. Il reste 3 orcs, dont l’uruk face à Gunard. Gunard frappe le premier orc, puis attaque l’autre jambe de l’uruk.
         Fina poursuit ses sauts d’arbres en arbres.
         Eodrec tue encore un orc.
        Gunard arrache la tête d’un orc et dit en kazalide « à toi maintenant », en s’adressant à l’uruk. Il esquive, pour repasser derrière, puis le frappe sous la colonne vertébrale, il perfore entre deux plaques d’armures. L’uruk hurle de douleurs.
         Arlan pare tant bien que mal l’attaque d’un orc.
         Eodrec et Edegilon, tranchent ensemble, le cou du dernier orc à leur portée.
         Gunard fait basculer l’uruk, le piétine dans le dos, puis écrase son crâne avec son marteau.
         Eodrec indique la direction des deux enfants (derrière l’amas de roches) à Edegilon, qui se met alors à courir vers eux.
         Le troll commence à lancer des arbres vers Fina.
         Arlan est en difficulté pour se débarrasser de ses orcs. Gunard vient lui prêter main forte.
         Eodrec tente de se placer derrière le troll, puis l’attaque, mais son coup rebondit et il ne parvient à ne lui infliger aucune blessure.
        Edegilon, dans sa course, trébuche, prend le temps d’analyser la situation afin de savoir ce qui est plus urgent : les enfants ou aider ses compagnons.
        Eodrec tente alors de transpercer le troll, cette fois-ci à la dague. Celle-ci reste plantée dedans, comme s’il s’agissait d’un arbre.
        Gunard et Arlan se cachent alors derrière des cailloux, attendent le passage du troll, pour essayer de le renverser.
       Les trois frappent tant qu’ils peuvent, mais le corps du troll est particulièrement dur, et les trois tisseurs sont sonnés par le coup non réussi. Le troll s’arrête, tente de les balayer, mais ils parviennent à esquiver.
      Fina se met alors à jouer de l’arc : il parvient à viser la gueule du troll. Gunard frappe la jambe, Eodrec frappe également. Le troll tente à nouveau un balayage et percute des troncs d’arbres, au niveau de ses pieds. L’un d’eux renverse Eodrec qui vol, et entend des craquements à l’atterrissage.
      Fina parvient encore à attendre la gueule du troll. Arlan le touche également. Ils esquivent à nouveau, puis repartent à l’assaut. Le troll commence à vaciller. Fina tire une 4e flèche toujours au fond de la gueule du troll. Gunard et Arlan parviennent également à le toucher. Le troll fournit alors un dernier balayage, qui fait voler Arlan, qui s’écrase dans la pelouse, ses os craquent également. Fina assène une 5e et dernière flèche ciblée. Gunard perce la jambe, un flot de sang noir se déverse. Le crâne du troll est percé par les flèches et il s’écrase au sol.  
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